
Mukwege, Ponyo, Fayulu: un attelage surréaliste
« En ces temps troublés, soyons les serviteurs du droit, et les esclaves du devoir »
Victor Hugo

Le 26 décembre 2022, les Congolais se sont réveillés avec les dieux qui leur étaient tombés sur la tête en prenant connaissance d’une « Déclaration commune ». Une déclaration signée (nous citons) par trois « personnalités politiques et de la société civile » – Denis Mukwege, Matata Ponyo, Martin Fayulu – pour fixer « l’opinion nationale et internationale », car « la République Démocratique du Congo vit l’un des moments les plus sombres de son existence ». Ni plus ni moins! Pourquoi rester pondéré et crédible lorsque, en l’occurrence, on peut se laisser aller à l’exagération et au catastrophisme?
Tiens donc! La situation du pays est-elle si sombre que celle endurée pendant les vingt-deux ans de la « kabilie » (Kabila père et fils)? Cette situation a-t-elle empiré par rapport à celle que le Cardinal Laurent Monsengwo décrivait comme « une prison à ciel ouvert » avec sa cohorte de « barbarie », de « mensonge systémique », des « brutalités policières »? Au point que le défunt Cardinal lança ce cri du cœur: « Il est temps que les médiocres dégagent! » Au contraire, jouant la carte de l’arrogance, du mépris envers toute une nation et du fait accompli, Joseph Kabila prolongea la survie de son régime en se maintenant deux ans au pouvoir, au-delà du délai constitutionnel, de décembre 2016 à décembre 2018.
Une arrogance et un mépris qui provoquèrent de nombreuses protestations aux quatre coins du pays. Quel Congolais, nonobstant ses libres convictions ou choix politiques, peut oublier la répression sanglante des marches pacifiques organisées, à l’initiative du Comité laïc de coordination (CLC), les dimanches 31 décembre 2017, 21 janvier et 25 février 2018 pour dénoncer ce non-respect délibéré du prescrit constitutionnel? Qui peut oublier le bilan effroyable de cette répression? Des morts, des blessés; des femmes violentées et déshabillées; des arrestations arbitraires des prêtres, des religieux et des laïcs; des gaz lacrymogènes lancés dans les églises; des vols et des extorsions des biens des citoyens (argent, téléphones portables, etc.)?
Attelage désarçonnant
Sans doute que, obnubilés uniquement à charger le pouvoir actuel, les trois signataires ne se souviennent plus de toutes les dérives de la « kabilie » pour former – occasionnellement ou à la vie, à la mort?- un attelage surréaliste autant inattendu que désarçonnant. Quel intérêt, quelle urgence, quel danger, quel mobile obscur ou inavoué peut – et pour quel objectif – réunir ces trois « personnalités » – que tout sépare, voire oppose – à cosigner une « déclaration commune » dans laquelle se côtoient les antiennes, les redites, les approximations, les raccourcis, les lieux communs, les contre-vérités, les affirmations péremptoires, les procès d’intention et – tout simplement – la mauvaise foi qui rythment la vie politique congolaise depuis des lustres? Les observateurs attentifs n’ont pas manqué de relever que les cosignataires reprennent à leur compte les propos, les critiques, les revendications, les vociférations et les frustrations de ce qui reste encore (pas grand monde) de fidèles caciques et zélateurs du FCC (Front commun pour le Congo), la coalition de l’ex-président Joseph Kabila, depuis qu’ils s’ébrouent – sans accès aux privilèges et aux caisses de l’État -, dans le marigot de l’opposition après avoir géré – ou plutôt vampirisé – la République pendant dix-huit ans tels les parrains d’un cartel mafieux: magouilles et combines, corruption banalisée et érigée en activité légale rémunérée, détournements ahurissants des deniers publics, exonérations et allègements fiscaux indus, cartes de crédits débitées sur le compte du Trésor public, fuites colossales des capitaux, bradages des entreprises nationales, promesses mirobolantes tels les « cinq chantiers » ou la « révolution de la modernité » restées au stade de l’effet d’annonce. La liste n’est pas exhaustive. Et pour cause! Elle serait interminable…
Une imposture
Il reste légitime pour tout citoyen de critiquer et de s’opposer à la politique ou à l’action gouvernementale de son pays. Encore faudrait-il rester dans les limites de l’argumentaire fondé, et non – en hurlant avec les loups – céder aux sirènes du discours mielleux, de la désinformation, de la démagogie ou du populisme pour s’attirer, tant soit peu, la sympathie d’une population abandonnée à son triste sort depuis une trentaine d’années. Certes, le Congo ex-Zaïre est un pays majoritairement chrétien; mais se muer en Jésus-Christ, le « sauveur », venu apporter la « Bonne Nouvelle » aux opprimés ou aux déshérités relève de l’imposture! D’autant plus que, en dehors d’une refonte patiente et de longue haleine qui suppose des réformes politiques, économiques et sociales profondes, voire douloureuses, ainsi qu’un changement – ou, plutôt – une révolution des mentalités, il n’existe point de recette ou de solution miracle pour remettre sur les rails les rouages d’un État longtemps déstructuré. Même le Saint-Esprit n’y peut rien lorsque, par exemple, le citoyen considère la corruption comme un business normal, reste réfractaire au paiement des cotisations sociales, des taxes et de l’impôt, construit anarchiquement même sur des terrains inappropriés et ignore le simple respect du code de la route. En passant outre ces quelques anti-valeurs qui – parmi tant d’autres – gangrènent la société congolaise, le trio signataire de la « Déclaration commune » prêche dans le désert. Un désert de vœux pieux et d’incantations, car les trois « personnalités » se bornent à « dénoncer », à « fustiger », à « condamner », à « exiger » sans formuler aucune proposition.
Limitons-nous à un seul exemple: Denis Mukwege, Matata Ponyo et Martin Fayulu « exigent » la recomposition de la Commission électorale nationale indépendante (Céni) et de la Cour constitutionnelle. Sans préciser à qui s’adresse leur exigence. Sans expliquer la procédure ni les modalités qu’ils comptent mettre en œuvre pour y parvenir. C’est tout simplement ramener la nation à des palabres stériles et à des débats éculés susceptibles – à l’instar de la guerre à l’est du pays – d’impacter le calendrier électoral. Qui ignore que les huit confessions religieuses censées désigner le président de la Céni ont été incapables, pendant de longs mois, de trouver un consensus à ce sujet et qu’il a fallu recourir au vote conformément à leur propre charte? Qui ignore que, arguant de leur « poids » dans la société congolaise au mépris de l’expression majoritaire, les Églises catholique et protestante furent à l’origine de ce triste blocage qui n’honore pas les « hommes de Dieu » et qui a retardé la mise en place du nouveau bureau de la Céni (1)?
Quelle galère!
Prix Sakharov en 2014 et prix Nobel de la paix en 2018 – entre autres nombreuses distinctions – le docteur Denis Mukwege (2), surnommé « l’homme qui répare les femmes » (lire l’ouvrage éponyme) pour son engagement contre les mutilations génitales pratiquées sur les femmes en République démocratique du Congo (RDC), n’a cessé d’alerter sur le viol collectif utilisé comme arme de guerre. Plaidant contre l’impunité de ces crimes étayés par plusieurs rapports, notamment le rapport Mapping qu’il évoque souvent, il s’est fait le chantre de la paix à l’est de la RDC. Mais, que Diable, est-il allé faire ou chercher dans cette galère d’une « Déclaration commune »?
Sous la « kabilie », son nom, ses nombreuses distinctions, son travail et son combat étaient ignorés, passés sous silence: aucun représentant officiel, par exemple, pour les remises du Prix Sakharov ou du Nobel de la paix. Sa sécurité, sous le pouvoir kabiliste, ne constituait pas une préoccupation pour les autorités. En 1996, lors de la fameuse « première guerre du Congo », son hôpital est détruit. Le docteur échappe à la mort tandis que plusieurs malades et infirmiers sont assassinés. Après un exil à Nairobi, il revient en RDC. En avril 2012, il est victime d’une agression; il est ligoté et sa voiture est incendiée. Grâce à l’intervention des voisins venus à son secours, il s’en sort sain et sauf. Il trouve refuge en Belgique pendant quelques mois avant de retourner auprès des ses patientes qui assurent sa protection dans son hôpital de Panzi à Bukavu. Par contre, l’actuel président de la République, Félix Tshisekedi, a instruit le gouvernement d’assurer la sécurité du docteur et d’ouvrir une enquête sur les menaces de mort qui pèsent sur lui. Voilà, sans doute, un exemple de ce que les signataires de la « Déclaration commune » qualifie de manque de leadership au sommet de l’État!
Un justiciable au-dessus des lois?
Baron du – mal nommé – Parti du peuple pour la reconstruction et la démocratie (PPRD), l’épine dorsale du FCC, Matata Ponyo fut ministre des Finances (2010 – 2012) et Premier ministre de Joseph Kabila (2012 – 2016). Un record de discontinuité à ce dernier poste! Sous sa primature, à la suite de celle d’Adolphe Muzito (octobre 2008 – mars 2012), l’Inspection générale des finances (IGF) était réduite à une coquille vide, à une structure sans vie, permettant ainsi toutes les dérives financières: corruptions, détournements, marchés et contrats publics opaques, etc. Sur lui pèsent deux affaires judiciaires. La première concerne son rôle dans la débâcle et l’opacité financière du parc agro-industriel de Bukanga Lonzo (3) et pour lequel l’IGF – enfin remise en selle sous le pouvoir actuel – estimé à 205 millions de dollars les détournements de deniers publics. La deuxième remonte à 2011 lorsque, en sa qualité de ministre des Finances, il fut chargé de l’indemnisation des victimes de la « zaïrianisation » décrétée par Mobutu Sese Seko dans les années 1970. Les personnes lésées attendent toujours…
La présomption d’innocence demeure un principe sacré. Mais aucun justiciable congolais ne peut être au-dessus des lois jusqu’à prétendre ne pas avoir une juridiction compétente de le juger pour répondre de ses actes. Surtout de la part d’une « personnalité » ayant occupé de hautes fonctions. Et qui devrait prêcher par l’exemplarité en mettant un point d’honneur au devoir de redevabilité due aux citoyens! Matata Ponyo a quitté le PPRD en proie à des luttes intestines. Il a fondé son parti, Leadership et gouvernance pour le développement (LGD), il en est le président et candidat à l’élection présidentielle: c’est son droit le plus strict. Par contre, il est consternant de lire que les trois signataires de la « Déclaration commune » considèrent les poursuites judiciaires engagées à son égard comme un moyen non seulement de l’ « éliminer du processus électoral en cours », mais également d’ « exclure les leaders de l’opposition et de la résistance de la course au sommet de l’État »! Avec une telle argutie, aucun Congolais ne devrait plus être traduit devant les Cours et Tribunaux de la République…
Un « frère en Christ »?
Martin Fayulu, président du parti Engagement pour la citoyenneté et le développement (EciDé) reste un opposant qui, pendant la « kabilie » en avait (pour reprendre une expression kinoise) « avalé des gaz lacrymogènes »! Sans compter les arrestations arbitraires et le gel de ses affaires dont le fameux Hôtel Faden House. Rien de tel ne lui est arrivé sous le pouvoir actuel. Il s’exprime, manifeste et vaque librement à ses occupations. Malgré ses propos incendiaires et outranciers (« pantin », « marionnette », « placebo », « nommé par Kabila », « complice de Kagamé »…) envers son « frère en Christ », Félix Tshisekedi, avec lequel il priait les dimanches matin dans une église de réveil de la capitale congolaise. Malgré son obstination à se considérer toujours comme le « président élu » et sa lubie de se présenter – à l’instar de l’Américain Donald Trump ou du Brésilien Jaïr Bolsonaro – comme victime d’un « hold-up électoral », sans pouvoir en fournir des preuves.
Et pourtant! Suite aux instructions du président de la République, son hôtel a été rouvert et ses affaires ont repris. Mais apprendre que ce « frère en Christ » ait pu cosigner une « Déclaration commune » avec Matata Ponyo, un ponte du kabilisme, provoque la berlue. En effet, le président de l’ECIDé ne ratait aucune occasion pour épingler les maux du régime Joseph Kabila: mauvaise gouvernance, manque de vision et de leadership, violation systématique des droits humains, corruption endémique, détournements des deniers publics, réaction amorphe face aux rebellions qui ravagent l’est du pays avec l’appui des pays voisins dont le Rwanda, etc. Les mêmes maux que les signataires de la « Déclaration commune » attribuent maintenant au régime actuel. Rien de neuf, donc, sous le soleil!
Pour l’heure, Denis Mukwege semble se tâter. Matata Ponyo et Martin Fayulu sont candidats à l’élection présidentielle. Ils seraient mieux inspirés de peaufiner leurs programmes ou projets de société, d’organiser leurs partis, de sensibiliser leurs militants ou sympathisants sur les enjeux de cette échéance électorale et, surtout, d’expliquer aux Congolais pourquoi voter pour eux. Courir après les chimères des déclarations communes sans lendemain ou des revendications superfétatoires, c’est semer le vent. Et qui sème le vent récolte la tempête. Martin Fayulu, le « frère en Christ » n’ignore certainement pas ce Livre d’Osée: chapitre 8, verset 7…
–
Polydor-Edgar Kabeya
Juriste – Consultant en médias et communication
Rédacteur en chef de la revue « PALABRES zaïro-congolaises » (Éditions L’Harmattan, Paris)
36 thoughts on “Mukwege, Ponyo, Fayulu: un attelage surréaliste”
Comments are closed.
Et qui est donc ce mec « mashi-a-mumenu » qui se porte « avocat » de la kleptocratie UDPS-USN et justifie celle-ci en la comparant aux regimes anterieurs qu’il pretend plus nefastes? Qu’a fait son idole-voyageur Tshilejlu en 5 ans au sommet apres son chapelet de promesses pour corriger les mefaits du Kabilisme et Mobutisme ? Au contraire, ce mec passe sous silence l’enrichissement illicite (inclu achat d’un avion-Jet personnel par son idole Tshilejelu qu’il « loue » a l’Etat pour ses voyages de luxe et inutiles), oubliant la misere du peuple d’abord endormi en slogans. Devrions- rappeler a ce mashi-a-mumenu l’institutionalisation sous le regime UDPS de la corruption et retros a grande echelle, detournements de carres miniers au profit de « qui vous savez », sa famille et copains ex-frappeurs, surfacturations des projets dont Tshilejelu chez lui meme au Kasai, et escroqueries (dont RAM)? Voila que sa longue dissertation partisannne et pleine de sophismes vient de discrediter ce pseudo intellectuel.
Cher Mr Kabeya,
Puis-je vous demander pourquoi le choix de ce sujet comme si l’alliance Mukwege, Matata, Fayulu était l’événement le plus regrettable à imputer à nos politiciens ces derniers moi ; les dieux seraient tombés sur la tête des Congolais en l’apprenant mais n’est-ce pas sur votre tête plutôt que sur celle de tous les Congolais ? Plus surprenant vous le justifiez par des situations passées bien plus graves, à se demander si votre mobile, vos cibles ne sont pas ailleurs. Vous alignez les CV des signataires pour ne pas leur reconnaître des raisons de s’exprimer mais n’est-ce pas parce qu’ils ciblent la gestion du pouvoir en place ? C’est tout votre droit de le défendre mais on aurait préféré que vous assumiez un plaidoyer plus direct plutôt que par procuration et pour le coup vraiment surréaliste. Oui, à mon tour de vous demander quel intérêt, quel mobile obscur ou inavoué, quel objectif vous ont poussé à leur refuser le droit de se réunir et de poser leurs revendications surtout que votre décryptage de leurs propos est loin d’être objectif dénué de mauvaise foi. Je ne m’epuiserai pas à les detailler ici sauf si quelque anicroche ultérieur m’y pousse.
Toujours aussi nul ce Jackerny. Sans aucune imagination, le mêmes vocabulaires, une rhétorique décalée.Tout congolais normalement constitué ne peut que manifester son étonnement devant un tel attelage surréaliste. Mais bon, il faut de tout pour faire….
@Elombe,
D’ordinaire, des cons de ton acabit ne meritent que mon silence meprisant. Mais, puisque tu te sens dans le viseur de mes critiques, tu te devoiles ici comme l’un de ces ex-frappeurs aujourd’hui rampant et ramassant des miettes a la Mangeoire de ton idole F. Tshilejelu-Tshijengu. « Bon appetit », donc avant de rendre comptes en Decembre 2023 des catastrophes sociales (inbues de detournements) au « Peuple d’abord » (inclu tes freres au Kasai) que toi et ton idole roulez dans la farine depuis 2019.
Je ne comprends rien à ce jeu débile. A qui profite le décret gratuit « attelage surréaliste » sinon aux irréductibles pro-tshisekedistes et de leur gourou. Vous devriez vous en réjouir au lieu de le moquer parce qu’il est supposé ne rien produire et ne pas déranger votre royaume… Bon, comme la religion de l’Udps est l’insulte perpétuelle, on comprend qu’elle en use sans comprendre le pourquoi et mesurer à qui la destiner…
***comme l’insulte est la religion perpétuelle ET LE DIVERTISSEMENT BÊTE FAVORI DE SES FRAPPEURS IMPÉNITENTS…
A vomir !
Un plaidoyer minable du régime Tshilombo !
Sauf si, Monsieur, le Juriste – Consultant en médias et communication ; Rédacteur en chef de la revue « PALABRES zaïro-congolaises » (Éditions L’Harmattan, Paris), vous faites de l’anticatastase.
Des détournements des deniers publics, l’enrichissement insolent de la famille présidentielle, des carrés miniers au Lualaba partagés entre les membres de la cour royale et des criminels économiques chinois et indo-pakistanais au détriment du trésor public et la misère noire que vit le peuple… C’est Mobutu ? C’est Hyppolite Kanambe ?
Au lieu de nous perdre notre temps, dîtes-nous plutôt le nombre d’emplois crées par votre mandant depuis plus de quatre ans ? Expliquez-nous les causes de ce bonheur paradisiaque que vit actuellement le peuple congolais. Dîtes-nous, par exemple, pourquoi le monde entier condamne et prend des sanctions contre nos frères bien-aimés rwandais alors qu’ils apportent le développement et le bonheur à l’Est du pays à travers les évangélistes du M23…
Excusez-moi, je vais vomir.
Seul un « Elombe » serait ici plus minable que ce fanfaron (pseudo-) juriste! Voila donc le calibre des farfelus entourant Tshilejelu-Tshijengu. Et on s’etonne que la RDC soit la risee des presidents-meritocrates comme Alassane Ouattara ou encore Macky Sall !
DE QUEL TROU IL SORT, CELUI-LÀ?
POLYDOR, POLYDOR, POLYDOR TOBENGI YO TROIS FOIS. VOTRE PIÈTRE MUKWA TOMBOLO EST UN NUL. PAROLE DE NOS ANCETRES BANTOUS ! Le leader Charismatique Maréchal Mobutu Sese Seko Kuku Ngbendu Wa Zabanga est déjà au SÉJOUR DES MORTS. Il est écrit « Pour tous ceux qui vivent il y a de l’espérance; et même un chien vivant vaut mieux qu’un lion mort. Les vivants, en effet, savent qu’ils mourront; mais les morts ne savent rien, et il n’y a pour eux plus de salaire, puisque leur mémoire est oubliée. Et leur amour, et leur haine, et leur envie, ont déjà péri; et ils n’auront plus jamais aucune part à tout ce qui se fait sous le soleil » dixit l’Ecclésiaste Salomon aka Mon Mon en Sawa ancien l’ancêtre du Lingala. Si le l’ultra Tribaliste Népotiste Tshilombo-Pétain président protocolaire nommé par les OCCUPANTS Banyarwanda n’arrive pas à égaler Mobutu en sécurisant toute l’intégralité du territoire national et à nommer sagement ces collaborateurs en tenant compte de l’équilibre régional, ce n’est pas la peine de cacher les lacunes manageriales du faux diplômé de l’ICC de Bruxelles qui s’est attribué deux faux diplômes (Management et Communication) en utilisant la tribune du CIC comme un exutoire du leadership mou de FATSHI BIDON. Du temps du Zaïre versus Kinshasa la Belle, il n’y avait pas 12 millions de morts et des millions des femmes violées comme aujourd’hui, le secteur d’éducation était mieux qu’aujourd’hui où le phénomène KULUNAS de Kinshasa la Poubelle bat son plein et le niveau intellectuel des diplômés d’état et universitaires est nivelllé vers le bas. Quant à l’économie, nonobstant les pillages de 1991 et 1993 organisés par Udps Familiale de Tatu Étienne Tshisekedi de triste mémoire permettant que Limete industriel des années 60 soit transformé en cité résidentielle en 2020, le tissu économique de la Commune de Limete serait intact, les églises de Sommeil Binzambi Nzambi qui remplacent les entreprises et usines florissantes du TISSU (POUMON, FLEURON) ÉCONOMIQUE du quartier industriel de Limete seraient moins prolifiques car les mêmes causes produisent les mêmes effets. Faute d’emplois durables et de l’incitation à l’entrepreunariat public privé, les RDCIENS contemporains de Tshilombo-Pétain se transforment en Bandits de l’évangile édulcoré Escrocs Voleurs de haut vol comme le président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par les OCCUPANTS Banyarwanda et ses amis Politichiens en se servant de la Culcuterie Bondieusarde (Religiosité imbécilisante et Fanatisme aveugle). LA TURQUIE FRAPPÉE PAR UN SÉISME MEURTRIER TRAITE MIEUX LES CHIENS QUE LA RDC OCCUPÉE TRAITE SES PROPRES POPULATIONS ABANDONNÉES À LEUR PROPRE SORT ! La Turquie récemment endeuillée par un double séisme meurtrier de 7,6 et 5,2 à l’échelle de Richter [qui a fait 40.000 morts, 90.000 bâtiments effondrés] n’a pas souhaité que les CHIENS SECOURISTES retrournent dans leur pays dans la soute à bagages selon le protocole pour les animaux. Ces héros à 4 pattes qui ont sauvé d’innombrables vies sont rentrés en First Class des Companies Aériennes Turques. NE MANGEZ PLUS MILOU, BLACKY & IDÉFIX, ça peut avoir des conséquences facheuses sur la matière grise. En RDC occupée par les Banyarwanda par contre, les chiens secouristes n’existent pas, à cause de la faim, de la malnutrition et de la sous-alimentation, cet animal canin est traqué par ses consommateurs. La viande de chien (ami des hommes) est devenue un plat de luxe que certains Kinois venus du Grand Kasaï en raffolent et la préparent à toutes les sauces. Si les Chinois la consomment HALAL, les RDCIENS abandonnés par leur État
Failli la consomment sauvagement, cela se répercute sur le mental, la psyché et le cerveau desdits consommateurs qui voient noir quand c’est blanc vice versa, qui confondent le Collaborationnisme et le Nationalisme-Patriotisme, l’État et l’Individu, la Nation-Patrie et la Région-Tribu-Ethnie, bref qui considèrent le Mensonge comme la Vérité, le Vice comme la Vertu et le Mal comme le Bien. Depuis presque 5 ans, ceux (Kasaïens Tshilombistes) qui se disaient que c’est leur tour au pouvoir sans pouvoir, ceux qui criaient à tue-tête qu’ils vont mater les autres tribus de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE (TUKUNIATA BANGU LUKULA BA NKAYASA) sont déconcertés, abasourdis, confondus par leur cuisant échec et se permettent de dire sur tous les toits pour se donner une bonne conscience qu’ils sont le POUVOIR INCARNÉ au KONGO-ZAÏRE de la bouche d’un de leurs bourgmestres incompetents notoires comme Tshilombo-Pétain leur Maitre Satano-occulto-nécromancien. Pathétique. « La violence, rétorque Hardin, est le dernier refuge de l’incompétence. Mais je n’ai certainement pas l’intention de déployer un tapis sous les pas des envahisseurs ni de leur cirer les bottes » Citation d’Isaac Asimov (Écrivain américain et Professeur de Biochimie à l’Université de Boston). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
Les rares fois que je suis intervenu dans les pages de Congo Indépendant, c’est pour m’étonner du fait que nombre des commentaires s’écartent du sujet traité. Que Denis Mukwege, Matata Ponyo et Martin Fayulu signent une déclaration commune, c’est leur droit. Il reste indéniable que, au-delà de nos sympathies politiques, ce rapprochement interpelle et désarçonne au vu du parcours si différent de chacun d’eux. Et le sujet ne traite pas du régime actuel et ne l’encense pas non plus. Dès lors, je ne comprends pas les commentaires du style « mashi-a-mumenu avocat de la kleptocratie UDPS-USN » ou certaines attaques (« fanfaron pseudo-juriste ») envers l’auteur de l’analyse. Ne pas être d’accord avec une opinion est une chose ; mais ce désaccord ne nous donne pas le droit de verser dans l’excès ou dans l’outrance…
@Antoine Bofola,
Vous vous trompez. Le sujet traite – de façon subliminale – du régime actuel et l’encense. Je m’en vais vous le démontrer par six points seulement que voici :
1. » La situation du pays est-elle si sombre que celle endurée pendant les vingt-deux ans de la « kabilie » (Kabila père et fils)? »
Ici, sans gène, l’auteur cherche à soutenir que la situation actuelle (sociale, économique, sécuritaire…) est meilleure que l’époque Kabila. Si vous posez cette question à la majorité de notre peuple, la réponse est OUI. Vivez-vous au Congo ? Si oui, vous savez pourquoi. Si non, si vous avez de la famille au pays, renseignez-vous. Peut-être que vous êtes membre de la Cour royale et que vous vivez au paradis.
2. » Sans doute que, obnubilés uniquement à charger le pouvoir actuel, les trois signataires ne se souviennent plus de toutes les dérives de la « kabilie » pour former – occasionnellement ou à la vie, à la mort?- un attelage surréaliste autant inattendu que désarçonnant. » :
L’ auteur se mue en défenseur du pouvoir actuel qu’il voit être attaqué. On approche même de la morale. On ose parler d’ingratitude. N’est-ce pas ? C’est une Interprétation purement subjective sans fondement. Je rappelle qu’on est dans la POLITIQUE et la conquête de pouvoir. Et même, qui est ce juriste pour interdire à Matata, Fayulu et Kabila de former une union s’ils le souhaitent ? N’a-t-on pas vu Tshilombo former une coalition kafkaïen avec Kabila ( FCC-Cash) ? Pouvez-vous nous dire ce qui pouvait unir ces deux tueurs du rêve congolais ?
3. » à cosigner une « déclaration commune » dans laquelle se côtoient les antiennes, les redites, les approximations, les raccourcis, les lieux communs, les contre-vérités, les affirmations péremptoires, les procès d’intention et – tout simplement – la mauvaise foi qui rythment la vie politique congolaise depuis des lustres? » :
L’auteur n’énumère pas ces lieux communs, contre-vérités, affirmation péremptoire…etc..? C’est une affirmation gratuite, PEREMPTOIRE, ne reposant sur aucun fait matériel argumenté ici. Est-ce un Kabuya un peu plus inspiré qui parle ici ? On ne peut trouver plus péremptoire que ce blabla dégoutant.
4. » Par contre, l’actuel président de la République, Félix Tshisekedi, a instruit le gouvernement d’assurer la sécurité du docteur et d’ouvrir une enquête sur les menaces de mort qui pèsent sur lui.
Sans compter les arrestations arbitraires et le gel de ses affaires dont le fameux Hôtel Faden House. Rien de tel ne lui est arrivé sous le pouvoir actuel. Il s’exprime, manifeste et vaque librement à ses occupations » :
Ici, on atteint le somment de la bêtise et du dire n’importe quoi. C’est du très haut niveau. N’est-ce pas là une des prérogatives constitutionnelles d’un président de la république..que d’assurer la protection de biens et de personnes de son pays ? Devons-nous applaudir Tshilombo pour ça ? Mais oyo kindoki te ?
5. » Malgré ses propos incendiaires et outranciers (« pantin », « marionnette », « placebo », « nommé par Kabila », « complice de Kagamé »…) envers son « frère en Christ », Félix Tshisekedi, avec lequel il priait les dimanches matin dans une église de réveil de la capitale congolaise » :
Cher Monsieur, voulez-vous qu’on vous rappelle les propos de Tshilombo sur Kabila avant que ce dernier fasse de lui un Roi nu mais riche ? Je vous invite à faire un tour sur la planète Youtube. Sous les manguiers à Limete, on jurait par Teutatès que c’était de la démocratie. Bobosani ?
6. » Suite aux instructions du président de la République, son hôtel a été rouvert et ses affaires ont repris » :
Waouh…On voudrait nous vendre l’image d’un président juste, humain, DIEU fait homme… qui pense au bien de son peuple. Mais Ndeko Antoine Bofola, c’est donc le président de la république qui donne des instructions (j’imagine à la justice) pour que les affaires privées des nos compatriotes ne soient pas réquisitionnées par la justice ? Etat de droit made in UDPS ?
Solola bien !
Ndeko Antoine Bofola,
Je partage entierement votre etonnement! Il y a un groupe de compatriotes qui publient regulierement sur ce site, et qui se distingue par un anti-tshisekedisme hysterique! Les membres de ce groupe semblent avoir jure qu’ils ne diront rien de bon de Tshilombo, et n’entendront personne essayant de prendre sa defense! Deux d’entre eux se specialisent dans des sophismes qui feraient honte meme aux grecs! Deux autres n’hesitent jamais a verser dans l’injure facile parce qu’a leurs yeux, l’injure facile est une distinction honorifque! Ils ne se rendent meme pas compte que l’injure est toujours un aveu d’impuissance! Il y en a meme un qui veut demontrer a tous et a chacun qu’il connait l’histoire de la deuxieme guerre mondiale en Europe et tous ses villains. Et il colle allegrement les noms de ces crinminels comme surnoms aux congolais qu’il n’aime pas! D’aucuns parlent regulierement de ‘mashi a mu menu » sans meme savoir ce que ca veut dire et quand il faut le dire!! L’ auteur de cette publication parle bien d’un attelage surrealiste, et c’est bien ce que l’alliance Mukwege-Matata-Fayulu est! Au lieu de se demander pourquoi ce juriste traite l’attelage de surrealiste, ils l’accusent meme sans le connaitre d’etre un pseudo-juriste tshisekediste! Je suis etonne comme vous de voir qu’il y en a qui en profitent toujours pour vilipender ‘le pouvoir en place’. C’est triste!
Mon frère Antoine Bofola, chasser le naturel il revient au galop, dans cette rubrique de CI, il y a une bande complètement arrangée, frustrée, hargneuse qui n’a qu’insulte comme argument. Ces compatriotes se sont octroyé le droit de dénigrer, brocarder tous ceux qui ne sont pas d’accord avec eux. Il suffit qu’on rétablisse un certain nombre de faits pour s’attirer leur courroux. Leur intolérance empêche tout débat digne et républicain comme cela se passe partout ailleurs. Ce n’est pas la critique du régime Tshisekedi qui pose problème, c’est le fait de se fourvoyer dans des attaques personnelles qui interroge. D’où vient cette haine sans limite qui pousse certains à traiter un autre ongolaus de » Petain « . Il lui est même reproché de parler sa langue maternelle. Du choc des idées jaillit la lumière dit on, mais pour certains congolais, c’est l’injure et l’outrance qui tiennent lieu d’arguments. Depuis l’accession de notre pays à l’indépendance, nous avons connu des drames parce que la haine, la jalousie, l’envie sont devevues des chaleurs et non des vices. A cette allure, ce grand pays de plus de 450 ethnies et tributs risque de replonger dans les abîmés des années 60. Dommage.
Cher Elombe. Beaucoup de ces haineux se croient patriotes, et ils considerent toute attaque, tout injure, toute invective contre Tshisekedi comme etant un acte de bravoure digne d’un patriote! Pour eux critique, polemique, invective, injure, et denonciation c’est du pareil au meme des lors que la cible est Tshisekedi! Ils se defendent d’etre des haineux mais je ne vois comment les traiter autrement quand je lis certaines de leurs publications vitrioliques! Je me suis meme donne la peine de partager avec eux ce que l’on entend par ‘critique’, rien n’a change depuis! Je ne compte meme plus des attaques ad hominem de ces compatriotes vis-a-vis de Tshisekedi. Vous avez parfaitement raison et je suis d’accord avec vous quand vous dites que ‘Ce n’est pas la critique du regime Tshisekedi qui pose probleme’. Encore faut-il que l’on se mette d’accord sur ce que c’est une ‘critique’.Je ne sais pas dans quel manuel il est ecrit que vous pouvez vous attaquer a votre president meme en pleine guerre du moment qu’il est etabli que vous n’etes pas de son obedience politique! Qui connait le nom du chef de l’opposition en Ukraine? Mais tout le monde connait le nom de Volodymyr Zelenski! Salut chez vous!
Cher Binsonji,
Vous épinglez des faux patriotes qui ne feraient que « critiquer » le président Tshisekedi et vous chutez sur une comparaison osée avec Zelensky en guerre comme nous. Pour moi quel que soit le contexte,Tshisekedi est une personnalité publique qui nécessite reproche ou applaudissements en rapport avec ce qu’il dit ou ne dit pas, ce qu’il fait ou ne fait pas, c’est même le devoir de tout bon patriote contrairement à votre jugement. Un PR doit se nourrir en toute redevabilité de la réception de ses Ctoyens.
Quand à la comparaison avec Zelensky, vous ferez mieux de bien regarder comment il agit, c’est bien loin de ce que fait notre président Tshisekedi.
Bref si ce n’est pas la critique de Tshisekedi qui est en question, je ne vois pas l’opportunité de votre intervention.
Lisez plutôt » enragée » que arrangée.
Cher Antoine Bofola,
Je vous convie à relire le pastiche de ce cher Kabeya et vous comprendrez que son mobile de fond était d’abord de descendre l’alliance Mukwege, Fayulu, Matata pour mettre en valeur le pouvoir en place qu’il contredit. Si pour vous ce ‘sujet ne traite toujours pas du régime actuel et ne l’encense pas’, désolé alors nos lectures divergent et je n’y peux rien pour votre apparente cécité intellectuelle tant il est bien clair que le reproche pour moi trop morienté fait à cette alliance est ici en miroir avec la gestion du pays par l’actuelle gestion du pays. Voilà…
C’est la première fois que j’interviens dans les pages de Congo Indépendant. J’ai toujours hésité, car il me semble qu’il devient de plus en plus difficile d’ avoir un débat serein et d’exprimer une opinion sans que l’on soit taxé d’être pro ou anti Félix Tshisekedi, pro ou anti Moïse Katumbi, pro ou anti Martin Fayulu, pro ou anti Matata Ponyo, etc. Je pense que les personnalités politiques congolaises sont pour quelque chose dans ce climat délétère avec leurs fameux « communicants », leurs relais dans les médias et sur les réseaux sociaux. Quant à la déclaration commune dont il s’agit ici, je reste sidéré par certains commentaires ou certaines réactions. Les uns passent du coq à l’âne sans fil conducteur cohérent, tandis que les autres frisent avec un tribalisme primaire, tout en occultant le fond de la thèse exprimée, sans expliquer le pourquoi de son accord ou de son désaccord. La liberté d’expression n’est pas synonyme de verbiages ni de divagations. Elle ne se résume pas, non plus, à être simplement pour ou contre…
@ Jo Bongos. Cher ami, juste quelques brèves mises au point et j’arrête ce dialogue des sourds. Donc le feu Cardinal Mosengwo avait tort d’évoquer « une prison à ciel ouvert » ; la répression sanglante des marches pacifiques organisées par le Comité laïc de coordination n’a jamais existé ; Martin Fayulu n’a pas récupéré ses affaires gelées sous le pouvoir kabiliste, il ne s’exprime pas et ne manifeste pas librement : voilà des faits et les faits restent têtus quand bien même on refuse de les voir. Et, in fine, qui interdit à Matata, Fayulu et Kabila de former une union s’ils le désirent ? Peut-être que nous n’avons pas lu le même texte…
@Antoine BOFOLA : Je souscris à votre remarque. En effet, il convient de ne pas sortir de la logique d’une critique constructive! Mais en même temps je comprends l’outrance du langage contre le mal. Quant au rapprochement : rien d’incompatible entre Fayulu et Mukwege. C’est peut-être même salvateur pour la RDC … Par contre Matata, son passé politique ferait qu’il n’inspire pas confiance.
LES TALIBANS DU CIC ULTRA FANATIQUES AVEUGLES DE TSHILOMBO-PÉTAIN PRÉTENDUMENT DÉMOCRATES DÉFENDENT TRÈS MAL LEUR CROUPION GOUROU Jr ! Quelqu’un a dit “Argumenter avec des imbéciles, c’est comme jouer aux échecs contre un pigeon. Peu importe votre niveau, le pigeon va juste renverser toutes les pièces, chier sur le plateau et se pavaner fièrement comme s’il avait gagné”. En quoi un débat politique inutile avec des inconscients congénitaux en majorité Kasaïens adeptes de la Sous-Occupation de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE par les Banyarwandas de l’Empire Hima ou EAC « East African Community » changera quelque chose dans nos vies respectives et dans la vie des distraits RDCiens contemporains de FATSHI BIDON qui nous (Combattant Résistant de l’Ombre) le rappelons n’a jamais gagné les élections présidentielles de 2018 et fait montre d’une incompétence notoire qui crève les yeux ? LA DÉMOCRATURE-DICTOCRATIE [qui désigne un régime qui, sous l’apparence d’une démocratie fonctionnant en réalité comme une dictature dans lequel une constitution papier toilette est en place, des élections pièges à cons truquées d’avance ont lieu régulièrement, la liberté d’expression factice est garantie dans les textes, cependant les élites compradores escrocs voleurs en place manipulent ces institutions afin de conserver leurs privilèges] en cours en RDC OCCUPÉE prouve qu’il n’y a pas de DÉMOCRATIE dans ce foutu pays où les hommes et femmes marchent la tête en bas les jambes en l’air, un pays occupé est devenu un NO MANS LAND, une PRISON à ciel ouvert, un MOUROIR GÉANT; les Talibans KIKALANKONKI qui transportent sur leur dos toute la grosse merde de Tshilombo-Pétain pensent que tout est blanc dans ce pays occupé doivent arrêter de consommer la viande canine, ça détruit réellement la matière grise si du moins ils (TALIBANS FANATIQUES AVEUGLES) en ont, ce que nous doutons clairement vu la situation politico-économico-militaro-sécuritaire chaotique qui prévaut à Kinshasa la Poubelle et ses provincettes médiévales. DÉBATTRE À ARMES INÉGALES AVEC DES POLITICHIENS COLLABOS ET LEURS SUPPLÉTIFS FANATIQUES AVEUGLES C’EST PARTICIPER À LEUR INCURIE SATANO-OCCULTO-NÉCROMANCIENNE DE LA SOUS-OCCUPATION DU KONGO-ZAÏRE ! Il n’y a aucune place à la sentimentalité, à l’émotion, à la complaisance, au laxisme dans ce bras de fer du Combat de la Résistance contre les Occupants Banyarwanda. Nul ne peut faire la politique dans un pays Sous-Occupation étrangère. Tout POLITICHIEN dans un pays occupé [est un COLLABO ou un OCCUPANT] doit se transformer en UN RÉSISTANT. Si Tshilombo-Pétain président protocolaire nommé se permet de créer une milice armée exclusivement Kasaïenne pour traquer ses contradicteurs, ce que la DÉMOCRATIE N’Y EXISTE PAS. Le KONGO-ZAÏRE n’a connu que 3 Présidents (Kasa-Vubu, Mobutu et Laurent-Désiré Kabila) comme l’histoire le retient. L’Occupation Rwandaise Génocidaire a connu 2 présidents (le TRAÎTRE JOUISSEUR Tshilombo-Pétain et l’IMPOSTEUR Kanambe alias Joseph Kabila) qui seront rayés de l’histoire de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE. Mahatma Gandhi avait dit « D’abord ils vous ignorent, ensuite ils se moquent de vous, après ils vous combattent et enfin, vous gagnez ». VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
Prétendre que la RDC occupée est une DÉMOCRATIE au vrai sens du terme, c’est prendre ses vessies pour des lanternes ! Dans son livre « De la démocratie en Amérique » écrit en deux tomes, Alexis de Tocqueville traite de l’impulsion que le mouvement démocratique donne à la forme du gouvernement, aux lois, à la vie politique et le risque de la tyrannie de la majorité qui amène à un « despotisme mou ». Plus loin il (Alexis de Tocqueville) parle aussi du rôle de la religion dans une démocratie dans un pays laïque, enfin des mœurs et des dangers potentiels de la démocratie. Le fil conducteur de ce livre très bien écrit sur la démocratie se centre autour de « L’ÉGALITÉ DE CONDITION » sans laquelle aucune démocratie ne peut être efficace. En RDC occupée, le concept « ÉGALITÉ DE CONDITION » n’existe pas et est un euphémisme car elle signifie une situation sociale dans laquelle des individus d’un pays démocratique possèdent les mêmes conditions de vie, les mêmes ressources économiques (revenu, etc.), les mêmes ressources. Cela n’arrivera jamais en RDC occupé, la preuve Tshilombo-Pétain et ses amis Politichiens sont devenus trop riches, ayant des millions et milliards $ dans leurs comptes en banque alors que le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE est trop pauvre. Dans son discours du 27 Mai 1942, Charles De Gaulle dit “La démocratie, c’est le gouvernement du peuple exerçant la souveraineté sans entrave.” or Tshilombo-Pétain et ses amis Politichiens (Exécutants) fonctionnent bêtement avec des ENTRAVES venues des Impérialistes Mondialistes (Commanditaires) des USA, de l’Union Européenne et des Rwando-Ougando-Burundo-Kenyans (Sous-Traitants). Dans le même discours de Mai 1942, De Gaulle rajoute « La démocratie se confond exactement, pour moi, avec la souveraineté », or notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE est occupé, sa Souveraineté est bradée, son intégrité territoriale est piétinée. Quand les Talibans du CIC veulent débattre sur CIC dans de telles conditions dantesques sans refondation de notre Nation Mère Patrie KONGO DIA NTOTILA, ce n’est que de la mauvaise foi doublée d’une inconscience congénitale incurable… « Au point de vue politique, il n’y a qu’un seul principe, la souveraineté de l’homme sur lui-même. Cette souveraineté de moi sur moi s’appelle Liberté.” Citation de Victor Hugo (Les Misérables). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
UN AUTRE HORS-SUJET OU UNE PARENTHÈSE DANS NOS ANALYSES SUR L’ETAT DU PAYS POUR SAISIR QUE L’INTERROGATION SUR L’ALLIANCE PRÉTENDUE SURREALUSTE REND BIEN COMPTE DE NOS DIFFERENTS MODES D’ENTRÉE DANS LE DECRYPTAGE DE NOTRE PAYS.
Diplomatie agissante chantée et colère feinte de Kinshasa d’avoir eté rudoye par les membres de l’Onu venus au Congo, qu’en dire de plus ? En voyage au Congo Macron a asséné arrogamment à Tshisekedi une leçon de responsabilité mais il y’a peut-être une chose que les Congolais ne semblent pas avoir bien saisi : au-delà de la forme quelque peu condescendante de son reproche, ses propos représentent l’essentiel de ce que pensent les chancelleries occidentales sur notre gestion et particulièrement de notre président Tshisekedi. Pour eux c’est un dirigeant qui prend à la légère ses responsabilités souveraines et régaliennes pour les sous-traiter sans honte aux étrangers.
L’Onu, nous avons d’autant plus le droit de la convoquer parce que nous sommes dans une guerre d’agression et non dans une guerre civile et il existe à travers le monde des traités d’assistance aux amis en difficulté. N’empêche que notre tort c’est notre incapacité à faire ce qu’il nous incombe comme État souverain, les violences se poursuivent à l’Est sans capacités militaires propres à y mettre fin, l’etat politique et administratif truffé de malfaisances n’arrive pas à relever le social de la population… , il nous faire autre chose que ce qui n’a rien donné.
Où est alors ce Congo du renouveau quand les prochaines élections sont par avance truquées au profit du pouvoir en place ? Nos malheurs sont d’abord dus à nos propres ratés, réveillons-nous pour les bannir…
Oui, nos fléaux sont connus : la précarité nous a davantage poussé à une irresponsabilité dès qu’il s’agit du collectif ; un pouvoir delinquant ravagé par des profits personnels en place de l’intérêt commun, incapable de gérer efficacement le pays : Ii faut ajouter son incapacité à tenir tête aux agresseurs nombreux qui convoitent nos richesses et notre espace, des Congolais complices par cupidité et ailleurs trop apathiques à intervenir pour l’intérêt commun, etc, etc…
Comment y faire face ? A chacun à sa place d’y réfléchir et de tenter de nous donner sa réponse. Est-il que je suis convaincu que malgré les obstacles en cours à l’état de droit democratique, ses voeux et revendications populaires seront malgré les obstacles entendus et s’incriront en marches vers les changements nécessaires pour notre pays. Que les dieux de nos Ancêtres nous entendent…
Cher Nono,
Dans votre logique et demonstration cartesiennes hors critique, vous venez de clouer au mur ces tonneaux- vides se croyant plus patriotiques que les Congolais qui osent critiquer leur Mulopwe-Voyageur. Un Jouisseur dont l’inconscience et l’irresponsabilite au sommet (comme l’observent tres correctement Macron et l’ONU) n’ont d’egales que la course a l’enrichissement illicite de sa bande d’ex-frappeurs ex-Matonge depuis 2019. Dans leur fausse indignation ici, ces troubadours assis a la Mangeoire du regime UDPS-USN passent sous silence le chapelet des detournements, vols et escroqueries au sommet depuis 2019 malgre la degradation catastrophique du Social en Provinces inclu chez eux au Kasai. Leur faux patriotisme ici ne se limite qu’a la defense du regime Tshilejelu, une vaste kleptocratie qui trouve ses origines dans des alliances contre nature (et pactes secrets a Kingakati) en 2018 avec Kabila et Kamerhe (et recemment meme avec Bemba). Que ces faux patriotes aillent re-lire la these principale de leur semblable Polydor Kabeya ci-dessus, et nous expliquent ce que leur Mulopwe Tshilejelu, Kabila, Kamerhe et Bemba ont plus en commun que sieurs Mukwege, Fayulu, et Matata. Nous parions ces faux patriotes la boucleront enfin, avant d’aller rejoindre la Mangeoire UDPS-USN.
@Antoine Bofola
‘Personne n’interdit à Matata, Fayulu et de Kabila(?) de former une union’ nous dites-vous alors quelle est l’opportunité de ce long article qui planche abondamment sur leur attelage surréaliste ? C’est tout comme…
Sinon, c’est vrai, personnellement j’ai fait part de la divergence de nos lectures justement comme ‘si nous n’avons pas lu le même texte’.
A Elombe, Makila, Bofola, Kulutu.
Je comprends votre perplexité. Le débat est sain, tant qu’il reste sur le plan des idées ou des arguments avec lesquels on peut être d’accord ou non. Attitude qui exclut – surtout dans un magazine en ligne où les gens ne se connaissent pas nécessairement – les insultes, les attaques personnelles, les insinuations ou procès d’intention à l’égard des gens dont ignore le parcours, les convictions philosophiques, politiques ou religieuses. Mais depuis que je lis Congo Indépendant, je constate que, quel que soit le sujet, certaines réactions ne varient pas : le même vocabulaire, la même diabolisation d’un point de vue contraire, les mêmes accusations de « traître », « vendu », « complice des occupants », « collabo », « taliban », « Tshilombo-Pétain », « vive le soulèvement, Ingenta » ! Sans oublier un zeste de tribalisme depuis que c’est un Kasaïen qui occupe la magistrature suprême. Cela rappelle les histoires qui se racontaient avec grande délectation à Kinshasa : « Soki okutani na Muluba na nyoka, boma Muluba tika nyoka » (Si tu croises un serpent et un Muluba, tue le Muluba, laisse la vie sauve au serpent). « Accident monene esalami ; mawa mingi : ba Zaïrois zomi bakufi, kasi kaka Muluba moko » (Un grave accident s’est produit ; quelle grande tristesse : dix Zaïrois sont morts, mais seulement un seul Muluba). Cela se passe de tout commentaire…
@Lutete: De grace, laisse a l’Editeur BAW le soin de censurer ou pas les intervenants et debats sur Congoindependant, un forum de libre expession et critiques politico-economico-sociales par excellence. Cesse donc tes sermons voilant a peine une hypocrisie partisanne facile a deviner. Tu peux toujours te limiter au Potentiel, le Phare, et l’Avenir, et eviter nos debats ici.
@Thomas Lufete,
Cela se passe de tout commentaire, dites-vous des bobards et chiens écrasés qui véhiculent tant bien que mal des archétypes sur les Luba par d’autres Congolais. Permettez-moi quand-même de solliciter de votre part un commentaire intelligent car je vois que vous en êtes capable . Que pensez-vous exactement de toutes ces historiettes que vous avez collectés avec précaution, ne seraient-elles que l’expression d’un tribalisme ordinaire ou méchant ou d’un vivre-ensemble anecdotique et rigolard ou alors viendraient-elles de rien, inventées, ex-nihilo ou alors traduiraient-elles quelque part des observations banales des Congolais lents à la détente intellectuelle ou encore résument-elles intelligemment des observations pertinentes sur les us et coutumes des Luba ?
Nous sommes une centaine des tribus principales au Congo et comme partout au monde la sagesse populaire retient des archétypes sur chacune d’elles ? Svp, ne faites pas semblant de comprendre qu’en ayant étalé la somme de quelques anecdotes vous avez dit quelque chose de nouveau, d’intelligent ; pour qu’elles aient quelque valeur, vous auriez dit en dire plus, hélas… Mon avis est que non seulement toutes ces anecdotes ne viennent pas de rien mais d’une rapide mais sage observation populaire mais surtout qu’elles sont banales, pas autant mal intentionnées, des médisances comme vous semblez le croire…
A Bofola Antoine. Je comprends que vous puissiez mettre fin à un dialogue des sourds. Il est évident que s’interroger, analyser, être interpellé, ou chercher à comprendre le pourquoi d’une alliance (peu importe laquelle FCC-CACH, USN, Kabila-Fayulu, Katumbi-Kabila, Matata-Fayulu-Kabila, Mukwege-Matata-Fayulu, etc.) ne signifie pas l’interdire ! Il faut savoir clore un débat sinon, à l’image de la classe politique congolaise, on s’éternise dans des palabres sans fin suivies des démentis, des mises au point ou des rectifications à ne plus en finir…
Chers tous,
En son temps, j’avais résolu de ne jamais intervenir sur ce site tant l’on a touché le bas fond du caniveau tribalistique ou ethnique.
Néanmoins, sans revenir sur ma résolution, je me dois quoique de nationalité belge, une intervention citoyenne pour mon pays d’origine , le Congo.
Je m’en vais en effet relever qu’ à l’époque de mes études à l’université de Kinshasa et même du temps de ma carrière de professeur assistant à la faculté des sciences économiques ; il y avait une vague d’étudiants de nationalité rwandaise , burundaise et même camerounaise. Mukwege et Matata n’en faisaient ils pas partie?
De nombreux professeurs de l’université de Kinshasa (dont le professeur Lunda Bululu), pourraient témoigner parce que plusieurs décennies avant ils étaient tous étiquetés « étudiants étrangers »; mais à ce jour certains cherchent à se hisser au plus haut sommet de l’Etat congolais. C’est à mon avis du « foutage de gueule » pour le Congo. Aussi , devrais-je me demander si le congolais aurait une mémoire très courte?
De père burundais, Mukwege est en mon sens une fierté d’abord burundaise quoique stratégiquement, de nombreux burundais se taisent attendant le moment opportun pour se moquer comme d’habitude du grand Congo.
Conclusion: l’attelage proposé avec un Fayulu dans la malette française ( Yves le Drian et Macron), est non seulement vicieux mais également nocif pour l’avenir du Congo.
@Armand
Tant mieux vous en avez des certitudes, Mukwege a un père burundais, je ne sais d’où vous le tenez mais j’espère que ce n’est pas sa fonction de notable personnalité Congolaise qui vous le fait dire connaissant vos ‘sympathies’ politiques.
Des vagues d’étudiants de nationalité rwandaise , burundaise et même camerounaise à l’Université de Kinshasa ? Je suis plus vieux que vous et ai fait mes études universitaires d’abord à Lovanium puis très vite à l’Unaza à Kinshasa sauf une année rapide à Lubumbashi selon le ballotage de la Faculté à l’époque : les étudiants étrangers surtout rwandais comme burundais étaient à cette époque et longtemps par la suite la règle plutôt qu’un évènement particulier.
Sinon je connais un peu Mukwege et selon ce qu’il m’a dit : il était venu faire une première année de Polytechnique pour changer et aller faire sa Médecine à Burujumbura. Mukwege est de tribu mushi une tribu contiguë au Burundi (et même au Rwanda) que je connais parce que j’y ai une relation conjugale. Il y’a toujours eu des migrations et des relations conjugales entre des tribus proches qui n’obéissent pas toujours à la nationalité des uns et des autres; il est donc fort possible que ce soit le cas personnel de Dr Mukwege mais je n’en ai aucune certitude. Que vous en soyez aussi certain m’interpelle, pourquoi pas je chercherai à le savoir ; la famille de Mukwege est plutôt bien connue chez les Bashi protestants du coin.
@ Armand: Mieux vaut la boucler quand tu as tres peu a dire d’intelligent et coherent, au risque de ridiculiser ta pretention d’un « ex-Prof. ». Tu t’en prends a Mukwege et a Fayulu en insinuant ici qu’ils seraient des etrangers, citant un de leurs parents comme soit Burundais, Camerounais ou qu’en sais-je. Pourquoi t’arreter-la? Tu aurais pu continuer ta Xenophobie d’un primairien avec les Katumbi, les Kamerhe, les Gerard Nyafe, Bemba, Endundo, Kamitatu, et autres. Questions a toi et tes semblables pretendus « purs Congolais »: De quelle souche (et pays) est issue Mme Marthe Tshisekedi? (Reponse: Angola). Et puis, au contraire d’un Barack Obama (de pere Kenyan) dont l’excellence au sommet des USA est hors conteste, qu’a fait ton cheri Tshilejelu de « pere (& peut- etre de mere » en 4-5 ans au sommet pour ses freres de « pere et de mere », inclu ceux croupissant dans la misere chez lui au Kasai et fuyant (ah, ….comble du ridicule) vers le Katanga de Katumbi? Bref, nous souhaitons que tu ne reviendras plus deconner ici sans raisonnements coherents.
Lire: tant l’on avait touché le bas fond du caniveau tribalistique ….
@Armand
Dr Mukwege est de père burundais ? C’est la première fois que j’entends une telle affirmation. Est-il, oui ou non, de nationalité congolaise ? Papa Kengo est de père polonais mais il est congolais. Il a assumé les plus hautes fonctions dans notre pays. J’ai l’impression que depuis que le Dr Mukwege s’intéresse de près à la politique, on lui cherche des noises. J’espère que je me trompe.
UN AUTRE HORS-SUJET MAIS DE L’INFO AU CAS VOUS NE L’AUREZ PAS APERÇUE. DES RÉFUGIÉS CONGOLAIS AU RWANDA : LA RDC S’APPRÊTE A LÉGIFÉRER SUR LES PRINCIPES DE LEUR RAPATRIEMENT. MAIS QUI ET COMBIEN SONT–ILS ?
Selon le Haut Commissariat de l’Onu pour les Réfugiés (UNHCR) le Rwanda comptait en novembre 2022 quelques 72.000 réfugiés Congolais et notons de suite que Paul Kagame a déclaré en janvier devant le Sénat que « le Rwanda ne pouvait pas continuer à accueillir des réfugiés en provenance de la RDC. Ce n’est pas le problème du Rwanda. Et nous allons faire en sorte que tout le monde se rende compte que ce n’est pas le problème du Rwanda. Je refuse que le Rwanda supporte ce fardeau ».
Fin février, à la 52e Session du Conseil des Droits de l’homme à Genève , Tshisekedi avait affirmé avoir demandé la tenue urgente d’une tripartite RDC-HCR-Rwanda afin que les deux États puissent rapatrier leurs ressortissants respectifs en vue d’une réconciliation vraie et durable entre les communautés.
Dans la foulée, à l’Assemblée Mboso invite le Gouvernement à procéder à une identification préalable privilégiant, parmi les éléments pertinents, le village d’origine et la généalogie des concernés, avec l’appui des chefs coutumiers, de façon à limiter les conséquences du dévoiement d’une telle opération par l’agresseur occupant, notamment à travers une déportation voilée des populations rwandaises vers la RDC, dans le but d’infiltrer ses institutions comme par le passé.
Où en est-on ? En fait tout a été dit par Mboso : éviter que l’agresseur occupant transforme l’opération en une déportation voilée qui infiltre des populations rwandaises vers la RDC, comme par le passé. Nous savons en effet que Kagame prend prétexte de la rébellion du M23 (Congolais ou Rwandais ?) et des FDLR hutus qui sont, rappelons-les « rwandais » pour en faire le mobile de son invasion dans l’Est congolais.
Tant qu’on y est ce sera alors l’occasion d’identifier les Rwandais FDLR et de les renvoyer dans leur pays sans trop s’émouvoir de leur sort ou alors de les envoyer dans un autre pays ou dans une zone éloignée de la frontière rwandaise ainsi que de déminer les vrais Congolais des faux dans ces fameux réfugiés Congolais du Rwanda.Attendons la suite…
En attendant le M23 rwandais continue à commettre des atrocités sur les populations Congolaises et Kinshasa privé d’une armée républicaine et dissuasive sous-traite la sécurité de son territoire à l’étranger EAC jusque-là inactif.
Attendons les suites de ces dossiers majeurs pour le pays…