
Sous couvert d’aide et de stabilité, le Fonds monétaire international (FMI) perpétue en Afrique une dépendance organisée, une misère institutionnalisée. Loin d’être un partenaire du développement, il en est le fossoyeur. Il est temps de rompre avec cette tutelle financière et de redonner aux peuples africains la souveraineté économique qu’ils n’ont jamais eue.
Depuis Bretton Woods, l’histoire du FMI s’écrit en lettres de dette. Derrière ses beaux discours sur la « stabilité macroéconomique », il cache une mécanique de domination: des prêts conditionnés à des politiques d’austérité, des réformes qui étranglent les économies locales, et une dépendance qui, loin de s’atténuer, s’aggrave décennie après décennie.
Les programmes d’ajustement structurel imposés dans les années 1980 ont vidé les États de leur substance. Santé, éducation, infrastructures: tout a été sacrifié sur l’autel de la rigueur budgétaire. Et pourtant, les dettes n’ont pas diminué. Ce paradoxe n’en est pas un: le FMI ne soigne pas, il entretient la maladie.
Chaque dollar prêté par le FMI se perd dans les labyrinthes de la corruption. Les dirigeants africains, convertis en gestionnaires de dette, savent qu’ils seront toujours sauvés par une nouvelle ligne de crédit. L’institution n’impose pas la transparence: elle garantit l’impunité. Pendant que les élites s’enrichissent, les peuples paient deux fois: d’abord par les taxes, ensuite par l’inflation.
Le FMI se félicite d’avoir « soutenu la croissance »? Quelle ironie. La seule croissance visible est celle des comptes bancaires à l’étranger.
Sous l’empire, les canons imposaient l’ordre; aujourd’hui, ce sont les conditionnalités. C’est le colonialisme monétaire, à la suite de celui militaire. L’Afrique n’est plus conquise par la force, mais par la dette. Les fonctionnaires du FMI dictent leurs lois aux ministères africains comme jadis les gouverneurs coloniaux. Les mêmes phrases reviennent, froides, technocratiques: « assainissement budgétaire », « réformes structurelles », « libéralisation du marché ». Traduction: suppression des subventions, privatisation des richesses nationales, dépendance éternelle.
Comme le souligne l’économiste Jörg Guido Hülsmann, « le FMI n’est pas nuisible parce qu’il propage le capitalisme occidental, mais parce qu’il détruit les fondements du développement capitaliste ».
Autrement dit: il tue la liberté économique au nom du libre marché.
L’Afrique doit s’affranchir de ce piège institutionnel. Non pas en réformant le FMI — car on ne réforme pas une structure bâtie sur la dépendance — mais en s’en passant.
Ce n’est pas l’Afrique qui a besoin du FMI, c’est le FMI qui a besoin de l’Afrique pour justifier son existence. Les peuples africains n’ont jamais eu peur de travailler, d’innover, de produire. Ce qu’ils n’ont jamais eu, c’est la liberté de décider pour eux-mêmes. Supprimer le FMI, c’est couper la perfusion toxique. C’est dire: nous n’avons plus besoin de tuteurs. Ce serait un scandale pour les présidents voleurs, médiocres, arrogants, un séisme pour les technocrates de Washington, mais une bénédiction pour des millions d’Africains condamnés à la survie.
L’heure est venue. Le FMI n’est pas la solution. Il est le problème.
José Condé
EN RDC OCCUPÉE, LE FMI NÉOCOLONIALISTE FINANCE LA BALKANISATION PAR DES AIDES FINANCIÈRES (MILLIARDS USD) OCTROYÉES À FELIX ANTOINE TSHILOMBO TSHISEKEDI QUI NE REND JAMAIS COMPTE À PERSONNE SUR LES CONSÉQUENCES DE LA DETTE CONTRACTÉE À HAUTEUR DE 16 MILLIARDS USD DÉJÀ. NI LE PARLE ET MENT D’OCCUPATION RWANDO-OUGANDAISE NI LE SÉNAFOU N’INTERPELLENT LE ROI NU ET FAINÉANT DE KABEYA KAMUANGA VERSUS MUPOMPA QUI HYPOTHÈQUE L’AVENIR DE 120 MILLIONS DES VRAIS KONGOLAIS ! LUMUMBA l’avait prophétisé « Je sais et je sens au fond de moi-même que tôt ou tard mon peuple se débarrassera de tous ses ennemis intérieurs et extérieurs, qu’il se lèvera comme un seul homme pour dire non au capitalisme dégradant et honteux, et pour reprendre sa dignité sous un soleil pur ». Les intellectuels Africains Noirs Subsahariens commencent enfin à décoder le CODE NOIR MODERNISÉ de la Communauté IMPÉRIALISTE dite Internationale qui à travers les IFI (Institutions Financières Internationales) de Bretton Wood (FMI, Banque Mondiale…), le machin ONU, la naine politique UE, la pute OTAN, la folle CPI LA HAYE recolonisent l’Afrique en changeant de tactique géopolitique rt de visée géo-stratégique. L’article dit ceci « C’est le colonialisme monétaire, à la suite de celui militaire. L’Afrique n’est plus conquise par la force, mais par la dette », depuis 2018-2019, nous (Combattant Résistant de l’Ombre) qui appelons FATSHI BIDON par une qualification loin d’être injurieuse de TSHILOMBO-PÉTAIN qui decrit sa HAUTE TRAHISON contre la NATION SACRÉE KONGO DIA NTOTILA, essayions d’alerter l’opinion publique tant nationale qu’internationale que le président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par l’Empire Hima NILOTIQUE (EAC) est un JOKE (PANTIN, MARIONNETTE, HOMME LIGE) placé à la tête de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE pour le destructurer, le deconstruire et le balkaniser. Démuni de toutes prérogatives régaliennes (IMPERIUM), Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi fait montre d’une faiblesse d’autorité inimaginable, d’une absence de souveraineté (pouvoir suprême) éhontée, d’une médiocrité manageriale criante et d’une communication surréaliste plate et dépourvue de toute logique humaine et intellectuelle. Peut-on être en guerre picrocholine contre le Rwanda et l’Ouganda sans pour autant fermer les frontières communes ? C’est illogique et antinomique. Les Occidentaux Impérialistes Mondialistes Eugénistes qui considèrent les Africains Noirs Subsahariens comme des populations indigènes et inutiles jusqu’à ce jour ont misé des milliards USD sur la faiblesse des dirigeants politiques immoraux et corrompus en Afrique pour la recoloniser éternellement, ils (Impérialistes Mondialistes) gavent les pays Africains des multiples aides financières sous forme de dettes pour les affaiblir économiquement afin de les reconquérir facilement… FEU KALALA OMOTUNDE, GENIAL DÉFENSEUR DE L’AFRIQUE EST MORT À CAUSE DE SA LUTTE CONTRE LA FAIM EN AFRIQUE NOIRE SUBSAHARIENNE QUI SELON LUI PASSAIT PAR LA SOUVERAINETÉ ÉCONOMICO-MONETAIRE À TRAVERS L’AGRICULTURE (DÉVELOPPEMENT AGRICOLE) ET LE DÉVELOPPEMENT DU TISSU INDUSTRIEL. LE FMI IMPÉRIALISTE ET NÉOCOLONIALISTE EST UNE SOCIÉTÉ FICTIVE DE FACTORING POUR L’AFRIQUE APPAUVRIE ÉCONOMIQUEMENT ! Qui est Nioussérê Kalala Omotunde né Jean-Philippe Corvo ? Ce fut un écrivain guadeloupéen, le fondateur de l’Institut non Académique « ANYART » de l’Histoire Africaine basé en GUADELOUPE qui a des instituts satellites au Canada, en Guyane, en Martinique et en Haïti. Fervent défenseur de l’Afrique Noire Subsaharienne, de sa culture et de sa spiritualité d’antan, OMOTUNDE mort en novembre 2022 empoisonné dans un avion d’Air France, en pleine période du Covid-19, fut aussi chargé de mission à l’Unesco. De son vivant, il a décrit un sommet surréaliste contre la faim en Éthiopie (Addis-Abeba) en 2022 comme une futile supercherie car les Occidentaux l’ont transformé en vitrine économique de recolonisation alors qu’il était censé promouvoir l’amélioration de la sécurité alimentaire et la concrétisation de la souveraineté économique par l’éradication de la faim et de la malnutrition infantile. Figurez-vous qu’il apprit de la bouche d’un ancien commis fonctionnaire des colonies françaises que les Américains (Bailleurs de fonds du FMI NÉOCOLONIALISTE) ont interdit le développement de l’Agriculture en Afrique dans les années 1960, qui a comme conséquence directe aujourd’hui en 2025, la faim et la malnutrition sévissent en Afrique. Les Américains qui dirigent le FMI NÉOCOLONIALISTE ont dit à l’époque aux colonisateurs Français et Belges que les milliards d’Africains vivront des excédents agricoles européens et que le marché de l’Occident réservé à l’Agriculture intensive Ricaine (avec ses produits agricoles ultra transformés) doit être préservé (immunisé) des éventuelles productions Africaines qui pouvaient en tirer des dividendes colossaux par les exportations de ses produits sains sans pesticides ni gluten. Le FMI IMPÉRIALISTE ne vaut absolument rien, tout analyste financier qui connaît les BFR (Besoin en Fonds de Roulement)et FR (Fonds de Roulement), la TRÉSORERIE et le CASH FLOW doit maîtriser le lien entre les 3 éléments (BFR, FR et TRÉSORERIE) qui est une relation fondamentale en finance d’entreprise et surtout connaître le phénomène du CYCLE D’EXPLOITATION CLIENT-FOURNISSEUR-BANQUE qui est lié au BFR (Besoin en Fonds de Roulement, et qui finance le décalage de TRÉSORERIE entre le paiement des fournisseurs et le recouvrement des créances clients. La BANQUE joue un rôle capital en fournissant les financements nécessaires pour couvrir ce décalage or le FMI aux visees néocolonialistes qui joue le sale rôle de financer les dettes des pays Africains par des aides financières détournées ensuite par des dirigeants Africains corrompus détruit ce cycle d’exploitation exprès et les pays Africains sont en réalité des simples entreprises coquilles vides sans TRÉSORERIE car le FMI NÉOCOLONIALISTE donne l’impression d’être un FICTIF FACTORING (UNE ENTREPRISE FACTOR FICTVE) appelé aussi une SOCIÉTÉ QUI PAIE LES FACTURES en l’occurrnce pour les (populations inutiles pauvres Africains Noirs Subsahariens) càd une société d’affacturage qui paie les factures d’une entreprise ou d’un pays à l’avance. Le FACTOR (ou société d’affacturage) en pratique avance à l’entreprise une grande partie du montant de la facture, en échange d’une grosse commission. La société FACTORING s’occupe ensuite du suivi et du recouvrement des factures auprès du client. Lorsque le client final paie, le FACTOR vous verse le solde restant, moins ses frais bancaires. Alors qu’en Afrique Noire Subsaharienne, le FMI NÉOCOLONIALISTE procède autrement en finançant carrément la misère des Africains qui croulent sous ses DETTES à court, moyen et long terme. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
Cher monsieur, le FMI n’a jamais obligé un pays à solliciter ses interventions tectoniques ou ses appuis budgétaires. Tous les programmes à travers la facilité élargie des crédits ou expertises diverses se font sur la demande des pays Africains dont les finances connaissent de grandes difficultés. C’est trop facile de faire de la démagogie à peu de frais en accusant cette institution avec autant de légèreté. Certes le FMI n’est pas parfait, mais, il vient souvent en aide sur leurs demandes aux pays qui sont confrontés aux difficultés structurelles sur le plan budgétaire ou sur leurs endettements. Il est vrai que dans les années 80, le rôle du FMI était insupportable voire nuisible pour les économiques africaines, il est aussi vrai que cette institution a fait un grand effort en laissant les pays concernés à faire les choix de leurs priorités. Les politiques d’ajustement structurel n’étaient pas soutenables car, les dégâts qu’elles causaient sur le plan social était dramatiques. Lorsqu’il ( FMI ) obligeait les pays qui étaient en programme de se débarrasser des centaines voire des millions de fonctionnaires aux motifs qu’ils étaient d’un poids financièrement insupportable pour l’Etat. Les hôpitaux, les écoles…étaient détruits compromettant en même temps l’avenir du pays. Les pays Africains, car c’est d’eux qu’ils s’agit dans cette article doivent avoir une gestion orthodoxe et transparente de leurs finances. Le cas du Sénégal interpelle forcément, c’est un cas d’école. Les nouvelles autorités du pays ont découvert une dette cachée de plus au moins 7 milliards de dollars. C’est tout simplement criminel pour un pays qui était présenté comme un modèle de bonne gouvernance. Il faut donc enlever les œillères et traités ces questions avec lucidité. Les recours au FMI ou à la banque mondiale ne doit pas faire l’objet des débats idéologiques pour les pseudo révolutionnaires qui cherchent souvent à rejeter leurs insuffisances sur les autres. La politique de boucs – émissaires ne marche plus, il faut assumer ses erreurs, il faut du pragmatisme et de l’intelligence dans la gestion des affaires du pays.
Lisez plutôt ( interventions techniques)
En effet, certains haut-cadres du FMI et de la Banque Mondiale sont parmi les grands bénéficiaires de la Corruption en Afrique via « pots de vins » et operations « retour de l’ascenseur ». Demandez-vous, dans un Pays tel que la RDC, ont sont les $20 Milliards venus du FMI et de la BM lorsque la population vit dans une misère indescriptible, les maladies dont Ebola y battent leur plein, et les infrastructures de base (habitation, routes, écoles et hôpitaux) sont pires que durant la colonisation Belge d’il y a 65 ans. Alors que les dirigeants au sommet s’enrichissesnt en détournant (et partageant) les Milliards du FMI et BM sans consequences. Honte au FMI et BM pour leur complicité!
Ajoutons y les magouilles sans cesse des membres des gouvernements successifs en RDC qui, une fois en charge d’un ministere, mettent en place un reseau de detournements et vols inclu les prets du FMI et BM. Pas etonnant car l’exemple vient du sommet. Fatshi, jadis livreur de pizzas a Matonge, est aujourd’hui richissime avec son epouse et leurs parasites. Les milliards du FMI et de BM y ont servi a quelque chose. Un autre exemple plus recent est de Sakombi, ministre UNC des Hydrocarbures. Le mec a mis en place a la fin de Septembre 2025 une firme bidon « Hydro-Link LLC » avec ses complices aux USA pour sucer les financements de la Banque Mondiale pour de projets de lignes de transmission electrique de l’Angola vers la RDC, en marge du mega-Projet ferroviaire du Corridor de Lobito. Probleme: cette firme bidon Hydo-Link n’a ni l’experience et encore mois un bilan financier pour entrer dans un tel projet. La BM le sait, mais deboursera le fric
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Je souscris entièrement à cet appel.
Ramené à l’échelle de la RDC, le FMI est complice d’un État fantôme.
À Kinshasa comme à Washington, les mêmes sourires diplomatiques masquent un scandale historique : celui d’un pays riche condamné à la pauvreté sous assistance internationale. La République Démocratique du Congo ne souffre pas d’un manque de moyens, mais d’un trop-plein de FMI soutenant des dirigeants médiocres.
Sans le FMI, Mobutu n’aurait pas régné trente ans. C’est dit, c’est écrit, c’est prouvé.
Entre 1965 et 1990, le FMI a versé des centaines de millions de dollars à un régime qui, chaque jour, pillait son peuple. Ces fonds, censés stabiliser l’économie, ont financé des palais, des Mercedes, des comptes en Suisse. Pendant ce temps, le Congolais moyen creusait sa tombe à la houe.
Le FMI savait. Mais il préférait un dictateur obéissant à un peuple libre.
Le résultat ? Une économie à genoux, une société brisée, et un pays transformé en caricature de souveraineté.
L’histoire aurait pu changer. Mais non. Les nouveaux dirigeants ont appris la même leçon : il vaut mieux plaire au FMI que servir son peuple.
Chaque visite du Fonds à Kinshasa est présentée comme une “bonne nouvelle” — une preuve de confiance, dit-on. En réalité, c’est une corde de plus autour du cou national.
On signe des accords, on restructure des dettes, on célèbre des “avancées macroéconomiques” pendant que les hôpitaux manquent de gants et que les enseignants mendient leur salaire.
Un pays qui regorge de cobalt, de cuivre, d’or, d’eau et de terres arables n’a pas besoin d’aide. Il a besoin de gouvernance, de bonne gouvernance.
Ce que le FMI appelle “aide au développement” n’est rien d’autre qu’une perfusion de dépendance. Chaque prêt est un anesthésiant politique : il calme les crises sociales à court terme, tout en consolidant un système d’injustice à long terme.
Le FMI n’a jamais investi dans le peuple congolais. Il a investi dans la stabilité des régimes kakistocrates, pas dans la stabilité des vies.
L’heure est venue pour la Génération Z congolaise de pousser ces kakistocrates qui ruinent leur avenir à déclarer l’indépendance financière du pays.
De dire : plus jamais ça. Plus jamais ces contrats signés à huis clos, ces promesses qui n’engagent que les affamés, ces programmes qui font de la pauvreté un business.
Supprimer le FMI, c’est redonner au pays sa colonne vertébrale. C’est forcer ses dirigeants à rendre des comptes. C’est donner enfin un sens à cette devise qui orne les billets congolais : Justice – Paix – Travail.
Tant que le FMI financera la vie de château de nos présidents, il n’y aura ni justice, ni paix, ni travail.
Boyoki ?