RDC-Rwanda: L’improbable « Accord de paix »!

Washington, 15 juin 2025. Les experts congolais et rwandais ont entamé, dimanche, des échanges sous la facilitation américaine. Dans une déclaration faite, samedi 14 juin, le ministre rwandais des Affaires étrangères, l’inénarrable Olivier Nduhungirehe, a jeté une douche froide sur ces pourparlers en affirmant notamment que son pays ne signera l’accord de paix que pour autant qu’il soit « global et gagnant-gagnant ». Un message subliminal qui pourrait être décrypté comme suit: Paul Kagame n’entend nullement retirer, de plein gré, ses troupes déployées dans l’Est du territoire congolais. Il ne le fera que sous la contrainte. L’Amérique de Trump espère néanmoins obtenir un texte définitif au mois de juillet.

Le nouveau « draft » examiné par les deux parties semble plus ambitieux que la déclaration de principes signée en avril dernier. Le document pose une condition immédiate : le retrait total et inconditionnel des troupes et équipements rwandais du sol congolais. Une exigence claire côté congolais qui bute sur la mauvaise foi légendaire du Rwanda. Celui-ci réfute toute présence de ses militaires en RDC parlant plutôt de mesures de sécurité à ses frontières.

Le régime de Kigali conteste la présence de ses soldats en RDC mais exige – Dieu seul sait, au nom de quel principe – la levée de l’état de siège décrété depuis mai 2021 dans les provinces du Nord-Kivu et en Ituri. Notons que plusieurs élus et membres de la société civile réclament la restauration d’une « administration civile ». Une manière de mettre fin aux restrictions sur les droits et libertés.

Les déplacés appellent le retour de la paix

Le projet d’accord sous examen fait mention de la nécessité d’une paix entre Kinshasa et Kigali. Sans omettre la conclusion d’un cessez-le-feu avec le M23/RDF/AFC, soutenu – selon plusieurs rapports des experts onusiens – par la plus haute hiérarchie politico-militaire à Kigali. Les déplacés internes qui fuient les combats ne demandent que le retour de la paix; le retour à leurs terres, et des garanties de non-reprise des hostilités. Les chefs traditionnels [les Bami] reçus par « Joseph Kabila » -lors des « consultations » à Goma – n’ont pas dit autre chose.

Depuis l’avènement des Inkotanyi à la tête du Rwanda en juillet 1994, les relations n’ont cessé de se détériorer entre Kinshasa et Kigali. L’intervention au Rwanda, en octobre 1990, des forces spéciales de la Division spéciale présidentielle commandées par le général Donatien Mahele n’a jamais été digérée par les rebelles du FPR (Front patriotique rwandais. La présence massive des ex-FAR et Interahamwe dans ce pays qui s’appelait encore Zaïre a exacerbé l’animosité ambiante.

Bertrand Bisimwa et Corneille Nangaa

Au commencement était les « Banyamulenge » et le « royaume du Rwanda »

La goutte d’eau qui fait déborder le vase est intervenue en octobre 1996. Au cours d’un meeting à Cyangungu, Pasteur Bizimungu, alors chef de l’Etat, annonce urbi et orbi la nécessité de la tenue d’un deuxième Congrès de Berlin. But: redessiner les frontières héritées de la colonisation. D’après lui, la partie du territoire congolais habitée par des Banyarwanda/Tutsi dits « Banyamulenge » appartenait au « royaume du Rwanda ». « Si le Zaïre veut renvoyer les Banyamulenge [au Rwanda], qu’il nous rende aussi leurs terres ».

A Washington, les experts des deux pays vont évoquer également la question des FDLR (Forces démocratiques pour la libération du Rwanda) ou ce qu’il en reste. Pour les opposants au régime de Kagame, 95% des FDLR ont déjà regagné leur pays d’origine. Ancien chef d’état-major de l’armée rwandaise, le lieutenant général Faustin Kayumba Nyamwasa de préciser qu’une partie des ex-FAR ont été intégrés dans l’armée. D’autres seraient admis comme réservistes.

L’improbable accord de paix

On le voit, la question relative aux FDLR est devenue un véritable « fond de commerce » pour Kagame. « Une solution politique durable nécessite la prise en compte des préoccupations sécuritaires de tous », déclarait-il lors d’une entrevue, en avril dernier, avec le secrétaire général des Nations Unies, Antonio Guterres. Les observateurs savent que l’autocrate rwandais ne peut se passer des ressources minérales de l’Est de la RDC. Pris dans son propre piège, Kagame n’exclut pas la « protection » des locuteurs du Kinyarwanda dits « Tutsis Congolais ». Selon lui, ceux-ci seraient victimes d’actes de cannibalisme. Vous avez bien entendu!

Derrière le « brouillon » en discussion, trois batailles se jouent simultanément pour un accord improbable:

  1. La diplomatie, à Washington, Luanda ou Doha, avec des médiations et des calculs géopolitiques;
  2. L’économie, autour des ressources minières stratégiques, où la paix est aussi affaire de contrôle et de bénéfices. La RDC n’entend en aucun cas transiger avec ses ressources;
  3. La parole communautaire, plus discrète mais non moins importante: celle de la diaspora tutsie dite « Banyamulenge ». Celle-ci tente de se faire entendre à l’ONU et en Europe, parfois en rupture avec Kigali et le M23.

Le message est presque « subversif »: les autoproclamés « Banyamulenge » ne veulent pas être réduits au rang de pions dans une guerre qui les dépasse. On rappelle, le décès mystérieux du vice-gouverneur du Sud-Kivu nommé par le M23/RDF/AFC. Il s’agit de Juvénal Gashigira. Celui-ci s’est plaint, quelques jours auparavant, du silence des « délégués du M23 » sur la « cause Banyamulenge » à Doha.

Les propos tenus samedi 14 juin par le ministre rwandais des Affaires étrangères méritent un examen minutieux. L’important n’est pas seulement de signer un accord sous la pression américaine. Sans une dose de bonne foi entre les parties, un tel accord ne serait qu’un « chiffon de papier ». Pour avoir occuper les provinces du Nord Kivu et du Sud Kivu de 1996 à 2003, le Rwanda de Kagame considère cette partie de la RDC comme son « espace vital ». Il faut être naïf pour espérer voir les militaires rwandais quitter les territoires occupés avec des fleurs au bout du fusil…

Obed Vitangi Kakule (avec B.A.W.)

7 commentaires sur RDC-Rwanda: L’improbable « Accord de paix »!

  1. Kagame pretend qu’il n’a pas déployé son armée au Congo. La question maintenant est de savoir pourquoi il négocie à Washington ? De deux, que veut dire  » accord gagnant gagnant « ?. Tout ceci n’est qu’une manœuvre pour gagner du temps. Le plus bête dans cette histoire, c’est la naïveté de certains congolais qui ne comprennent pas qu’ils sont manipulés et intrumentalisés par l’ogre de Kagali. Une chose est sûr aujourd’hui, les yankees ne laisseront pas Kagame continuer a narguer toute la communauté internationale. Nous serons édifier d’ici fin juillet.

  2. Un accord de paix, encore un. Mais à quel prix ?
    À Washington, sous l’égide des États-Unis, la République démocratique du Congo (RDC) et le Rwanda tentent, une fois de plus, de conclure un accord de paix. Les mots sont forts, le texte est ambitieux, mais l’histoire récente impose une retenue froide : combien d’accords signés depuis 1996 ? Combien ont débouché sur une paix durable ? Aucun.
    Le projet actuel se distingue par des exigences claires, notamment le retrait total et inconditionnel des troupes rwandaises du territoire congolais. Une revendication portée par Kinshasa, mais aussitôt affaiblie par la rhétorique de Kigali. Le ministre rwandais des Affaires étrangères, Olivier Nduhungirehe, a déclaré que son pays ne signerait un texte que s’il est « global et gagnant-gagnant ». Une formule ambigüe qui, dans le contexte, équivaut à une fin de non-recevoir.
    Le Rwanda, fidèle à sa stratégie de déni, conteste toujours la présence de ses forces en RDC, alors que plusieurs rapports de l’ONU ont documenté son soutien militaire au M23. Ce même Rwanda exige aujourd’hui la levée de l’état de siège dans les provinces congolaises du Nord-Kivu et de l’Ituri, au nom d’une hypothétique paix régionale. Pendant ce temps, les déplacés congolais s’entassent dans des camps, les populations civiles sont massacrées, et les ressources minières sont pillées.
    La RDC ne peut plus se contenter d’un simple accord. Elle doit changer de paradigme. Elle doit inscrire la paix dans une stratégie souveraine et rigoureuse, fondée sur le droit, la dissuasion et la diplomatie offensive.
    Ce que la RDC doit exiger :
    – Des garanties internationales contraignantes : des sanctions automatiques en cas de non-respect, avec un rôle actif des États-Unis, de l’ONU, et de l’Union africaine.
    – Une mission de vérification indépendante du retrait des troupes et du désarmement des groupes armés.
    – Une redéfinition du rapport économique régional : pas de paix sans contrôle équitable des ressources, et sans mettre fin au commerce minier illicite transfrontalier.
    – Une inclusion réelle des communautés locales, y compris les Banyamulenge.
    Des solutions inédites sont possibles :
    – Une zone tampon démilitarisée sous mandat international entre la RDC et le Rwanda.
    – Une coalition économique régionale autour de la RDC pour sanctionner ou isoler économiquement les acteurs du pillage.
    – Un tribunal hybride RDC-Rwanda, pour juger les crimes commis depuis 1996 et restaurer une justice crédible.
    Mais surtout, la RDC doit cesser de croire que la paix viendra de promesses ou de signatures. La paix ne se mendie pas. Elle s’impose. Elle se construit par la force du droit, la résilience des peuples, et la capacité d’un État à ne plus être le dindon d’une farce géopolitique tragique.
    L’accord discuté à Washington ne sera rien d’autre qu’un chiffon de papier de chiotte si la RDC ne se dote pas des outils nécessaires pour le faire respecter. L’heure n’est plus aux illusions. Le temps de la souveraineté assumée est venu.

    • Excellente lecture des enjeux! Trois phrases a noter en substance: ‘La paix ne se mendie pas. Elle s’impose. Elle se construit par la force du droit, la resilience des peuples, et la capacite d’un Etat a ne plus etre le dindon d’une farce geopolitique tragique.’ Qui dit mieux? On a meme pas besoin d’un dessin pour comprendre la substance de ces phrases.
      Ces sacres Romains nous ont appris il y a plus de deux mille ans que qui veut la paix, prepare la guerre. Or nous n’avons jamais prepare la guerre! La defense et la securite n’ont jamais ete les priorites de nos dirigeants, convaincus qu’il sont que si nous sommes menaces, nous ferons appel aux troupes des pays amis ou, au pire aux troupes des Nations-Unies! Ils se contentent d’une soldatesque qui fait office d’armee nationale dont les elements ne connaissent qu’une seule strategie: ‘repli strategique!’, Voila six ans que je milite pour une nouvelle armee nationale congolaise capable de defendre l’integrite du territoire et la souverainete nationale! Les exploits des Wazalendo prouvent que ce n’est pas le courage qui manque au peuple congolais. Ce qui manque au peuple congolais, c’est une armee, une vraie! Il est temps de se debarasser de cette soldatesque composee, selon la formule de chez nous, des hommes et des femmes en uniforme non autrement identifies!
      Et quand sur ces entrefaites survient un fils du pays, decide a laver tous les affronts et a remettre notre pays sur orbite, il est de notre devoir de le soutenir, meme si on n’aime sa gueule! Suivez mon regard!

      • RÔLES DE L´UA ET L´ONU?
        Il est temps d´être « réaliste », l´ONU et l´UA n´ont aucune ressource diplomatique, financière ou militaire pour « influencer » quelque chose au Congo.
        En 30 ans de guerre, où voyez-vous une action concrète de l´UA en faveur de la RDC?
        REFAIRE L`ARMÉE DE LA RDC AUX NORMES DU PENTAGONE
        Le deal « minerais-sécurité » avec les USA vise á apporter des capacités militaires á la RDC pour que notre pays soit capable d´assurer sa sécurité. L´idée d´une « zone tampon » n´a aucun sens quand nous recherchons un « parapluie » de la part des USA.
        Dans le deal sécuritaire, il est question d´obtenir avant tout une présence militaire américaine. Pas pour faire des guerres contre les milices, mais pour former et équiper la nouvelle armée nationale de la RDC.
        Tournons la page de l´ONU, de l´UE ou de l´UA

  3. Soyons clairs: a Washington, la RDC y négocie directement avec le Rwanda sous la « facilitation » des USA. La RDC n’y négocie pas avec les USA comme veulent le faire croire le roublard-au-sommet et ses parasites, flatteurs et supplétifs Wewas. Aux abois, vu les défaites militaires en series a l’Est, ce roublard et ses parasites ne déploient leurs biceps que derriere la mediation américaine, montant les encheres et espérant qu’en mijotant nos minerais a l’affairiste-impulsif Trump, cela suffira pour que Trump déploie les marines-US a L’Est pour sauver leur klepto-regime Tshilejelu. Mais le « petit Rwanda », en négociateur plus fin, parle peu et garde tous les leviers, sachant qu’il a en face des amateurs en négociations dont la preoccupation durant leur séjour a Washington consiste a boire, bouffer et chercher de « nanas », comme leur chef.

    • Soyons clairs: son Altesse Cretinissime Cretin Pierre de Jacquenry ne comprend absolument rien! A Washington la RDC negocie avec les USA qui ont manifeste l’intention d’investir dans l’exploitation des minerais strategiques a l’Est de notre pays. Trump a compris qu’il ne peut convaincre les Yankees a venir investir en RDC que s’il reussit a imposer la paix! Il ne peut imposer la paix qu’en forcant le Rwanda a retirer ses troupes de la RDC, et en forcant la RDC a s’occuper des multiples groupes armes qui pullulent a l’Est. Evidemment, l’Altesse Cretinissime ne peut s’empecher de parler du ‘roublard-au-sommet et ses parasites, flatteurs et suppletifs Wewas’! C’est plus fort que lui! Au Royaume de cretins, les ‘defaites militaires en serie a l’Est’ sont des defaites infligess au ‘klepto-regime Tshilejelu’, pas des defaites infligees a la RDC! Pour qui se monsieur roule-t-il si ce n’est pour l’Agresseur des Mille et Une Collines qui nous humilie depuis bientot trente ans! Ba ngembo bojuger!

  4. « PERSONNE N’EST AUSSI PUISSANT QU’ON LE CROIT « DIXIT ALICE WALKER. LA RÉSILIENCE DE LA RÉSISTANCE COMBATTANTE KONGOLAISE EST INÉBRANLABLE ET INDESTRUCTIBLE. QU’IL PLEUVE OU QU’IL NEIGE, L’EMPIRE HIMA SERA DÉFAIT SUR LE SOL KONGOLAIS. MÊME LA BIBLE FALSIFIÉE DIT « INCONTESTABLEMENT, C’EST L’INFÉRIEUR QUI EST BÉNI PAR LE SUPÉRIEUR » NON LE CONTRAIRE ! « Nobody’s as powerful as we make them out to be. » Alice Walker. Le pouvoir selon Alice Walker (écrivain et militante américaine) n »est pas un concept d’éternité tellurique,. Les pouvoirs qui opprimaient les femmes aux USA, en particulier les femmes noires sont toujours temporels et pusillanimes. La militante noire affirmait que la capacité de résistance et de résilience de la femme noire pour se réapproprier son pouvoir face à des structures oppressives a des origines divines. Il en est de même en RDC occupée. Qui est le petit Rwanda face au Grand KONGO-ZAÏRE ? Le supérieur n’a jamais été béni par l’inférieur. JEAN le BAPTISTE dans la Bible falsifiée, réécrite par les Colons Missionnaires refusait de baptiser le VRAI CHRIST NOIR du BAPTÊME de la REPENTANCE en connaissant cette parole divine. Que dit le CHRIST qui fut sans péché, LUI le SUPÉRIEUR demande à son INFÉRIEUR (JEAn le Baptiste) de LUI donner ledit BAPTÊME, il dit par HUMILITÉ ceci « Laisse faire maintenant, car il est convenable que nous accomplissions ainsi tout ce qui est juste ». Le Fils du TRÈS-HAUT VÉRITABLE DIEU TOUT-PUISSANT qui savait que le SUPÉRIEUR ne peut être béni par l’INFÉRIEUR S’était humilié pour accomplir ce qui est JUSTE. Est-ce qque notre KONGO DIA NTOTILA a besoin de la bénédiction injuste du Rwanda ? Non, notre TERRE SACRÉE est déjà bénie par la PROVIDENCE DIVINE et n’a pas besoin des autres bénédictions injustes. Les KONGOLAIS sont des bénis du Véritable Dieu Tout-Puissant, ils sont nombreux a être intelligents et compétents mais tapis dans l’ombre. Ce n’est pas une clique des parvenus Tshisekedistes, Bembistes et Fayulistes qui représentent l’échantillonnage du savoir-faire Kongolais. La crème de crème apparaîtra au moment opportun. Que les Américains disent que les Nilotiques RWANDO-OUGANDAIS sont plus sérieux que les BANTOUS KONGOLAIS, cela n’engage qu’eux car avant 1997, le ZAÏROIS a su démontrer que le GÉNIE KONGOLAIS est un fait réel. Bref, c’est le SUPÉRIEUR KONGO DIA NTOTILA qui doit benir l’INFÉRIEUR RWANDA des MILLE COLLINES pas le contraire… L’IMPROBABLE « ACCORD DE PAIX » RDC OCCUPÉE ET RWANDA SANGUINAIRE SOUS LA HOULETTE SATANO-OCCULTO-NÉCROMANCIENNE DES ÉTATS-UNIS VA RABATTRE TOUTES LES CARTES DIABOLIQUES DE TSHILOMBO-PÉTAIN ! Le Deal inutile des minerais stratégiques que Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi implémente pour sécuriser son propre pouvoir protocolaire va se retourner contre lui et ses Parrains Nilotiques Envahisseurs BANYARWANDAS. Il faut être un vrai tordu d’esprit comme FATSHI BIDON pour croire que le leadership éphémère et mou s’achète par la HAUTE TRAHISON. Il n’y aura jamais la paix et la réconciliation sans pardon ni réparation. Les Ricains alliés du Rwanda qui se croient tout-puissants ont mordu la poussière au Vietnam, en Somalie, en Afghanistan boiront la tasse d’étourdissement en RDC occupée s’ils s’entêtent à signer ce DEAL INIQUE. Qui vivra verra… LE DIALOGUE AVEC LE RWANDA (OUGANDA), C’EST CHERCHER LA PAIX À TOUT PRIX ET LA GUERRE POUR TOUJOURS. LE RWANDA EST UNE MENACE EXISTENTIELLE POUR LA RDC OCCUPÉE (KONGO-ZAÏRE) QUI PEUT SE PASSER DU RWANDA COMME ALLIÉ RÉGIONAL ! Une ARMÉE est faite pour faire la GUERRE et non pour pondre des communiqués bêtes et cons depuis la chute de BUNAGANA jusqu’à ce jour sinon elle devient automatiquement une ARMÉE NUMÉRIQUE qui fait des brassages et mixags à tout va. Le Poulain du néocolonialiste Belge Louis Michel, le Néron de Kingakati, l’imposteur Rwandais Hippolyte KANAMBE alias Joseph Kabila divague et délire à GOMA car notre pays est amputé de tous ses hauts gradés officiers valeureux et compétents. A-t-il besoin d’achever sa mission commandée de Cheval de Troie du Rwanda au KONGO-ZAÏRE à partir de GOMA ? Ou a-t-il encore besoin de tuer 15 millions des Kongolais de plus avant de mourir à son tour comme un chien errant ? Spirituellement parlant, la RDC occupée est dirigée par des faux pasteurs des églises de sommeil Binzambi Nzambi qui enseignent au PEUPLE la paresse (procrastination) et l’hypocrisie religieuse. Personne ne prendra la décision de détruire les Rwandais comme l’IRAN le fait contre le faux Israël car ils (faux pasteurs) protègent les âmes du seigneur dieu qui est Satan le Chérubin jadis oint himself pourtant leur dieu lui-même avait dans le passé autorisé qu’on attaque les pays ennemis de son peuple soi-disant Israëlite comme les Assyriens, les Amonites les Philistins etc. Les déclarations de Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi selon lesquelles « Des millions des morts Kongolais sont des effets collatéraux » font écho encore aujourd’hui et le contredisent. Qui peut croire que la PAIX s’obtient par le MENSONGE du DEAL MAFIEUX signé à KINGAKATI ? Cette posture hypocrite et traitresse du fils maudit d’Étienne Tshisekedi et Marthe consiste à dire que « JEFFREY DAHMER était le TUEUR en SÉRIE le plus VÉGÉTARIEN de l’histoire ». Personne ne croit que le Rwanda de Paul Kagame ne fait pas main basse sur nos minerais stratégiques depuis 1997. Aucun Ange Divin non plus aime le mal fait par le Rwanda en RDC occupée. Peu importe la couverture médiatique qui couvre le Rwanda (pays sanguinaire des mille collines), peu importe le nombre de politichiens du monde entier que Paul Croix Gammée a achetés et fait chanter par des sextapes tournés à l’Hotel MARRIOTT de Kigali, pour répéter ses points de vue partisans afin de capitaliser le fonds de commerce du faux génocide Rwandais, la VÉRITÉ qui s’impose contre, envers, par devers TOUT finira TOUJOURS par TRIOMPHER car « Le Rwanda et l’Ouganda représentent une menace existentielle pour la RDC occupée » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. Explications, la RDC OCCUPÉE trop affaiblie militairement, économiquement et politiquement n’a jamais attaqué un de ses 9 voisins pour tuer leurs habitants surtout pas le Rwanda et l’Ouganda mais ces derniers, si. La RDC occupée accepte par faiblesse diplomatique les sempiternelles inspections onusiennes et autres, le Rwanda et l’Ouganda gendarmes esclavagistes de la Région des Grands Lacs Africains les refusent catégoriquement. La RDC OCCUPÉE sous embargo militaire n’a pas les armes conventionnelles sophistiquées. Le Rwanda et l’Ouganda en ont car ravitaillés en armes par l’UE et les USA. Et pourtant, on nous dit que c’est la RDC occupée qui est la menace existentielle par les FDLR Rwandais soixantenaires qui doit en plus négocier la PAIX avec ses voisins agresseurs (Rwanda et Ouganda) ? Ce n’est pas la sécurité regionale ni la paix tant recherchées. C’est de l’hypocrisie belliqueuse puribonde pour massacrer et exterminer les VRAIS KONGOLAIS DE SOUCHE PURS SANG afin d’y greffer les NILOTIQUES RWANDO-OUGANDAIS à leur place. « Le fanatisme aveugle est une forme d’esclavagisme mental, intellectuel, spirituel, physique et moral » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA

Les commentaires sont fermés.