Cellule de communication du chef de l’Etat

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Profonds changements au commandement de l’armée Christian Tshiwewe à l’état-major général FARDC et Ephraïm Kabi à la garde républicaine

Aux termes d’une série d’ordonnances rendues publiques ce lundi à la télévision publique RTNC, le Président de la République Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo a procédé à un remue-ménage au sein des Forces Armées de la République Démocratique du Congo (FARDC).

À la suite de ces ordonnances, le lieutenant général Christian Tshiwewe Songesha devient le chef d’État major général des FARDC, en remplacement du général d’armée Mbala Musense.

Jusqu’à sa nomination, Christian Tshiwewe, général 3 étoiles, était le commandant de la garde républicaine où il a œuvré depuis le début de sa carrière militaire, gravitant ainsi les échelons en récompense de sa bravoure à différents postes de commandement.

Le nouveau chef EMG des FARDC est secondé par deux chefs d’état-major généraux adjoints: Jacques Ishaligonza Nduru (chargé des opérations militaires) et Léon Richard Kasonga Tshibangu, l’ancien porte-parole des FARDC (chargé de l’administration et logistique).

Aux termes d’une autre ordonnance, trois sous-chefs d’état major généraux ont été nommés: le général-major Ndaywel Okura est le patron des renseignements, en remplacement de Delphin Kahimbi; le général-major Jérôme Shiko Tshitambwe est chargé des opérations militaires (il était jusqu’ici chargé des opérations à la garde républicaine); le général-major Thomas Kisezo est chargé de l’administration et le Général-major Kipongo Bora est chargé de la logistique.

Dans la série des ordonnances de ce lundi soir, le président Félix Tshisekedi a élevé au grade de général-major Ephraïm Kabi Kiriza et l’a nommé commandant de la garde républicaine (GR). chef d’état-major au sein de cette unité spéciale de protection présidentielle, le général 2 étoiles Ephraïm Kabi Kiriza est secondé par le général de Brigade Iyengeli Christophe, chargé des opérations et des renseignements, le général de brigade Désiré Mulumba Kabanangi, chargé de l’administration et logistique, et le colonel Maloba, chef d’État-major de la GR, poste occupé il y a peu par le nouveau commandant de la GR.


© Communiqué officiel du cabinet du Président de la République du Congo
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Palais de la Nation, Av. Roi Baudouin / Gombe – Kinshasa / BP 201 Kin1

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10 thoughts on “Cellule de communication du chef de l’Etat

  1. On rêve tous d’une communication de la présidence sur l’exfiltration de tous les généraux et autres officiers rwandais infiltrés dans nos FARDC.
    Pour le reste, pffff…

  2. Enfin notre PR a eu l’intelligence et le courage de bousculer la hiérarchie de notre armée dont lui-même avait déjà fait le constat de son incurie, infiltrée par nombre d’anti-patriotes et d’affairistes. Depuis bien longtemps les Congolais savaient que l’échec de nos FARDC à venir à bout des bandits armés rebelles dans l’Est venait largement des commandants dont beaucoup vivaient de l’insécurité dans la region à côté d’étrangers qui ont les mêmes buts et les mêmes pratiques. Maintenant ses choix sont-ils les bons.
    Blen sûr dans un contexte hérité de l’ancien régime où des guerres de tranchees divisent des soldats ‘loyalistes’ de ceux qui le sont moins, le PR devrait choisir parmi les premiers mais espérons-le sans rogner sur la compétence et leur constance dans le patriotisme mais aussi que la vigilance doit suivre.
    L’armée est un secteur importantissime dans notre pays secoué par l’insécurité dans l’Est mais aussi dans le reste du pays.
    Des retards pris à en écarter des brebis galeuses nous onr couté des milliers de morts et d’atrocités supplémentaires, Tshisekedi et son équipe doivent continuer le ménage et donner des moyens de plus pour que nos soldats soient plus capables et plus motivés à combattre pour leur patrie jusqu’à la neutralisation des bandits et autres, vrais ennemis du pays. Voilà déjà Bunagana occupé depuis 4 mois sans que nous soyons capables d’en déloger M23 et Rwandais, nos autorités civles et militaires sont les premiers coupables, arrêtons de toujours nous lamenter et de jeter la culpabilité sur les étrangers, ils ne sont pas là pour s’occuper de notre sécurité.

    1. PS
      « Ses choix sont-ils les bons ? », me demandais- je.
      J’apprends étonné que le général Nduru Tchaligonza qui vient d’etre nommé chef d’ Etat-major général adjoint chargé des renseignements et des opérations a (aurait, je vais le vérifier à mon niveau) un passé criminel, cité abondamment dans plusieurs rapports et jugements {Mapping, CPI avec Lubanga, Ntanganda…). Il aurait été reconnu coupable des crimes de guerre et contre l’humanité. Il a en outre participé à des contacts avec les notables rwandais et ougandais ; bref pas mieux que le général Yav qui vient d’être envoyé à Makala pour haute trahison et intelligence avec l’ennemi.
      Comment fait Tshisekedi pour ne rien connaître de tous ses détails importants ou s’entête-t-il à prendre des choses si importantes à la légère ? La suite…

      1. @Ndeko Nono,
        Le général d’opérette NduruTchaligonza ? Ça, c’est rien. Il y a PIRE. Nanu tomoni te.
        A propos, j’apprends que les scouts kenyans qui devaient rentrer par Bunagana pour terrasser les terroristes rwandais du M23 se soient trompés de route. Ils sont rentrés par une autre porte. Il ne faut pas leur en tenir rigueur. Ce ne sont que des scouts. Comme l’a dit le général machin fils de Museveni.
        Fatshi bee…

    2. @Ndeko Nono,
      Comme vous le savez, pour traiter un cancer, il faut attaquer les cellules cancéreuses. Ça ne sert à rien de traiter la périphérie.
      A mon avis, ces changements ne sont que cosmétiques car probablement motivés par des craintes d’un coup à l’interne. Ces nouveaux nommés vont-ils travailler avec du nouveau matériel ? Avec quel budget ? Avec quelles troupes, les mêmes, celles-là sous-payées, mal-nourries, mal-logées ?
      Si on veut traiter cette armée, il faut commencer par neutraliser tous les infiltrés et la doter d’un vrai budget en rapport avec les menaces qui guettent notre pays à cause de nos voisins. Dans chaque garnison, on sait qui est qui…Il faut arrêter cette hypocrisie. A ce rythme, Bunagana sera toujours occupé à Noël…

  3. HAUTE TRAHISON ET COLLABORATIONNISME AU SOMMET DE L’ÉTAT FAILLI ! Est-ce qu’un président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE [nommé par les OCCUPANTS Banyarwanda] peut-il réellement nommer des généraux hostiles à l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE ? Le remue-ménage au sein des FARDC (Forces Armées Rwandaises Disséminées-Déployées au Congo-Kinshasa) infiltrées et commandées par les Officiers Banyarwanda (Rwandophones et Rwandophiles) est téléguidé à partir de Kigali (RWANDA) et est initié, approuvé par Paul Kagame patron des M23 I et II. Certains noms à consonance Bantoue des nouveaux généraux d’opérette sont faux, la plupart sont des Rwandais purs sang. Le Collabo Tshilombo-Pétain doit être arrêté et traduit en justice pour Haute TRAHISON contre la Nation-Patrie KONGO-ZAÏRE… L’OCCUPATION RWANDO-OUGANDAISE NOMME SES GÉNÉRAUX ASSASSINS POUR ASSEOIR SON RÉGIME D’OCCUPATION QUI EST AUX ABOIS ! En acceptant d’être nommé au poste de président protocolaire sans IMPERIUM (Effectivité du Pouvoir), le Franc-maçon Satano-occulto-nécromancien FATSHI BIDON qui n’est pas un HOMME LIBRE a sciemment piétiné l’Indépendance et la Souveraineté de notre Grand et Beau Pays. En signant des pactes politiques clientelistes et égoïstes avec les ennemis extérieurs de la Nation KONGO, le fils maudit de Étienne Tshisekedi que certains ressortissants RDCIENS croyaient avoir la force et le courage de faire devoir d’ingratitude envers ses parrains Banyarwanda (Kagame, Museveni et alias Kabila) a privilégié ses propres intérêts pour marcher sur le tapis rouge, pour s’acheter des montres, chaussures, habits, voitures et villas de luxe. N’est-il pas écrit « Le Véritable Dieu tient compte des temps d’ignorance » ? Ceux et celles qui soutiennent encore ce Démon Hybride de l’Udps Familiale envoûté par la Démone Sirène des Eaux MERTI MERTURA malgré la véracité de sa Traîtrise sont maudits jusqu’à la 10ème génération car les Occupants Banyarwanda ont mis en place avec ces dernières nominations dans leur Armée d »Occupation, leurs ultimes généraux assassins pour tuer les Kongolais à Kinshasa [qui se réveille enfin miraculeusement], à Kimwenza, Maluku, dans le Plateau des Bateke, à Kwamouth, Équateur et Bas-Kongo sans oublier l’Est de la RDC occupée pourtant sous un État de Siège. L’HEURE EST TRÈS GRAVE. « Sans dignité, il n’y a pas de liberté, sans justice, il n’y a pas de dignité, et sans indépendance, il n’y a pas d’hommes libres » dixit Patrice-Émery LUMUMBA. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA

  4. Le nettoyage a commence, mais nous en attendons le fruit. Il n’est pas fait en profondeur parce que c’est un travail de longue haleine, qui s’effectue malheureusement dans un contexte de guerre declaree. Nous sommes tous fautifs d’avoir negligee la defense de l’integrite de notre territoire et de notre souverainete nationale. Nous avons tous le devoir d’apprendre a defendre l’integrite de notre territoire et notre souverainete nationale. Bunangana est une illustration de notre culpabilite collective. Ce n’est pas la faute a Tshisekedi et de son gouvernement seuls! Quand la maison brule, on ne cherche pas d’abord a etablir l’origine de l’incendie mais on cherche d’abord a eteindre le feu!
    Je m’explique. Si nous avions pris la defense de notre patrie et de notre souverainete au serieux, nous aurions profite de vingt-deux ans de presence de la MONUSCO pour former une armee reellement disuassive pour eviter qu’aucun autre pays ne soit tente par l’exploit rwando-ougandais d’envoyer des hussards faire des promenades de sante chez nous! Nous nous sommes comportes comme si la MONUSCO serait toujours la pour nous proteger et nous defendre. Maintenant que la MONUSCO ne veut pas ou ne peut nous proteger, nous sortons de notre torpeur pour nous rendre compte que notre pays est sans defense aucune! L’armee actuelle est gangrenee jusqu’en son etat-major general, elle comprend en son sein bcp d’officiers en intelligence avec l’ennemi! Il y a bcp d’officiers qui ne jurent que par JKK! Il y a en meme qui sabotent litteralement les ordres de leur Commandant Supreme! Comment peut-on gagner une guerre avec une telle armee? Remarquez que jusque-la personne n’a ose nous expliquer pourquoi Bunangana est toujours aux mains de Rwandais! Les specialistes des raccourcis et des raccordements frauduleux nous diront comme d’habitude que Bunangana est encore aux mains des Rwandais parce que ce regime des mediocres, incompetents, jouisseurs, tribalistes, problematiques, et catastrophiques n’a abosulement aucune politique de defense! Mais le mal est plus profond et ce mal nous interpelle tous!
    Que faire?
    Le poisson pourrit d’abord par la tete! Le nettoyage du corps des officiers doit continuer. Tous les infiltres doivent etre extirpes. L’EFO, Kota-Koli, Kamina, Kitona et toutes les autres ecoles de formation des militaires doivent etre rehabilitees.
    Il nous faut une armee nouvelle avec un esprit nouveau.
    J’ai suivi un documentaire sur la formation des militaires de la legion etrangere en France, et un autre sur la formation de terribles Gurkhas nepalais de l’armee britannique. Il ressort de ces deux documentaires qu’en quatre mois des bons instructeurs peuvent transformer des jeunes gens en soldats. Il faudrait que le depart du dernier soldat de la MONUSCO coincide au deploiement d’une nouvelle Armee Nationale Congolaise dont les soldats seront sortis des academies militaires reputees pour le serieux de leur formation. Il ne faut pas necessairement avoir appris le Latin pour savoir que la paix, la paix veritable et durable, ca se prepare et ca se defend!

    1. « Nous sommes tous fautifs d’avoir negligee la defense de l’integrite de notre territoire et de notre souverainete nationale. Nous avons tous le devoir d’apprendre a defendre l’integrite de notre territoire et notre souverainete nationale. Bunangana est une illustration de notre culpabilite collective. Ce n’est pas la faute a Tshisekedi et de son gouvernement seuls! »
      Ne confondons pas tout : unité et cohésion nationales, tâches dues à chacun, devoir citoyen… Désolé, je ne vois pas qu’est-ce que je dois faire à ma place pour changer notre armée, je ne pousse pas ma conscience citoyenne jusqu’à endosser les erreurs de nos dirigeants. Si vous, vous sentez coupable d’avoir négligé la defense de l’integrite de notre territoire et de notre souverainete nationale, moi pas. Dans la société d’aujourd’hui Il y’a une division du travail, heureusement d’ailleurs. Au citoyen lambda de vaquer à son travail lorsqu’il en a, aux dirigeants civils et militaire chacun à son niveau de s’occuper des affaires du pays, au president Tshisekedi qui préside aujourd’hui le pays a s’employer à preparer l’armée solide, dissuasive et républicaine qu’il nous faut, à mettre au programme de sa politique de defense la refondation de cette nouvelle armée…

  5. Petit Bongos
    Tu peses tes mots  »terroristes »ah ah ah a mon cher ce sont nos compatriotes , baza ba ndeko na biso , ils ont un cahier de doleance . (je sais que je m’attire la foudre mais j’assume ) .

  6. La Cellule de Communication du Chef de l’Etat nous a fait part de la bonne idée, de l’intelligence et du courage du PR d’avoir enfin fzit le ménage dans le commandement des FARDC (et la PNC ?) qui souffrait cruellement d’inefficacité. Espérons que les choix faits des hommes loyaux sera aussi celui des gens compétentes enfin à refonder une armée solide, républicaine et dussuasive.
    Néanmoins notre mulopwe semble oublier de nous parler du hiatus manifeste qu’on voit entre lui et son nouveau ex-allié Kamerhe dans le diagnostic et le traitement de la guerre à mener à l’Est. En effet lors de sa tournée dans la region, les propos, faits et gestes de Kamerhe ne semblent pas emprunter la même tactique que ceux de Tshisekedi : quand Tshisekedi s’emploie à dénoncer avec virulence l’agression du Rwanda/Ouganda et appelle toute la terre à faire de même et en réclamer des sanctions, Kamerhe lui, appelle plutôt à un dialogue quasi amical avec le Rwanda et l’Ouganda. A moins qu’ils se soient arrangés à l’avance à livrer un message à contenu et destination doubles : le Rwanda et l’Ouganda ennemis à neutraliser pour Tshisekedi, les mêmes, adversaires avec qui negocier pour Kamerhe.
    N’importe comment ni la population qui a acueilli Kamerhe chaleureusement dans l’Est, ni la population Congolaise en general, ni l’Udps presidentielle y compris même Mboso qui s’y est mis, ne semblent être pour sa vision. A quel jeu jouent alors les deux compères et surtout quelle bonne stratégie adopter pour le pays ?
    La vérité est que l’enjeu diplomatique et stratégique capital c’est vaincre radicalement donc militairement le Rwanda et l’Ouganda qui nous privent de notre souveraineté en nous déstabilisant ad vitam aeternam et contrairement aux convenances admises nous le pouvons avec une armée solide et républicaine. Adossés à une volonté politique conséquente, cette armée nous pouvons l’obtenir assez vite : la débarrasser sans discussion de ses éléments traîtres et affairistes, l’équiper logistiquement et mentalement de tous les moyens qui la motivent au combat. Sommes-nous ici en face de cette volonté politique ou plutôt devant une propagande duetiste sortie elle-meme d’une idéologie déjà fort ambiguë ?
    La paix a certes un prix mais pas tant au prix d’une incurie permanente dans la gestion du pays dont les fléaux de la corruption et des clientélismes divers sont les portes-étendards et dont il faut bien sortir. Elle est helas toujours présente et exige un leadership bien efficient mais aujourd’hui nulle question exhaustive n’est posée sur ce débat essentiel, trop des positionnements opportunistes ; jusqu’où, jusqu’à quand ?

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