Le BBN interdit la commercialisation du ciment de la société chinoise GLC produit en RDC

ÉCONOMIE

 26/09/2023  Emery Kwizera  

600 tonnes de ciment de la société chinoise Great Lakes Company (GLC) basée en RDC déchargées au port de Bujumbura ce 25 septembre 23 vont devoir patienter dans les entrepôts avant leur commercialisation. D’après le BBN, il faut au préalable des analyses de conformité aux normes.

« S’il s’avère que ce ciment n’est pas conforme aux normes, il prendra le chemin du retour à la société qui le produit », a déclaré Séverin Sindayikengera, directeur général du BBN, le Bureau burundais de Normalisation et de Contrôle de la Qualité.

Selon lui, c’est en vue de faire respecter les principes de la qualité et des normes. La société GLC est accusée par le BBN de falsifier les résultats des données de son ciment.

Cette société basée en RDC, poursuit le directeur général, l’a fait pour montrer que son ciment est de très bonne qualité. « Cela est dangereux et c’est une faute lourde, raison pour laquelle les sanctions sont prévues, on peut y faire recours ».

Des analyses avaient été faites à l’OBUHA

Claude Bernard Manirambona, représentant des sociétés Musumba Ciment et Nepacom, les deux sociétés qui ont importé ce ciment en question fait savoir que des échantillons avaient été pourtant donnés au laboratoire national de l’Office burundais de l’Urbanisme, de l’Habitat et de la Construction pour des analyses.

« Le laboratoire nous a remis les résultats et ils étaient très bons », soutient Manirambona. Les sociétés dont il représente sont alors passées à la commande à partir de la société GLC.

Il espère que le BBN trouvera que le ciment remplit les critères et qu’il est conforme aux normes. « Il est beaucoup apprécié par les constructeurs et tous les clients dans l’ensemble ».

Et demander au BBN d’être rapide dans ses analyses et tests pour aider ses sociétés à supporter les coûts des entrepôts et des stationnements des bateaux qui transportent le ciment.

Cette compagnie a déjà fourni beaucoup des stocks aux commerçants burundais. Le représentant des sociétés Musumba Ciment et Nepacom, les deux sociétés qui ont importé ce ciment indique de plus qu’il est utilisé d’ailleurs sur certains chantiers au Burundi. (Iwacu).

 BBN

Happy
Happy
0 %
Sad
Sad
0 %
Excited
Excited
0 %
Sleepy
Sleepy
0 %
Angry
Angry
0 %
Surprise
Surprise
0 %

Readers Comments (1)

  1. Combattant Résistant de l'Ombre 29 septembre 2023 @ 8 h 40 min

    MONOPOLE DU MARCHÉ DU CIMENT EN RDC OCCUPÉE ET AU ZAÏRE DU MARÉCHAL MOBUTU ET EXTERNALISATION DE L’ÉCONOMIE RDCIENNE ! Eleanor Roosevelt disait « Les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent des événements ; les petits esprits discutent des gens » et STENDHAL rajoute « La politesse n’est que l’absence de colère que donneraient les mauvaises manières ». Les pets des chiots atteints de rage incurable et les baves des crapauds gluants vecteurs des maladies graves de Fanatisme aveugle n’atteignent point l’Aigle en plein vol qui est l’INITIÉ CONSACRÉ (Combattant Résistant de l’Ombre). Fermons la parenthèse de l’Udps Familiale qui trahit en plein ÈRE DU VERSEAU notre Grand et Beau Pays KONGO DIA NTOTILA. À propos du sujet sur le ciment, alors que sous le Maréchal Mobutu, le Zaïre avait une Société de fabrication du ciment basée au Bas-Zaire dénommée CILU (Cimenterie de Lukala) en sigle, historiquement le projet initial remonte à 1912, durant cette année que les prospections pour recherche des matières premières avaient été lancées. Le 05 février 1920 (année de l’introduction des Nilotiques Rwandais au Katanga et Kasaï), la SA (Société Anonyme) Belge sous la dénomination « Société des Ciments du Congo » en sigle CICO sera constituée avec un capital souscrit totalement étranger; l’Usine ayant démarré en 1921, l’exploitation des gisements de calcaire de Lukala qui sera spoliée ou nationalisée en 1974 par le Président Mobutu Sese Seko En 1949, la Société Anonyme Belge devint une Société sous l’emprise des lois du Congo-Belge avec son siège social au Congo et son siège administratif en Belgique et prendra plutard la dénomination « Société des Ciments du Zaïre » en sigle CIZA. En 1992, elle est rachetée par M. Georges Arthur Forrst de triste mémoire et s’impose comme une multinationale monopolistique du marché du ciment au Zaïre avant l’arrivée Satano-occulto-nécromancienbe de l’AFDL (Conglomérat d’aventuriers) en 1997 pour soi-disant libérer le pauvre PEUPLE KONGOLAIS sous l’emprise du Mobutisme. Les pratiques monopolistiques des multinationales ont sapé l’économie Zaïroise comme la Zaïrianisation a détruit le tissu économique d’avant 1970 au KONGO-ZAÏRE jusqu’au pillage des années 90 organisés par Étienne Tshisekedi et sa diabolique Udps Familiale qui a comploté avec l’Empire Hima (EAC) depuis des lustres. Économiquement parlant, le MONOPOLE porte sur le produit, recherché pour lui-même, même si ce monopole reste limité dans le temps et dans l’espace, alors que sur le marché, plusieurs entreprises proposent des produits similaires. Aujourd’hui en RDC occupée, la FAMILLE de l’imposteur Rwandais Hippolyte Kanambe alias Joseph Kabila qui a nommé TSHILOMBO-PÉTAIN ou FATSHI BIDON président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE, détient le monopole de presque toute la totalité des sociétés RDCiennes des portefeuilles qui sont sous la coupole de l’Empire Hima (EAC). Les Chinois, les indo-Pakistanais, les Libanais, les Nigérians et autres Rwando-Ougando-Burundo-Kenyans sont des privilégiés par rapport aux Vrais Kongolais qui n’ont plus accès aux richesses multiples de leur propre pays occupé de l’Est à l’Ouest, du Nord au Sud par l’Empire Hima (EAC). On assiste en 2024 à l’EXTERNALISATION (ou OUTSOURCING en anglais) de l’ÉCONOMIE en RDC occupée. Seuls les membres COLLABOS de la Famille restreinte et élargie du TRAÎTRE NATIONAL Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi détiennent des carrés miniers et carrières minières en complicité avec les multinationales prédatrices connues et identifiées qui se plaisent de la fébrilité régalienne de la Dictature Tshilombiste juxtaposée sur l’Occupation Rwando-Ougandaise… UN PAYS OCCUPÉ PERD LE MONOPOLE DE SA PROPRE ÉCONOMIE DEVENUE EXTERNALISÉE QUE LES OCCUPANTS ENVAHISSEURS NILOTIQUES BANYARWANDAS CONTRÔLENT POUR FINANCER L’OCCUPATION ÉTRANGÈRE RWANDO-OUGANDAISE ! L’Oligarchie Impérialiste Occidentale et son Sous-traitant (Empire Hima ou EAC) à savoir le Rwanda, l’Ouganda, le Burundi et le Kenya sont plus faibles qu’on le pense parfois. La recente interview cette semaine de Macron [parrain des auteurs Nilotiques du GÉNOCIDE HOLOCAUSTE BANTOU KONGOLAIS OUBLIÉ] sur TF1 et France 2 l’a démontré de façon déconcertante. Ce fut une cascade de reculades et de déconvenues sur tous les sujets même les plus incongrus. Sur le Niger où il a retourné sa veste (position diplomatique) en quelques minutes. Sur la vente à perte, à peine annoncée et déjà enterrée comme un bébé non viable. Sur les chaudières à gaz, finalement pas interdites comme dans un rêve durant une sieste. La semaine dernière, déjà, sous la pression que le PEUPLE FRANÇAIS a organisée depuis 20 ans, la Macronie a perdu toute sa crédibilité sur le plan national et international.
    En RDC occupée par les Banyarwandas, l’Empire Hima (EAC) est en déséquilibre et en ballotage défavorable sur le plan national et supranational. La Résistance Combattante Kongolaise réunie sous la bannière du CNRC (Conseil National de la Résistance Congolaise) qui depuis plus de 20 ans lui tient tête ne reculera jamais même si les élections pièges à cons truquées d’avance organisées par la CENI pro Rwanda lubalisée ont lieu en Décembre 2023, la suite des aventures génocidaires des Occupants Envahisseurs Banyarwandas Bourreaux Assassins de 15 millions des Bantous Kongolais [Tshilombo-Pétain
    himself a reconnu 10 millions des morts qui ne sont plus des dégâts collatéraux] s’annonce palpitante et perdue d’avance. Tous les signes avant-coureurs démontrent que le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE se soulèvera tôt ou tard un de ses quatre matins pour BOUCLER la BOUCLE des COUPS d’État des COLONELS et GÉNÉRAUX en Afrique Subsaharienne (Afrique de l’Ouest et Afrique Centrale). « L’intellectuel colonisé assiste, dans une sorte d’autodafé, à la destruction de toutes ses idoles : l’égoïsme, la récrimination orgueilleuse, l’imbécillité infantile de celui qui veut toujours avoir le dernier mot. » dixit Frantz Fanon. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA

Comments are closed.