Samedi 1 juillet 2023 – 11:12
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La problématique du financement des élections a été également abordée lors de la rencontre entre le président de la Commission Électorale Nationale Indépendante (CENI), Dénis Kadima Kazadi, et les leaders de l’opposition, vendredi 30 juin, à Kinshasa.
La centrale électorale accuse plusieurs mois d’arriérés de frais de fonctionnement et d’investissements. Son président Dénis Kadima Kazadi qui tient à la tenue des élections dans les délais constitutionnels, a fait savoir à ses hôtes que son institution attend un décaissement imminent de la part du gouvernement à hauteur de 100 millions USD pour tenter de rattraper le retard.
« Nous avons posé des questions liées à la sécurité et à l’argent, oui. Le président de la CENI a dit que pour lui, il a 6 ou 7 mois d’arriérés et que le gouvernement a promis 100 millions USD qui doivent être décaissés incessamment. La question de la sécurité, ce n’est pas à lui (ndlr : Dénis Kadima) de les résoudre parce que ce n’est pas lui qui gère le pays », a révélé Martin Fayulu devant la presse à l’issue de l’entretien avec le numéro 1 de la centrale électorale.
À la question de savoir répondre aux différentes revendications de l’opposition, si cela ne va pas impacter sur la suite du calendrier électoral, le leader du parti politique ECiDé répond :
« Non, c’est comme ça que nous disons que nous continuons le processus avec les autres éléments qui sont dans le calendrier et qui sont en train d’être fait, concomitamment à ça on fait l’audit du fichier électoral, je crois que ça ne va pas retarder les élections », a rassuré Martin Fayulu au nom de 4 leaders de l’opposition.
Pour cette année, révélait Dénis Kadima sur le plateau de France 24, son institution, la CENI, attend du gouvernement 474 millions USD. Sur près de 680 millions en 2022, la CENI par le biais de son président disait avoir perçu près de 480 millions USD.
La CENI fonce dans la matérialisation de différentes étapes contenues dans son calendrier. Malgré la persistance des risques sécuritaires et financiers, elle a convoqué l’électorat pour les élections législatives nationales. Pendant vingt jours, soit du 26 juin au 15 juillet, les BRTC sont ouverts en vue de réceptionner les différents dossiers des candidats à la députation nationale.
Clément MUAMBA
GOUVERNER C’EST PRÉVOIR ET COLLABORER AVEC LES OCCUPANTS EST UNE HAUTE TRAHISON ! Or cet article dit « Malgré la persistance des risques sécuritaires et financiers, elle a convoqué l’électorat pour les élections législatives nationales ». Quelle inconscience congénitale😭!. LA CENI pro Rwanda à l’instar de la Dictature Tshilombiste juxtaposée sur l’Occupation Rwando-Ougandaise conduit la RDC occupée comme une JUNGLE dans laquelle la MAL GOUVERNANCE est une UNITÉ DE MESURE et un THERMOMÈTRE de la BÊTISE. Avec l’argent volé des projets (100 jours, saute-moutons, Tshilejelu etc) éléphants blancs et le larcin du RAM par Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE et sa famille, ce pays peut implémenter d’autres projets en lieu et place d’insister bêtement sur la tenue bizarroïde des élections pièges à cons truquées d’avance organisées par la CENI pro Rwanda pour la 4ème fois d’affilée en entubant le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE qui souffre le martyre. Que feront les électeurs des territoires occupés de Bunagana, Minembwe, Rutshuru, Masisi etc ? LA POLITIQUE EST LE SEUL EMPLOI DISPONIBLE EN RDC OCCUPÉE PAR LES BANYAMAYARWANDA ! Du 26 juin au 15 juillet, les BRTC seront ouverts en vue de réceptionner les différents dossiers des candidats à la députation nationale du Parle et ment d’Occupation RWANDO-OUGANDAISE, il y aura la ruée vers l’Or, le taux de chômage latent regressera de 0,001% car les éventuels nouveaux Députains malhonnêtes lorgnent les 21.000 $ comme émoluments réguliers immérités afin de rejoindre la liste des COLLABOS nouveaux riches de la classe moyenne RDCIENNE. LA FARCE POLITICO-DÉMOCRATIQUE dans ce foutu pays occupé où la mort et le trafic d’organes humains sont banalisés devient nauséeuse. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
Ce gouvernement ne serait-il pas en complicité avec les évêques congolais pour décrédibiliser le prince de Ntombolo qui avait promis des. élections transparentes et inclusives ?