Sommet de trois bassins
- Politique
- Lundi 30 octobre 2023
Les Chefs d’État et de gouvernement des États des trois bassins de l’Amazonie, du Congo, et du Bornéo Mékong en Asie du Sud-Est se sont réunis à Brazzaville, République du Congo, les 26, 27 et 28 octobre 2023, lors du 2ème Sommet des trois bassins des écosystèmes de biodiversité et des forêts tropicales. L’objectif était de lancer un processus de coordination et de coopération entre ces trois bassins et de créer une coalition mondiale pour la conservation, la gestion durable et le développement durable de ces écosystèmes forestiers.
Ils ont reconnu que ces trois écosystèmes de biodiversité et de forêts tropicales couvrent un tiers de la surface émergée du globe, abritent plus de 1,5 milliard de personnes, dont de nombreux peuples autochtones, et fournissent des services écosystémiques cruciaux pour l’humanité et le développement durable. Ces écosystèmes jouent un rôle majeur dans la préservation des zones humides et aquatiques, mais sont menacés par les effets négatifs du changement climatique, avec une perte annuelle de débit et de ressources halieutiques dans les trois plus grands fleuves de la planète : l’Amazone, le Congo et le Mékong. De plus, ils souffrent de niveaux persistants de pauvreté, d’insécurité alimentaire et d’inégalités, exigeant un développement équilibré sur les plans social, économique et environnemental.
Les Chefs d’État ont rappelé l’importance de l’action mondiale contre le changement climatique et l’obligation pour les pays développés de fournir une aide publique au développement équivalente à 0,7 % de leur revenu national brut, ainsi que 100 milliards de dollars par an pour le financement de la lutte contre le changement climatique, en plus de contribuer à la mobilisation de 200 milliards de dollars par an d’ici 2030 pour soutenir la mise en œuvre des stratégies nationales pour la diversité biologique. Ils ont souligné la nécessité de ne pas utiliser des mesures environnementales comme moyen de créer des discriminations arbitraires dans le commerce international.
Les Chefs d’État se sont réengagés en faveur de l’Agenda 2030 et des objectifs de développement durable, exprimant leur volonté de lutter contre la déforestation et de réduire les émissions de gaz à effet de serre issues des combustibles fossiles. Ils ont renouvelé leur engagement à la coopération Sud-Sud, basée sur les priorités et les besoins spécifiques de chaque État, dans le respect de leur souveraineté.
Ils se sont engagés à reconnaître l’utilité d’une coopération renforcée entre les trois bassins et à respecter la gestion souveraine de la biodiversité, des forêts et des ressources associées de chaque pays, sans préjudice d’une coopération extérieure sur des enjeux prioritaires définis en commun. Les Chefs d’État prévoient de développer des solutions adaptées aux défis spécifiques de chaque État et bassin sur les plans institutionnel, diplomatique, juridique, scientifique, technique et technologique, ainsi que de mutualiser et capitaliser sur les connaissances, les expériences, les ressources et les acquis de chaque bassin.
Ils ont souligné l’importance d’impliquer l’ensemble des acteurs, y compris les peuples autochtones, les jeunes, les femmes, la société civile, les ONG, les universités, les collectivités locales et le secteur privé de manière inclusive. De plus, les Chefs d’État ont exprimé leur intention d’encourager la mobilisation financière et de développer des mécanismes de financement innovants.
Enfin, ils ont convenu d’instaurer un système de rémunération durable des services écosystémiques fournis par les trois bassins. Ces éléments serviront de base pour une feuille de route révisable à chaque étape de la construction du cadre commun de coopération entre les trois bassins.
Les Congolais ne peuvent plus parler du sommet des trois bassins de Brazza sans évoquer le fameux discours du PR à cette occasion et particulièrement son embardée sur nos relations chahutées avec le Rwanda. Et c’est vrai qu’il n’y a pas plus fédérateur aujourd’hui que la détestation du Rwanda mais c’esr aussi vrair que c’est une allocution courageuse et realiste tant elle a verbalisé des faits qui fâchent qu’on a tendance à éluder. C’est déjà ça pour la consommation locale mais qu’y a-t-il dit exactement ?
En réponse au discours de Ruto qui prônait la dissolution des barrières dans la région, Tshisekedi a révélé qu’au moment où ils parlaient conservation des forêts et de notre biodiversité, un activisme armé tuait les Congolais au parc de Virunga venant non des étrangers non africains mais etait initié par Kigali. Il s’est alors vanté d’être un panafricaniste convaincu qui a commencé son mandat par un volontarisme diplomatique pour l’unité et la paix en parcourant les territoires de nos 9 voisins avec des projets d’ensemble pour chacun d’eux. Le Rwanda lui a répondu par la guerre, la haine et l’envie de piller nos richesses ; d’où son penchant actuel à construire des murs pour protéger sa population agressée plutôt que des ponts entre nous. Il est donc temps qu’on se regarde les yeux dans les yeux et qu’on se dise toutes ces vérités douloureuses, a-t-il dit en substance.
Trois observations adverses néanmoins :
1. Tshisekedi a vite oublié qu’entre frères ou pas, les relations entre Etats, poursuivront d’abord les intérêts d’un chacun et quelles que soient toutes les bonnes volontés, les rapports de force seront toujours la première variable qui les conduira. Il y’a donc quelque naïveté à croire le contraire…
2. Tshisekedi en sa qualité de PR de la RDC est d’abord responsable de son pays, que fait-il question paix, unité en son sein. Il serait plus légitime à dénoncer l’hypocrisie, la haine, le tribalisme, l’envie chez les autres, davantage crédible aux yeux d’un Kagame ou d’un Museveni autrement.
En effet il se fait que son bilan n’est pas autant positif en ce domaine dans son pays. Sa gestion y est plutôt parsemée d’actes qui divisent, de tribalisme et de mal-gouvernance qui empêchent son peuple de mieux jouir des immenses richesses du pays…
3. Enfin, selon moi, Tshisekedi non seulement tirerait mieux profit de son volontarisme diplomatique pour la paix et l’unité si son obsession anti-rwandaise verbale ne devenait pas un chantage stérile pour des actes effectifs par exemple de réelle rupture mais aussi pour être efficace cet exercice devrait être précédé des tentatives certes difficiles mais nécessaires de rapprochement en dehors d’estrades pour ne pas braquer frontalement ses pairs qui l’apprenent ici en pleine manifestation publique. Voilà mon pauvre avis !
PRIVÉES DE LA VRAIE INFORMATION ET DES NOUVELLES TECHNOLOGIES QUI PERMETTENT UN ACCÈS PERMANENT À L’INTERNET, LES HABITANTS DU GRAND BASSIN DU KONGO-ZAÏRE IGNORENT LE DANGER DU MANQUE D’EAU DANS LES 50 ANS À VENIR ! Pour se protéger juridiquement en sachant que techniquement parlant Monsieur et Madame tout le monde en Afrique Subsaharienne ne peut pas aller chercher la vraie information sur le défi de l’eau, sur les dangers de la destruction des écosystèmeset, de la biodiversité de la Forêt Tropicale en RDC occupée par les Banyarwandas, les Chefs d’État (Cloisons Colonialistes) Présidents Dictateurs militairement élus Agents de l’impérialisme Ricain multiplient des sommets, réunions et conciliabules inutiles pour noyer le poisson. Les populations faibles du BASSIN de l’Afrique « Subsaharienne » Centrale par exemple n’ont aucune idée de ce qui les attend dans les années à venir, elles ne savent pas que le truculent trublion Denis Sassou Ngwesso le Grand-Frère Franc-Maconet de ses petits Frères Francs-Macons présidents du BASSIN DU KONGO-ZAÏRE qui ont vendu notre continent à vil prix n’ont ruen à foutre de leur avenir immédiat et de leur futur lointain. Leur gestion légère
de la nature dive au cœur de l’Afrique fait que NKWAME NKRUMAN, LUMUMBA, SEKOU TOURÉ, MOBUTU, SAMORA MACHEL MARIEN NGOUABI et tant d’autres PANAFRICANISTES se retournent dans leurs tombes en voyant leurs successeurs se conduire comme des VRAIS INSENSÉS… L’HYPOCRISIE DE TSHILOMBO-PÉTAIN FRISE LE RIDICULE DURANT CE SOMMET SUR LES ÉCOSYSTÈMES ET BIODIVERSITÉ DES FORÊTS DE 3 BASSINS MONDIAUX ! Durant cette messe Satano-occulto-nécromancienne tenue au CONGO de MASSAMBA DÉBAT plus précisément
à Brazzaville, en lieu et place de débattre sur des sujets hyper importants qui sont les écosystèmes, la biodiversité, le défi de l’eau et des forêts tropicales, égal à lui-même, Félix Atoine Tshilombo Tshisekedi aka Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par les OCCUPANTS Banyarwanda s’est attelé à égratigner par pure hypocrisie sses Maîtres Rwando-Ougando-Burundo-Kenyans qui l’ont placé au pouvoir protocolaire sans IMPERIUM (Effectivité du Pouvoir). Ce spectacle hypocrite confirme le manque de sérieux, de priorité, d’aura et de charisme dzns le chef du fils maudit d’Étienne Tshisekedi wa Mulumba qui en marge dudit sommet s’est fendu sans gènes à des accolades amicales avec tous les 4 présidents de l’EAC (Empire Hima) présents à Brazzaville, cette attitude ambiguë est indigne d’un Chef de l’État somme toute auteur de la HAUTE TRAHISON Les 3 Bassins mondiaux représentent 80 % des forêts tropicales du monde et « les 3/4 de sa biodiversité », soulignait Mme Soudan-Nonault, prédisant pour le Sommet de Brazzaville « une déclaration de principe très forte ».
Les forêts ne constituent pas seulement des habitats essentiels à la vie animale, elles sont aussi d’importants régulateurs du climat mondial et des puits de carbone qui absorbent les émissions provenant des activités humaines. Sur ce, en lieu et place de revendiquer le paiement des arriérés de TAXE ÉCOLOGIQUE (TAXE CARBONE) dûs au KONGO-ZAÏRE, FATSHI BIDON s’est montré populiste, évasif, hypocrite, égoïste, inutile en ratant une nouvelle fois l’occasion de se taire ou de marquer son quinquennat usurpé de l’empreinte d’un leadership responsable et intelligent. « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent des monstres » dixit Antonio Gramsci. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA