
Gaston Mutamba Lukusa
Les autorités congolaises ont organisé les 4 et 5 octobre à Kinshasa le Forum Agribusiness dont le thème central fut « La revanche du sol sur le sous-sol ». A l’ouverture, le ministre de l’Agriculture, José Mpanda a déclaré que « l’enjeu majeur de ce forum est de transformer le potentiel agricole de la RDC en véritable richesse, de faire de ce pays une véritable puissance agricole et d’assurer la souveraineté alimentaire du peuple congolais ». Pour le gouvernement, le pays peut y parvenir grâce à des investissements nationaux et étrangers dans le cadre des partenariats public-privé.
C’est par l’agriculture qu’il est possible de créer des foyers de richesses. Le secteur agricole est créateur d’emplois. Les revenus du surplus agricole peuvent contribuer à la prospérité générale. Mais les conflits armés, les nationalisations, les pillages, l’exploitation minière artisanale, la détérioration des infrastructures de transport et la vétusté des équipements agricoles ont contribué à la baisse de la production. Le pays est ainsi confronté à une insuffisance de produits alimentaires depuis plusieurs années. Le déficit alimentaire est comblé par l’importation notamment du maïs, du riz, du blé, du sucre, de la viande, du poisson. Les importations représentent de plus en plus une part importante du commerce extérieur.
Dans son discours au Forum, Georges Forrest, grand entrepreneur minier et agricole, a affirmé que « la faiblesse de notre production alimentaire révèle une situation de crise profonde. Notre pays produit moins de la moitié de la nourriture que nous consommons: plus de la moitié de ce que les Congolais mangent est importée. Oui, avec ses terres fertiles, ses grands cours d’eau, sa variété climatique, la force des bras disponibles, les innovations dans le digital chez les jeunes, le Congo est d’abord un pays agricole avant d’être minier ».
Afin de pallier l’absence, depuis plusieurs décennies, d’une politique agricole, une loi portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture, fut promulguée, le 24 décembre 2011, par le Président de la République. Les dispositions de cette loi s’appliquent à l’exploitation, à la formation et à la recherche agricole, au financement de l’activité agricole, à la protection de l’environnement et aux régimes douanier et fiscal. Elles ne s’appliquent pas à l’élevage, à la pêche et à l’aquaculture (art. 2 de la loi). La politique agricole qui est définie vise la promotion et la croissance de la production agricole ainsi que le développement rural et la sécurité alimentaire. A noter cependant que l’article 16 de cette loi rencontre une vive opposition des exploitants agricoles étrangers qui le jugent discriminatoire. Cet article dispose notamment que pour acquérir des terres agricoles, il faut être une personne physique de nationalité congolaise ou une personne morale de droit congolais dont les parts sociales ou les actions, selon le cas, sont majoritairement détenues par l’Etat congolais et/ou par les nationaux. D’aucuns comparent cet article à la politique de zaïrianisation de 1973 qui s’est traduite par la spoliation des commerces et industries appartenant à des étrangers au profit des nationaux.
La FEC (Fédération des entreprises du Congo) le rappelle dans son discours lu au Forum, « nous avons été – nous la FEC – parmi les initiateurs de la Loi n°11/022 du 24 décembre 2011 portant principes fondamentaux relatifs à l’agriculture, LOI dite AGRICOLE. Malheureusement, cette loi contient certaines dispositions, qui ne figuraient pas dans la proposition initiale, qui constituent aujourd’hui des freins au développement du secteur agricole et aux investissements déjà acquis et, surtout, ceux à venir. Malgré les nombreuses relances pour la modification de ces dispositions, nos propositions, douze ans après, sont toujours d’actualité et demeurent sans suite. Il est important d’avoir une politique agricole appropriée, équitable et durable qui stimule les investissements dans le secteur agricole ».
Ainsi, pour attirer les investisseurs étrangers et sécuriser leurs investissements, il faut avant tout revoir le Code agricole.
Gaston Mutamba Lukusa
GML,
Moi, je veux bien… mais si on commençait par me donner les mpiodi de Namibie…
Mama Fifi (de Kolwezi) n’aime pas le mpiodi ?
Kie kie Fatshi bee…!
Hélas,hélas,hélas encore des promesses et des voeux plutôt pieux ! Qui peut penser que dans un pays sérieux on attende 5 ans pour parler « autosuffisance alimentaire ». Un « Code agricole », je veux bien pourvu qu’il soit mis en oeuvre et produise des fruits…
Cher GML. Je vais vous donner un scoop. L’Eternel Dieu des Armees a decide dene plus ecouter les prieres des congolais! Et pour cause? Ils continuent a se plaindre et a gemir alors qu’IL leur a tout donne! IL a fait des jaloux autour de leur pays et ailleurs a cause des richesses dont IL Les a combles, mais ces paresseux de congolais continuent a LUI demander davantage! Comme Olivier Twist, ils demandent toujours un peu plus!
Qu’un seul congolais meure de faim au congo est une insulte a l’Eternel!
Que la moitie d’un gouvernement se deplace pour aller chercher du mais ailleurs que chez eux est une insulte a l’Eternel!
Qu’un ministre congolais aille acheter des poissons qui sont encore dans l’eau alors que les poissons meurent de veieillesse das les fleuves et lacs congolais est une insulte a l’Eternel!
Que des etrangers etqablis au Congo s’enrichissent plus que les congolais, meme dans lagriculture est une insulte a l’Eternel!
Que les congolais laissent leur voiusins s’enrichir et construire leurs pays grace aux minerais pilles en RDC est une insulte a l’Eternel!
Au vu de toutes ces insultes, l’Eternel a decide de faire sourde oreille aux prieres des congolais jusqu’a ce que ces derniers realisent qu’il est temps de dire merci au lieu de demander!
Merci de resumer si clairement le BILAN catastrophique du regime Tshilejelu dont un VPM (voleur connu) va acheter du mais en Zambie sans honte. Pas donc etonnant que Kenyata et William Rupo remercient Dieu, pardon, Mulopwe Tshilejelu d’avoir mis la RDC a leur disposition via les forces-EAC et la fraterie « Nyakerus » deriere lesquelles se cachent vastes interets miniers agricoles, bancaires, immobiliers Kenyans en RDC. 2e Mandat?
Grand Pretre Pierre Jacquenry.
Ce n’est ni a vous ni a moi de faire le bilan du regime de Fatshi. Apparemment vous vous etes deja arroge le droit de le faire, et le trouvez catastrophique! Ca c’est votre opinion. Ce n’est pas un bilan! Clairement ‘Bilembo ya Beton’ n’est pas votre feuilleton televise prefere. Repentez-vous cher Grand Pretre! La haine n’a jamais apporte du bonheur a qui que ce soit, meme pas au haineux! Le deuixieme mandat? Fatshi l’aura sans coup ferir! Et les haineux vont affluer dans votre eglise apres avoir aboye a la tricherie toute honte bue!
Estimé Binsonji,
Ah bon, un citoyen Congolais n’a point le droit de faire le bilan de la gestion de son pays, sauf s’il en dit du bien ?
Simplement une opinion, allons donc !
Qui est alors habilité à faire ce bilan ?
Bilembo ya Fatshi Beee ou la haine, c’est le seul bilan acceptable. Ressaissez-vous, cher ami, vous en faites peut-être trop dans les djalelo…
QUI NE CONNAIT PAS
SES DROITS, N’A PAS DE DROIT À
L’AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE ET AUTRES !
Quiconque violerait vos droits, votre consentement et votre libre arbitre surtout votre liberté à vivre décemment dans un pays tel que KONGO DIA NTOTILA où le PARADIS TERRESTRE est lié au BIEN-ÊTRE et à l’accès à la NATURE et à ses nombreux bienfaits doit nécessairement subir l’adversité tant spirituelle, physique et astrale. Les POLITICHIENS COLLABOS RDCIENS ESCROCS VOLEURS ont dépassé la ligne rouge en choisifiant le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE jusqu’à l’etat
D’un animal sauvage traqué par la privation involontaire de la nourriture et des denrées alimentaires en plein 21è siècle. Nul n’ignore la LOI car pénalement aucune sanction n’est prononcée sans la LOI. Pour qu’il y ait condamnation pénale, il fait qu’il y ait CONSCIENCE de la FAUTE commise c-à-d l’élément moral et l’élément matériel. En RDC occupée par les Banyarwandas, les autorités publiques et politiques ignorent la Loi qu’elles ne peuvent et ne doivent pas ignorer. Selon la hiérarchie des normes en Droit Français qui s’aligne sur la DÉCLARATION UNIVERSELLE DES DROITS DE L’HOMME, il y a 4 articles clés qui définissent le DROIT HUMAIN que les autorités sont dans l’OBLIGATION de s’y soumettre et d’appliquer au vu du rôle qu’elles ont accepté de jouer dans la société Kongolaise de la RDC occupée sous peine d’être sanctionnées et arrêtées :
-Article 3 «Tout individu a droit à la vie, à la liberté et à la sûreté de sa personne.»
-Article 4 «Nul ne sera tenu en esclavage ni en servitude ; l’esclavage et la traite des esclaves sont interdits sous toutes leurs formes.»
-Article 6 «Chacun a le droit à la reconnaissance en tous lieux de sa personnalité juridique.»
-Article 26 «1.Toute personne a droit à l’éducation. L’éducation doit être gratuite, au moins en ce qui concerne l’enseignement élémentaire et fondamental. L’enseignement élémentaire est obligatoire. L’enseignement technique et professionnel doit être généralisé ; l’accès aux études supérieures doit être ouvert en pleine égalité à tous en fonction de leur mérite.
2. L’éducation doit viser au plein épanouissement de la personnalité humaine et au renforcement du respect des droits de l’homme et des libertés fondamentales. Elle doit favoriser la compréhension, la tolérance et l’amitié entre toutes les nations et tous les groupes raciaux ou religieux, ainsi que le développement des activités des Nations Unies pour le maintien de la paix.
3. Les parents ont, par priorité, le droit de choisir le genre d’éducation à donner à leurs enfants.». Sur ce, la DÉCLARATION du 26 Août 1789 des DROITS DE L’HOMME et du CITOYEN conclut :
-Article 4 « La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui. Ainsi, l’exercice des droits naturels de chaque homme n’a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits. Ces bornes ne peuvent être déterminées que par la LOI.»… -Article 15 «La société a le droit de demander compte à tout agent public de son administration ». QUID DES DROITS NATURELS ? Si ce n’est que le DROIT de MANGER à sa faim et de ne pas pas mourir faim et d’accéder librement à la NOURRITURE SAINE non issue de l’INDUSTRIE ALIMENTAIRE telle que MOSANTO de Bill Gates de triste mémoire avec des OGM (ORGANISMES GÉNÉTIQUEMENT MODIFIÉS OU MORTIFIÉS) qui ne garantissent aucune AUTOSUFFISANCE ALIMENTAIRE aux pauvres RDCIENS qui ignorent leurs DROITS NATURELS. LE PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE DEMANDE-T-IL DES COMPTES À SES AUTORITÉS DIRIGEANTES COLLABOS ET OCCUPANTS ? Vu sous l’angle des élections pièges à cons truquées d’avance, la populace RDCIENNE qui ignore ses DROITS ratifie le CONTRAT PAR BLANC-SEING (signature apposée d’avance sur un document en blanc) signé entre leurs POLITICHIENS COLLABOS & OCCUPANTS et la Communauté impéramialiste dit Internationale qui leur privent de la pleine jouissance de leurs droits naturels. QUE FAIRE ? Comme il est stipulé dans son Article 1353 du CODE CIVIL « Celui qui réclame l’exécution d’une OBLIGATION doit la prouver’, sachant que les AUTORITÉS RDCIENNES ignorent la LOI car la Dictature Tshilombiste juxtaposée sur l’Occupation Rwando-Ougandaise ne permet pas au PEUPLE de réclamer à des AUTORITÉS MONSTRES tel que Tshilombo-Pétain et Cie une OBLIGATION du RESPECT de la LOI qu’elles sont censées respecter et exécuter dans l’exercice de leurs fonctions, la seule issue est le SOULÈVEMENT POPULAIRE (RÉVOLUTION MULTISECTORIELLE). « Le vieux monde se meurt, le nouveau monde tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent des MONSTRES » dixit Antonio Gramsci. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
Estime Nono. Quand on parle gestion le mot bilan est un terme technique a ne pas confondre avec une opinion. Tout citoyen congolais a le droit d’emettre son opinion sur la gestion de son pays, mais tout citoyen congolais n’est pas habilite a dresser le bilan d’un regime. Vous confondez bilan avec opinion exactement comme vous conforndez critique et attaque personnelle. Ca ne sert a rien d’enfoncer le clou. Vos lecteurs savent depuis belle lurette l’eglise que vous frequentez. Vous n’etes pas obliges de dire du bien du regime de quelqu’un que vous n’aimez pas. A la rigueur vous pouvez vous abstenir d’en dire du mal. Ce n’est pas faire du djalelo que de rappeler que les mots ont une valence, et ils ne sont toujours interchangeables. Salut!
On doit adorer son idole F. TSHILEJELU et louer son bilan desastreux de 5 ans, qui se resume en Frappes, Fric, Fetes et Filles, ou on est haineux. Voila donc le bas niveau de raisonnement de ce parasite rampant sous le manguier a Limete.