Lundi 24 avril 2023

Province de Lualaba sur la carte de la RDC
Après l’incendie qui a ravagé presque la moitié du lycée Mwanga de Kolwezi, dans la province du Lualaba, le gouvernement provincial précise qu’il n’y a pas eu de morts. Des victimes, 132 cas au total, sont actuellement dans différentes structures sanitaires pour une prise en charge.
« A ce stade, le bilan est de 132 cas de victimes dont 8 cas sont avec un pronostic vital entamé mais stabilisé au niveau des structures sanitaires de prise en charge. Nous notons qu’il n’y a aucun décès à ce stade. Nous n’avons aucun brûlé, mais nous avons des cas de traumatisme physique suite à différentes chutes mais aussi psychologique », a dit Espérant Kabambi, ministre provincial de la santé dans la province du Lualaba.
Et de poursuivre :
« Nous soulignons ici qu’il y a également des cas de stress post-traumatique aigu et chronique nécessitant une prise en charge psychologique à court terme et d’autres cas qui vont nécessiter une prise en charge médicale ou chirurgicale à court, moyen et long terme ».
Daouda Kapenda, ministre provincial de l’intérieur et sécurité au Lualaba a expliqué qu’il y a bel et bien espoir pour la fin de l’année scolaire au lycée Mwanga.
« Nous déplorons le fait que au moins 50% du bâtiment a été endommagé et l’état pourra aider l’église catholique à reconstruire ce qu’on a perdu. Néanmoins, il y a lieu d’espérer que l’année scolaire n’est pas terminée pour le lycée Mwanga, il y a toujours moyens parce qu’il y a quelques locaux qui peuvent toujours être utilisés en attendant la reconstruction de la partie endommagée », dit-il après la visite des hôpitaux où sont internées les lycéennes.
Dans son rapport publié ce même lundi après l’incendie au lycée Mwanga, le directeur provincial de l’EPST dans le Lualaba précise qu’il y a eu des dégâts majeurs qui ont touché cette école catholique. Quant aux dégâts matériels, il parle d’une bibliothèque consumée, l’internat, 5 salles de classe de secondaire et de 4 de primaire brûlés.
Une enquête est ouverte pour déterminer l’origine de cet incendie, a ajouté Daouda Kapenda, ministre provincial de l’intérieur et sécurité au Lualaba.
José Mukendi
TSHILOMBO-PÉTAIN PRÉSIDENT PROTOCOLAIRE NOMMÉ EST LA PERSONNIFICATION RÉELLE DE L’OPPROBRE EN RDC OCCUPÉE PAR LES OCCUPANTS BANYAMAYARWANDA ! Les multiples incendies des bâtiments officiels et scolaires ainsi que la vente sans retour sur investissement de différents immeubles et marchés publics (IGC « Institut Géographique du Congo », Marché Central de Kinshasa la Poubelle, l’institut de la Gombe-Kalina etc.) propriétés privées de l’État Central Failli démontrent que le pouvoir protocolaire de Félix Antoine Tshisekedi est une malédiction générationnelle (OPPROBRE) comme sa propre personne pour l’avenir de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE et de ses 100 millions d’habitants BANTOUS KONGOLAIS. DEPUIS 2021 LE SYSTÈME D’ENSEIGNEMENT (D’ÉDUCATION) EN RDC OCCUPÉE PAR LES BANYAMAYARWANDA MINÉE PAR LA CORRUPTION ET REMPLIE D’IGNORANTS EST SACRIFIÉ SUR L’AUTEL SATANO-OCCULTO-NÉCROMANCIEN DE LA SIRÈNE DES EAUX MERTI MERTURA ! Sans un diplôme de BAC +1 en France ou EXAMEN D’ÉTAT en RDC occupée, l’équivalent du Diplôme de CESS (Certificat d’Enseignement Secondaire Supérieur) en Belgique, aucune personne même un fils ou une fille du Roi des Belges ne peut accéder aux études supérieures à l’Université, à la Haute École voire à la Promotion Sociale de la Région Bruxelles-Wallonie. Donc Tshilombo-Pétain arrivé au pouvoir protocolaire en 2019 [moyennant un DEAL MAFIEUX sous forme de CONTRAT INTUITU PERSONAE signé à Kingakati avec l’imposteur Rwandais Kanambe alias Joseph Kabila au pouvoir depuis 2001], titulaire d’un simple Brevet Cycle d’Orientation obtenu difficilement à l’institut Mokengeli n’a jamais été inscrit à l’ICC Bruxelles pour avoir ses 2 faux Diplômes (Management et Communication) falsifiés, ce fut un étudiant libre non inscrit en attendant la preuve de l’équivalent de son pseudo diplôme qu’il (FATSHI BIDON) a prétendu avoir. Au pire des cas, les institutions universitaires ou d’études supérieures Belgrs font passer le futur étudiant à l’examen d’admission qui confirme le niveau de l’équivalence. Si tel fut le cas, Tshilombo-Pétain a toujours échoué à cette épreuve (examen) durant 20 ans d’affilée car son niveau est NUL. La RDC occupée par les Rwando-Ougando-Burundo-Kenyans BANYAMAYARWANDA est codirigée par un ignare ayant des grosses lacunes intellectuelles qui a vendu son ÂME (corps et esprit) au Diable Satan le Chérubin jadis oint. Ceci explique cela. Notre SYSTÈME D’ENSEIGNEMENT a été piègé, détruit avec le projet ubuesque de la GRATUITÉ OBLIGATOIRE des corrompus Politichiens (Willy Bakonga, Tony Muaba et Tshilombo-Pétain) alors que sans un Système d’ÉDUCATION (d’Enseignement) refondé, repensé, revalorisé et masterisé, la RDC occupée qui n’est démocratique que de nom ne vaut pas un PENNY car remplie d’ignorants traumatisés, sous-informés, mal formés et mal informés. « Si vous voulez détruire un pays, inutile de lui faire une guerre sanglante qui pourrait durer des décennies et coûter cher en vies humaines. Il suffit de DÉTRUIRE SON SYSTÈME D’ÉDUCATION et d’y généraliser la CORRUPTION. Ensuite, il faut attendre 20 ans (2001-2021) et vous aurez un pays constitué d’IGNORANTS et dirigé par des VOLEURS. Il vous sera très facile de les vaincre » dixit le SAGE CHINOIS à son EMPEREUR. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
On s’étonne de quoi ?
Je suis choqué de constater que toutes les autorités se lamentent au sujet de l’incendie du lycée de Kolwezi. Dieu merci qu’il n’y a pas eu des morts. Mais où se trouve la faute ???
C’est dans la conception architecturale de cette école. IL N’Y A PAS DES ESCALIERS DE SECOURS.
Comment peut-on se permettre de donner une autorisation de bâtir à un complexe scolaire sans qu’il y ait des escaliers de secours ?
Ceci n’est pas l’unique cas ; observé attentivement la majorité des bâtiments construits en RD Congo, on ne tient pas compte de cette exigence, et c’est dommage.
Je demande au ministère de l’urbanisme et habitat de revoir la procédure des octroies des autorisations de bâtir en tenant compte de la sécurité des installations.
Les architectes congolais sont aussi responsables dans ces genres d’accidents car ils négligent ce type d’exigences lors de la conception des projets d’architecture.
Augusto Katumua Nsambi
Architecte
Arnhem_Nederland
Les accidents arrivent malgré les précautions et on voit que chez-nous manque la chaîne de riposte, en l’occurrence des équipes de pompiers équipés et bien formés. C’est donc la faillite générale de tout un État qui tarde à disposer partout des services anti-incendies avec des équipes de sapeurs pompiers, financièrement, logistiquement, juridiquement sinon constitutionnellement dotés.
Il y aurait une victime âgée de 11 ans, élève en sixième primaire, ayant eu une fracture du crâne selon des sources de la société civile du Lualaba.