Intervention nationale et internationale pour protéger le Congo-Kinshasa contre la catastrophe politique et militaire imminentes

Golden Misabiko

Golden Misabiko

Tous les Congolais du Grand-Congo, Politiciens, doivent se mettre ensemble pour nous éviter la pire catastrophe qui s’annonce, encore une fois, sur le Pays. Et pour éviter ces désastres politiques qui s’annonce, encore une fois sur le Grand Congo, Tous les Politiciens doivent se mettre ensemble et se parler [dialoguer].

Le climat politique sur notre cher pays est redevenu si chaotique qu’il faut agir maintenant et immédiatement pour y apporter la solution durable sans légèreté aucune et complaisance. Tous les désastres les plus graves pouvant arriver à tout moment, il est de notre responsabilité urgente de lever nos voix pour rappeler à tous ceux qui le savent que les vies humaines, en générale, et celles des Congolais, en particulier, sont sacrées et ne doivent pas être exposées, une fois de plus, aux calamités des conflits les plus prévisibles sur le territoire Congo.

Nous avons été capables de forcer tous les belligérants d’aller à Lusaka (Zambie), Gaborone (Botswana) et en Afrique du Sud pour se parler. En effet, en 1998, 1999, 2001 et en 2002, nous avions élevé nos voix par des médias nationaux et internationaux , avec courage, pour exiger à tous les belligérants, de triste mémoire, d’aller négocier la paix et mettre fin aux guerres qui endeuillaient le Pays et son Peuple; avec plus de 4.500. 000 morts (en 1999; voir le rapport ce CICR, Croix Rouge) des congolais et autres étrangers. Cela devenant très insupportable pour nous, nous avons appelé la Communauté internationale pour nous aider à finir cette catastrophe belliqueuse qui ne faisait que tuer nos enfants, femmes, hommes et vieillards sans défense.

La situation politique est devenue plus chaotique et plus désastreuse que celle de ces guerres récentes irresponsables qui ont frappé le Congo et son Peuple [avec plus 12.000.000 de morts maintenant], les guerres que nous ne devons ni tolérer ni subir non plus; car nous en connaissons les conséquences qui sont irréparables et calamiteuses. Elles [ces guerres] causent les morts, massacres, fosses communes, déplacements, destructions systématiques des biens.

De la même façon que nous avons appelé les Jean Pierre Bemba (du MLC), Emil Ilunga, Azarias Ruberwa (du RCD) et le  »Sans-Noms » pouvoir de régime et leurs alliés respectifs à aller, SANS tarder, en Afrique du Sud, Sun-City pour signer la fin de leurs guerres sur notre territoire, de la même manière nous sommes en train d’en appeler au régime actuel de Kinshasa de laisser immédiatement les acteurs politiques (Moïse Katumbi, Jean Pierre Bemba et les autres) d’exercer librement, et sans restriction aucune, leurs ambitions politiques et électorales.

Pour le cas d’espèce, nous [Golden Misabikko, devant témoins] qui avions milité nuits et jours pour amener tous les belligérants à se mettre ensemble pour signer les cessez-le feu et abandons d’actions des guerres et militaires, nous ne pouvons pas ne pas exiger à ce régime de Kinshasa de se mettre ensemble avec les politiciens qui ne sont pas de son obédience pour se parler et se poser les questions relatives à leurs frustrations justes, d’ailleurs. Car elles [les frustrations], qui s’accumulent dans les esprits et cœurs des populations, sont des bombes civiles plus catastrophiques que les bombes militaires.

Le régime sinistre de Kinshasa doit laisser Moïse Katumbi rentrer dans son pays, le Grand Congo, immédiatement et sans conditions; il [le régime] doit laisser Moïse M. poser sa candidature à la présidentielle en toute sécurité. Il faut aussi laisser Jean Pierre Bemba rentrer au pays; et lui donner et laisser vivre dans la résidence de son choix.

Car, lorsqu’une chèvre est agacée, à outrance, par une personne, elle [la chèvre] peut mordre. Pourquoi le régime de Kinshasa [ »Joseph Kabila »] ne prévient-il pas les causes des catastrophes humaines et humanitaires qui peuvent survenir des privations des droits politiques et des frustrations y relatives?

Encore une fois, ce même esprit de Paix de  »Non-guerre » nous anime et nous empêche de nous taire devant la situation pouvant nous conduire à la fin la plus désastreuse et incontrôlable; car il serait trop tard!

Le régime de Kinshasa avec ses animateurs irresponsables ont provoqué les frustrations de leurs adversaires politiques à outrance. Les uns sont forcés en exile, les autres sont en prison dans les conditions de la mort; les autres sont morts exactement et dans les fosses communes. La majorité des Congolais avec leurs leaders politiques sont frustrés abusés. Et tout peut arriver; nous devons faire quelgue chose!

 

Par Golden Misabiko
Défenseur International des Droits Humains
Leader de la Société Civile/Congo
Prix MEA 2006
Prix Nuclear-Free Future – Anti-Nucléaire
Lauréat pour l’environnement

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