La Banque mondiale « regrette » la dissolution du Fonds Social de la RDC – un organisme public qui bénéficie d’importants financements de cette institution – sans qu’il ait eu un échange préalable avant la création d’une nouvelle structure.

Gaston Mutamba Lukusa
Par ordonnance publiée le 4 mai, le président Félix Tshisekedi a dissous le « Fonds social de la République ». Il a créé un nouveau Fonds Social de la République Démocratique du Congo (FSRDC) avec des compétences plus larges. Le nouvel organisme public procède de la fusion avec la cellule d’appui au Programme d’urgence intégré de développement communautaire (CAPUIDC). Il s’agit d’un service spécialisé de la présidence de la République créé par ordonnance n°19/068 du 25 juillet 2019 dont la mission est de coordonner les actions et les initiatives urgentes du chef de l’État visant une amélioration rapide des conditions de vie de la population, notamment à travers la création d’emplois massifs décents et d’opportunités d’insertion socio-professionnelles pour les jeunes. Dans une correspondance datée du 1 mai, adressée au ministre congolais des Finances, le directeur des opérations de la Banque mondiale pour la RDC, Albert Zeufack, note que l’absence d’un échange préalable avant la dissolution du Fonds et la création d’une nouvelle institution pour la remplacer est regrettable. « La décision de la dissolution du Fonds social pour la RDC n’est pas conforme aux accords juridiques concernant les modalités de mise en œuvre des projets… », écrit-il. Et de souligner que « conformément aux dispositions de différents accords juridiques qui nous lient, l’organisation dissout était l’entité chargée de l’exécution de 3 projets d’une enveloppe totale de 1,04 milliard de dollars américains ». Il cite : le projet de prévention et des réponses aux violences basées sur le genre (PRVBG) pour 100 millions de dollars américains, le projet de stabilisation de l’Est de la RDC (STEP) pour la paix pour 695 million de dollars américains et le projet de stabilisation et de relèvement de l’Est (STAR Est) pour 250 millions de dollars américains. Ainsi, la Banque mondiale a suspendu ces projets qui concernent directement 616.380 bénéficiaires. Aussi, près de de 600.000 personnes sont affectées par les conséquences de cette décision. L’institution de Bretton Woods n’a pas fermé complètement la porte. Elle précise qu’« avant de pouvoir continuer à engager les fonds de projet, le gouvernement et la Banque mondiale devraient s’accorder sur les mesures transitoires à mettre en place afin de s’assurer que les fonds sont utilisés aux fins prévues conformément à la politique de financement des projets d’investissement de la Banque mondiale ». Dans la foulée, la Banque mondiale signale que 91 millions de dollars de financement des projets STEP (89 millions) et PRVBG (2 millions) étaient injustifiés à ce jour.
Les objectifs du Fonds social
Le Fonds social de la République démocratique du Congo a été crée en 2002 en s’inspirant au Fonds social pour le développement (FSD) qui existait, avec l’appui de la Banque mondiale, en Egypte et dans certains pays africains et arabes. Le FSD avait pour objectif: la création des emplois, l’élimination des séquelles de la restructuration de l’économie à la suite de la privatisation et la lutte contre la pauvreté. Dans ce cadre, des projets furent financés dans le domaine des travaux publics, du développement communautaire, de la restructuration de l’économie et de la création des PME/PMI (Petites et moyennes entreprises/Petites et moyennes industries). Le Fonds Social de la République de la République démocratique du Congo (FSRDC) fut créé le 5 février 2002 sous la forme d’un établissement public. Il avait pour mission de participer à l’effort de reconstruction de la République démocratique du Congo. Pour ce faire, il devait contribuer à l’amélioration des conditions de vie de la population congolaise et son accès aux services sociaux moyennant la réhabilitation et la reconstruction des infrastructures économiques et sociales communautaires. Il devait aussi participer à la création des revenus et des emplois dans les milieux ruraux et urbains par l’exécution ou l’implantation des micro-projets générateurs des revenus pour alléger la pauvreté et promouvoir le développement économique et social de la République démocratique du Congo. Il a bénéficié des financements de la Banque mondiale. La nouvelle structure a un but presque similaire. A savoir notamment « la création des revenus et des emplois dans les milieux ruraux et urbains par l’exécution ou l’implantation des micro-projets générateurs des revenus pour alléger la pauvreté et promouvoir le développement économique et social de la République démocratique du Congo ».
Des raisons de s’inquiéter
Il aurait été indiqué que le gouvernement consulte, au préalable, Banque mondiale avant de dissoudre le FSDRC qui bénéficiait d’appuis financiers importants. On peut soulever ici la question de la souveraineté nationale. En attendant les négociations et les discussions qui doivent avoir lieu pour décanter la situation, il faut mentionner qu’un problème qui pourra être soulevé est la question du personnel qui sera retenu dans la nouvelle structure. Normalement, le personnel doit être qualifié et maîtriser les procédures de la Banque mondiale. Cependant, il y a lieu de craindre, comme c’est l’habitude, que le personnel de l’ancienne structure, qui dispose de l’expertise, soit tout simplement remercié. Le fait que le FSDRC soit placé sous l’autorité directe du Président de la République risque d’être un autre problème. Il pourra échapper à tout contrôle du gouvernement et même du parlement dont une des missions est le contrôle des entreprises de l’Etat. Le Président n’est pas responsable devant le parlement en cas de mauvaise gestion du FSDRC. Il va aussi échapper à tout contrôle de la Banque mondiale, de l’IGF (Inspection générale des Finances) et de la Cour des comptes. Dans le passé, la Banque mondiale avait pris la décision d’annuler le financement des projets pour ce genre de considérations. Ce fut le cas de l’ADPI (Agence pour la promotion, le développement et la mise en œuvre du projet Grand Inga), un service spécialisé au sein de la Présidence de la République, créé en octobre 2015. Le Congo justifiait sa démarche par le fait que le barrage d’Inga était tellement stratégique que l’ADPI ne pouvait qu’être placé sous l’autorité directe du Président de la République. La Banque mondiale avait alors annulé son aide.
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Gaston Mutamba Lukusa
C’est tres simple, meme pour les naifs: Les « frappeurs » du regime Tshilejelu viennent (encore) de frapper la B.M.
Et les 91 millions que sont ils devenus? Etant impossibles a retracer
Cher GML, « RDC-Banque mondiale: incompréhensions » ou d’abord inconscience, cupidité et malgouvernance d’un coté ?! En effet au début était contrairement aux textes établis la dissolution unilatérale par Kinshasa du Fonds Social (FSRDC), un organisme public qui vit d’importants financements de la BM sans qu’il ait eu échange préalable avant la création de la nouvelle structure. Pourquoi donc, voilà le noeud du problème ???
Le FSRDC est un service spécialisé de la présidence de la République dont la mission est de coordonner les actions et les initiatives urgentes du chef de l’État visant une amélioration rapide des conditions de vie de la population, notamment à travers la création d’emplois massifs décents et d’opportunités d’insertion socio-professionnelles pour les jeunes. Selon la BM la décision de la dissolution du Fonds social pour la RDC n’est pas conforme aux accords juridiques concernant les modalités de mise en œuvre des projets. En l’occurrence ici le FSRDC était chargé de l’exécution de 3 projets d’une enveloppe totale de 1,04 milliards USD. Du coup la BM regrettant cette dissolution s’est resolue à suspendre les importants financements à cette institution affectant ainsi les bénéficiaires, essentiellement l’effort de reconstruction du pays auquel elle participait. A signaler que dans la foulée la BM relève que 91 millions de dollars de financement des projets étaient injustifiés à ce jour.
Se pose en attendant la question du personnel expérimenté et honnête à retenir dans la nouvelle structure qui risque d’obéir à des choix aux ordres du pouvoir échappant ainsi au controle legislatif normal.
Il y’aura sans doute d’une façon ou d’une autre rattrapage mais encore une fois, toute cette précipitation témoigne de la mauvaise gouvernance avec son arbitraire et sa vénalité qui gangrène le pays. Dommage, dommage…
Frappa !
Les frappeurs ont encore frappé et la Banque mondiale (BM) s’en étonne ou fait semblant.
Kie kie kie…
Le directeur des opérations de la BM pour la RDC, Albert Zeufack, signale que 91 millions de dollars de financement des projets STEP (89 millions) et PRVBG (2 millions) étaient injustifiés à ce jour. C’est à mourrir de rire ! Il n’a qu’a me payer un resto à Dubai et deux Primus et je lui dirai où sont passés ces millions. Bref…
Depuis sa création, juillet 1944, à Bretton Woods dans le New Hampshire, la BM ne fait qu’accompagner les dictateurs, les despotes, les dirigeants incompétents et médiocres que l’occident placent à la tête de beaucoup de nos pays africains pour les priver de toute idée de développement. Privant ainsi des générations d’africains d’un avenir radieux.
Ce qui vient de se passer avec la RDC en est la preuve. Une de plus !
Que compte faire la BM pour récupérer ces 91 millions » injustifiés » ? Elle ne fera rien. Elle va continuer à financer l’autre machin truc nouvellement crée par la présidence. D’autres millions s’envoleront et le peuple congolais n’aura que ses yeux pour pleurer…de misère.
Et dire que cette même BM pourrait se monter plus efficace et plus utile pour les peuples africains, par exemple en :
– Obligeant les pays africains à des réformes anticorruption spécifiques. Cela inclut la mise en place de systèmes de responsabilisation, de transparence et de gouvernance améliorés, ainsi que des enquêtes sérieuses et transparentes sur les cas de corruption avérés.
– Renforçant les institutions nationales chargées de la lutte contre la corruption, telles que les organismes de réglementation, les agences anticorruption et les tribunaux. Cela implique la formation du personnel, l’amélioration des capacités techniques et l’établissement de mécanismes de contrôle efficaces.
– Encourageant la transparence dans l’utilisation des fonds publics en exigeant la divulgation des informations financières et des contrats liés aux projets financés. Ce en encourageant la participation de la société civile, des médias et d’autres acteurs dans le suivi et la surveillance de l’utilisation des fonds.
– En fournissant une assistance technique aux pays africains pour les aider à renforcer leurs systèmes de contrôle interne, à améliorer la gestion financière publique et à mettre en oeuvre des pratiques de passation de marchés transparentes. Cela peut contribuer à réduire les risques de corruption et de détournements de fonds.
En fait, la BM fait ici et là un peu de tout ça en finançant des opérations ponctuelles qui ne sont suivies d’aucune évaluation en encore moins de contrôle de l’utilisation de fonds. La raison principale invoquée est la notion de souveraineté.
Si vous prenez le cas de la RDC, pourquoi financer un organisme dépendant de la présidence de la république qui elle même ne dépend de personne ? Comment expliquer et renforcer les pratiques de bonne gouvernance et d’anticorruption ou de la lutte contre les détournements quand des détourneurs condamnés par la justice et libérés (miraculeusement) par la même justice se retrouvent ministres dans le gouvernement ?
Reconnaissons quand même que la lutte contre la corruption et les détournements de fonds est un processus complexe et multifactoriel qui nécessite une approche holistique. La BM peut jouer un rôle important en tant que partenaire et en encourageant les réformes, mais la responsabilité principale incombe aux gouvernements nationaux et à la société civile des pays africains pour mettre en oeuvre des mesures efficaces de prévention et de lutte contre la corruption.
Avez-vous dit RDC – BM incompréhensions ? Et si ce n’était que de la complaisance face une réalité connue et acceptée pour le bien du couple ? Car souvent, les gouvernements n’ont pas la moindre intention de respecter les règles et les responsables de la BM n’ont pas la moindre intention de les faire respecter.
A mon pauvre avis, la BM en Afrique, c’est une APORIE !
Na fingi mutu ?
C’est vrai la BM comme tout Bretton Woods s’acommodent plus que nécessaire des gouvernements du tiers monde pourtant notoirement faillitaires avec leur bonne foi hypocrite de commercants pour des partenaires qu’ils ont installés en face. Les voilà ainsi peu capables de faire mieux pour nous.
Mais Ndeko Jo Bongos n’en énumére pas moins avec expertise des mesures qu’ils peuvent prendre pour changer leur logiciel et changer ainsi ce monde multipolaire que nous habiterons mieux ensemble. N’en sont-ils pas capables par nature ou par culture ou ce sont nous les pays faibles qui n’arrivons pas à les y obliger ? Il suffit pourtant qu’ils intègrent UNE LOGIQUE FERME DE SANCTIONS ENVERS NOS POTENTATS qui satisfera déjà les majorités silencieuses de nos populations. Pauvres de nous et moi avec avec mon obstiné optimisme de lâche qui me prive souvent de comprendre la vie, passons…
Ndeko Kum,
Loin de moi de chercher la petite bête et ne vous reproche pas plus que ça vos propos « radicaux » mais encore une fois, une interrogation, des interrogations me sont passées par à la tête en vous lisant et vous les soumets.
Nous n’avons rien d’autre à attendre de la racaille qui fait office du pouvoir que des détournements, la gabegie, les assassinats, le cafouillis, la sauvagerie, la légèreté… – c’est qui est en grande partie vrai, et c’est selon – ou encore nous avons les dirigeants que nous meritons, c’est dire que nous sommes quelque part tous responsables…
Que devons-nous alors faire; avons-nous quand même le droit ou des raisons de juger nos médiocres ? Si oui que devons-nous leur dire alors pour le moment en attendant que ça change ?
Dans le fond je ne suis pas complètement en désaccord avec la prose et l’attitude radicales mais je répète que j’y épingle un certain irréalisme qui peut nous empêcher d’être des citoyens actifs. Apparemment si les Congolais croient au bénéfice d’un soulèvement populaire ils n’en ont emprunté nulle part le chemin concret. Que devons-nous faire alors en attendant le grand soir révolutionnaire, nos dirigeants du moment ayant tous endossé le costume des collaborationnistes de l’occupation, mais ce sont eux que nous avons.
Tenez, qu’est-ce qui a manqué hier que le mécontentement réel de certains ne se transforme en une large révolte populaire, ne serait-ce pas en partie parce que le peuple Congolais est lui-même trop divisé entre révolutionnaires et profiteurs immédiats ?
Voilà mes interrogations et qu’en pensez-vous et que pensent les autres intervenants du CIC ???
*** ne serait-ce pas en partie parce que le peuple Congolais est lui-même trop divisé entre révolutionnaires et profiteurs immédiats ET QU’AUCUN DES DIRIGEANTS ACTUELS DANS L’OPPOSITION N’A ENCORE PRIS LE COURAGE D’INVITER CLAIREMENT AU SOULEVEMENT POPULAIRE ???
Ndeko Nono,
Étant un des participants du CAMP RÉVOLUTIONNAIRE (SOULÈVEMENT POPULAIRE). sur CIC. Permettez-nous humblement de répondre de façon claire à vos questionnements à Ndeko KUM sans pour autant prétendre le faire à sa place. Si nous (Combattant Résistant de l’Ombre) le comprenons très bien, tout Kongolais révolté doit nécessairement soutenir l’actuelle boiteuse (claudiquante) et toxique Classe Politique RDCienne corrompue, médiocre, inconsciente congénitale (1997-2023) qui trahit délibérément notre Grand et Beau Pays occupé puisque ce sont les seuls Politichiens que le KONGO-ZAÏRE possède en cette ème année électorale de merde, c’est même le but poursuivi par nos ennemis extérieurs et intérieurs de ranger tous les RDCIENS derrière ses KAPITAS MÉDAILLÉS de la Recolonisation de l’Afrique (KATSHIOPA) en général et de la RDC occupée en particulier. Voilà 3 fois (2006, 2011 et 2018-2019) que les Kongolais soutiennent ces MINUS POLITICHIENS Satano-occulto-nécromanciens pour ne récolter que des pseudo vérités des urnes muettes à la con. Perso, nous l’avions fait qu’une seule fois en 2006 grâce l’APARECO et Feu Honoré Ngbanda Ko Atumba, du coup Bemba j ai accepté de triste mémoire prit son chèque en blanc des mains ensanglantées de l’imposteur Rwandais Kanambe et patatras. Depuis nous nous abstenons régulièrement et l’histoire nous reconforte dans nos choix radicaux qui nous épargnent d’avoir du sang Kongolais dans nos mains après avoir péché par participation enfin d’avoir une conscience pure non souillée. Vu l’espoir suscité en 2018-2019 par FATSHI BIDON sur CIC (Cfr Devoir d’ingratitude) & ailleurs et la déconvenue qui s’ensuivit durant 4 ans pour celles et ceux qui ont espéré que Tshilombo-Pétain déboulonnera l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE malgré ses relents pécuniaires de HAUTE TRAHISON (MERTI MERTURA), il devient clair que faire la même chose en 2023 c’est-à-dire soutenir encore les ESCROCS VOLEURS Fayulu, Sesanga, Moses Soriano, Matata Pognon et Cie qui n’ont pas l’Esprit RÉVOLUTIONNAIRE comme Patrice-Émery Lumumba, Joseph Désiré Kasa-Vubu, Pierre Mulele, Maurice Mpolo, Joseph Okito, Évariste Kimba, Emmanuel Bamba, Jérôme Anany, Alexandre Mahamba etc, c’est de la pure folie, c’est collaborer avec eux (POLITICHIENS COLLABOS ET OCCUPANTS) de plein gré, c’est participer à leurs forfaits génocidaires contre notre Grand et Beau Pays. Nos conclusions sont celles-ci :
1- L’AFRIQUE n’est pas en 1959-1960 (Années des Indépendances factices) mais en 2023 [FIN de l’Hégémonie Occidentale (UK, USA, UE) et ÉCLOSION du MONDE MULTIPOLAIRE (BRICS et le RESTE DU MONDE représentent 75 % de la population mondiale)],
le marché financier mondialisé devient MULTIPOLAIRE…
2-L’Afrique est une TERRE VIERGE économiquement parlant qui s’émancipe enfin de l’OCCIDENT IMPÉRIALISTE (UE, USA et UK), le Mali, le Burkina Faso, le Niger, la Tunisie, l’Afrique du Sud, l’Algérie donnent le ton, le Grand KONGO-ZAÏRE (Gâchette du Revolver Afrique dixit Frantz Fanon) doit leur emboîter le pas pour ne pas être balkanisé et sombré dans la misère…
3-L’Afrique se retrouve comme lors la TRAITE NÉGRIÈRE (ESCLAVAGE DU PEUPLE NOIR) avec 2 PONCTIONS (TRANSATLANTIQUE & ARABO-MUSULMANE), les Présidents Africains Dictateurs militairement élus actuels qui vendent les Africains aujourd’hui et leurs richesses en 2023 remplacent les Rois Africains corrompus qui ont aidé les Occidentaux et les Arabo-musulmans à faire des RAZZIAS d’esclaves avec l’AIDE LOCALE COLLABORATIONNISTE…
En conclusion, soutenir l’Oppostion Classique en RDC occupée, c’est renforcer l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE (Empire Hima ou EAC). Pour que le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE sorte de sa torpeur de CUCULTERIE BONDIEUSARDE (Fanatisme aveugle et Religiosité imbécilisante) et de MANIPULATION DÉMOCRATICO-POLITICIENNE (manœuvres politiques dîlatoires) de sa Classe Politique INIQUE, il devient clair et net, Kinshasa la Poubelle doit subir ce que le Grand Kivu vit depuis 26 ans à savoir la GUERRE DE BASSE INTENSITÉ qui pointe à l’horizon ça sera une VÉRITABLE ÉTINCELLE qui embrasera TOUT, tous les COMBATTANTS INVISIBLES BIEN FORMÉS BIEN ARMÉS sortiront de leur cachette comme le 04 Janvier 1959, les Maï Maï KINOIS émergeront en lieu et place des élections pièges à cons truquées d’avance. Bien sûr qu’il y aura beaucoup de morts, mais soyons honnêtes et pragmatiques, même sans l’embrasement de Kinshasa la Déglinguée, les millions des Kongolais meurent toujours de maladie, d’insécurité, de pauvreté et d’autres maux meurtriers inconcevables. Personne ne vivra 969 ans sur cette TERRE des Hommes comme MATHUSALEM. Voilà notre humble avis. Si vous voulez suivre les Politichiens Collabos RDCIENS et OCCUPANTS BANYAMAYARWANDA VOLEURS ESCROCS, nous vous souhaitons sincèrement Bonne Chance. « La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent » dixit Albert Einstein. Bonne continuation. Merci. INGETA🙏
1,2 MILLIARDS DE $ INNÉCESSAIRES POUR APPUYER LE PLAN AGRICOLE D’URGENCE SOI-DISANT POUR RELANCER L’ACTIVITÉ DES FERMIERS ET AGRICULTEURS FANTÔMES EN RDC OCCUPÉE ! Quand dans un pays occupé est doté
par le Président protocolaire d’un étron (Vital Kamerheon) et VOLEUR ESCROC de surcroît Burundais Occupant Munyarwanda et reclus de justice comme Ministre de l’Économie qui travaille ensemble avec un Fanatique aveugle Flatteur Luba Kasaïen (Nicolas Kazadi) un CORROMPU VOLEUR ESCROC comme Ministre des Finances, il faut s’attendre à TOUT sauf à une BONNE GOUVERNANCE surtout que le faussaire des diplômes de l’ICC Bruxelles, le MERTI MERTURA Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE inapte intellectuel les chapeaute et les dirige malgré leur différence criante de cursus universitaire évidente. Aux dernières nouvelles, le VOLEUR ESCROC Vital Kamerheon bombardé Ministre de l’Économie par FATSHI BIDON de triste mémoire a trouvé une astuce diabolique pour soutirer 1,2 milliards $ au Trésor Public après sa récente mission Satano-occulto-nécromancienne en Zambie à la recherche des tonnes de maïs comme si le KONGO-ZAÏRE manquait des terres arables et cultivables pour avoir une suffisance alimentaire. En effet, le 15 Mai dernier, 2 jours avant le 26ème Anniversaire de l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE, le Vice-Premier Ministre, Ministre de l’Économie Nationale du Gouverne et ment de l’Empire Hima ou EAC, le truculent Vital Kamerhe a révélé le chiffre de 1 milliard $ du PLAN AGRICOLE qui devrait permettre à la RDC occupée de briser la dépendance à l’importation des produits alimentaires. On se croirait dans un CIRQUE DES BISOUNOURS (Personnes très gentilles et d’une grande naïveté) RDCIENS quand on connaît les antécédents judiciaires et degre de nuisance du rival de JB MPIANA PAPA CHÉRI. LA BANQUE MONDIALE ET LE FMI SONT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES INTERNATIONALES TRÈS TOXIQUES ET NOCIVES POUR LES PAYS DU TIERS-MONDE ÉTIQUETTÉS PPTE (PAYS PAUVRES TRÈS ENDETTÉS) ! Soyons honnêtes et pragmatiques, les Occidentaux Mondialistes Impérialistes du FMI et la Banque Mondiale [UE, UK et USA] par leurs conclusions et recommandations sur la CROISSANCE ÉCONOMIQUE savent que FATSHI BIDON président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par les OCCUPANTS Envahisseurs Banyarwandas devenu multimilliardaire en 4 ans seulement vole, detourne, dilapide l’argent public et facilite par sa HAUTE TRAHISON le bradage de nos minerais vendus par la CORRUPTION les RÉTROCOMMISIONS, les POTS DE VIN, la GABÉGIE FINANCIÈRE, la SURFACTURATION, les FAUSSES FACTURES etc.). « Les 3 missions de Félix Antoine Tshisekedi sont :
1-Blanchir les Occupants
2-Endormir (Distraire) les Congolais
3-Légaliser l’Occupation et la Balkanisation » dixit Honoré Ngbanda Ko Atumba. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
La clique de frappeurs-autodidactes au pouvoir (même si être bardé de diplômes n’est pas obligatoire pour diriger) ne fait qu’accomplir la mission reçue de leurs maîtres, à savoir:
– Blanchir l’occupation (Ba Banyamulenge baza ba Congolais,…)
– Endormir les Congolais (musique, alcool et….polygamie)
– Légaliser l’occupation pour mieux balkaniser le pays.
On ne peut attendre autre chose de cette racaille de faux « excellences » si ce n’est les détournements, la gabegie, les assassinats, le cafouillis, la sauvagerie, la légèreté,…..
Mais, mais, mais….
« Toute nation a le gouvernement qu’elle mérite. » Joseph de MAISTRE (1857).
OYO PEUPLE YA NDENGE NINI!
LES OSCILLATIONS (INCOMPRÉHENSIONS) CYCLOTHYMIQUES DE L’ÉCONOMIE RDCIENNE QI SOUFFRE ENTRE LES MAINS DES ÉTRANGERS OCCUPANTS BANYARWANDA SONT À SON POINT CULMINANT ! L’acmé (apogée) de la Balkanisation de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE est presque atteinte. Malheurs et malédictions générationnelles à celles et ceux qui ne voient pas par leurs yeux physiques que leur Kinshasa la Poubelle rempli des etrangers (Banyarwandas Rwando-Ougando-Burundais, Libanais, Indiens, Pakistanais, Maghrébins etc.) est actuellement encerclé de Maluku (RDC occupée et Congo-Brazzaville) en passant par le Plateau des Bateke (Mbakana, Impuru, Menkao etc) jusqu’au Bas-Kongo (Base Militaire de Kitona), la Capitale Ville-Province de notre pays occupé est cernée de part et d’autre par les militaires Banyarwandas héliportés illégalement par Rwand’Air pendant 3 ans avec la complicité Satano-occulto-nécromancienne de Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE. Comment peut-on aller bêtement une 4ème fois d’affilée aux élections diaboliques dans ces conditions économiques et politiques aussi abracadabrantesques ? LA HAUTE TRAHISON PEUT AUSSI ÊTRE UN FAIT ÉCONOMIQUE AUX CONSÉQUENCES DRAMATIQUES ! Quand un peuple est privé des substances économiques et sécuritaires, les oscillations cyclothymiques de la HAUTE TRAHISON contre le pays qui leur appartient deviennent vertigineuses et brutalement constantes, la maladie « OCCUPATION ÉTRANGÈRE RWANDO-OUGANDAISE » atteint son acmé, le pays approche du trépas inévitable avec des conséquences dramatiques et incalculables. Tout récit économique tel que les sottises bancales de la Banque Mondiale et du FMI devint très douloureux, les supplices sociaux deviennent contradictoires et mortifères. Les RDCIENS sans emplois ni salaires vivent dans une totale autarcie et une pauvreté ambiante indescriptible. Les Politichiens Collabos RDCIENS et OCCUPANTS BANYAMAYARWANDA difformes, stupides, déformés, disgracieux et pervers essaient d’amadouer un PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN clochardisé et désœuvré par la politique normaliste dans un pays occupé afin que leur jeu sordide d’accompagnement de l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE ait un sens quelconque par des marches pacifiques faussées et des audits des fichiers électoraux zézayants. Tous ceux qui essaient de gloser (critiquer) avec honnêteté intellectuelle et constance idéologique Tshilombo-Pétain coupable de HAUTE TRAHISON à l’extérieur et à l’intérieur du pays sont mis au banc des accusés alors que la politique classique doit laisser dans l’esprit et la lettre la place à la RÉVOLUTION (SOULÈVEMENT POPULAIRE). Toute réminiscence en RDC occupée ne viendra jamais de la politique classique ni des élections pièges à cons truquées d’avance. Point barre. “Nous laissons les livres sans surveillance car les voleurs ne lisent pas et ceux qui lisent ne volent pas” dixit Heddi Amir – Rue Al-Mutannabi, Bagdad (IRAK). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA