
Maître Tshiswaka Masoka Hubert
Lubumbashi, le 11 septembre 2023. L’Institut de recherche en droits humains (IRDH) salue la convocation de l’électorat de l’élection présidentielle du 20 décembre 2023 par la Commission électorale nationale indépendante (CENI). L’Institut félicite M. Augustin Matata et M. Constant Mutamba, les premiers qui ont déposé leurs candidatures au Bureau de réception et de traitement des candidatures (BRTC). IRDH encourage toute autre personne ayant rempli les critères d’en faire autant, de manière pacifique.
La sensibilité du contexte électoral appelle les animateurs des institutions publiques à la prudence et à plus de responsabilité vis-à-vis du processus et des parties prenantes. Tout acte tendant à compromettre la sécurité des candidats, la transparence et la traçabilité du vote, portera atteinte à la légitimé du scrutin.
De ce fait, l’IRDH condamne la procédure cavalière de l’arrestation et la détention arbitraire du journaliste Stanis Bujakera par des militaires de la Demiap. Ceci est une forme de violation des art. 18 et 19 de la Constitution qui garantissent à toute personne d’être IMMEDIATEMENT informée des motifs de son arrestation, d’entrer en contact avec sa famille ou avec son conseil et de ne pas être soustrait du juge que la loi lui assigne.
En ce qui concerne Matata, IRDH estime dès lors qu’il s’engage dans le processus électoral, l’opportunité des poursuites change. Toute procédure judiciaire contre un candidat s’apparentera à la perturbation du processus électoral par le Pouvoir judiciaire et risque de constituer une source de tension politique. D’autant plus que la personne visée avait quitté ses fonctions de Premier ministre, depuis le 20 décembre 2016.
Par ailleurs, IRDH recommande au Président de la République, Felix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, chef de l’Etat et magistrat suprême de veiller à la libération des politiciens emblématiques, à l’instar de Salomon Idi Della Kalonda Salomon dont la santé s’est fortement détériorée, depuis sa détention, le 30 mai, à la prison militaire de Ndolo. Telle mesure contribuerait largement à la décrispation du climat politique pendant la campagne électorale.
Maître Hubert Tshiswaka Masoka
Directeur Général de l’IRDH
Téléphone: +243851103409, Email: tshiswaka@hotmail.com
Cher Maître,
J’ai lu votre post ci-dessus qui m’a inspiré les deux remarques suivantes:
1. une procédure judiciaire contre Matata Ponyo reviendrait à perturber le processus électoral. Les règles et les principes de droit étant impersonnels, on pourrait en tirer la règle générale selon laquelle dès lors qu’une personne est candidate à une élection, même si le parquet dispose contre elle de suffisamment d’éléments à charge, devrait bénéficier d’une sorte d’immunité et ne devrait pas être poursuivie. Cela me paraît contraire à l’idée même d’un Etat de droit.
2. Que le Président veille à la libération des politiciens « emblématiques »: il faudrait déjà définir cet adjectif; en outre, cela reviendrait pour le Chef de l’Etat à interférer sur le fonctionnement de la Justice. Même si la grâce présidentielle existe. Marcher sur les plates-bandes du pouvoir judiciaire pour décrisper le terrain politique me semble plutôt dangereux!
Cordialement,
Me Tshiswaka,
A moins que je vous ai mal lu, je vous trouve trop optimiste. Vous semblez trop vite satisfait du spectacle qui va commencer et peu préoccupé des incidents et de la nécessité de la dé crispation que vous convoquez vous même.
C’est vrai la Ceni a ouvert sa saison de dépôts de candidatures à la presidentielle qui va du 9 septembre au 8 octobre, les candidats ont commencé à déposer leurs candidatures. Mais à ce stade toutes les garanties d’elections apaisées et inclusives sont-elles réunies alors que les soupçons d’une fraude electorale planifiée par le pouvoir, sa Ceni, sa CC… subistent ?
A votre crédit tous les pretendants sauf deux semblent prêts à aller au combat la fleur au fusil, mais cela suffit-il ?
Voilà ou j’aurais voulu que vous insistiez davantage sur des conditions des élections crédibles aux résultats peu contestables.
Il y’a d’un côté Tshisekedi qui se représente et la clique des leaders et partis qui sont derrière lui et d’un autre côté ceux de l’opposition et enfin quelques indépendants. Je crains que ceux du deuxième aient des raisons de contester les élections si on ne fait pas d’ores et déjà pression sur le pouvoir organisateur de se montrer plus responsable vers une offre plus consensuelle. Bien sûr c’est facile à dire mais difficile à faire mais il faut bien tenter…
LE « SPECTACLE » DES ÉLECTIONS EN ROUTE…
Moïse Katumbi l’un des challengers le plus côté à Tshisekedi a commencé une campagne pré-électorale dans l’Ouest du pays qu’on lui refusait il y’a peu mais il a pris le courage de le faire. Bravo à lui.
A Kikwit comme à Mbandaka il veut éveiller la conscience des électeurs à faire le sacrifice d’être vigilants et de rester présents aux bureaux de vote jusqu’à l’affichage des résultats le jour du vote. Tant mieux même diminué par les attaques répétées contre son camp, il croit que malgré les plans concoctés ailleurs, il reste une population qui peut déjouer les pronostics.
LA CLAQUE [PUBLIC PAYÉ POUR APPLAUDIR AU THÉÂTRE] LUBALISÉE SANS GÊNE DE L’UDPS FAMILIALE POUSSANT DES ACCLAMATIONS PANÉGYRIQUES INFONDÉES POUR ENCENSER FATSHI BIDON DEVIENT DE PLUS EN PLUS ACTIVE À 3 MOIS DES 4È ÉLECTIONS PIÈGES À CONS TRUQUÉES D’AVANCE ! Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi déclarait ceci à Mbuyi Mayi devant un parterre des fanatiques aveugles Luba Kasaïens acquis à sa cause COLLABORATIONNISTE, nous le citons « Je m’attaquerai sans hésitation à tout Congolais qui mettrait en danger la sécurité et la stabilité de notre pays, peu importe ce qu’on en dira : violation de droit de l’homme, privations de liberté… Je serai intransigeant sur cette question, je vous le promet, car je n’ai aucune leçon à recevoir de qui que ce soit », l’auteur de cet article de surcroît activiste des Droits Humains qui plaide dans le vide n’est pas au courant de ce message dictatorial ou fait-il semblant comme la direction éditoriale du CIC qui a tu mechamment les récents massacres de GOMA en imitant la RTNC de la Tshilombie. TSHILOMBO-PÉTAIN PRÉSIDENT PROTOCOLAIRE JOUISSEUR TRAÎTRE rajoute ceci « Je ne réculerai pas devant les menaces et les intimidations. J’ai passé quasiment le 3/4 de ma vie à combattre aux côtés d’un grand homme. J’ai cité Étienne Tshisekedi wa Mulumba d’heureuse mémoire. Cet homme m’a appris l’amour du Congo et des Congolais. Et donc je ne ferai jamais le fossoyeur du Congo et des Congolais ». Si l’Amour du KONGO-ZAÏRE et des Kongolais, c’est de les TRAHIR pour des chaussuresJM Weston, le fils maudit d’Étienne Tshisekedi et Marthe Kasalu perd résolument la tête, il faut cesser de plaider pour un AUTEUR de la HAUTE TRAHISON qui a des circonstances aggravantes. Le JUSTE JUGE DIVIN n’est pas un homme pour LE corrompre par des paroles douceureises et hypocrites. En RDC occupée par les Banyarwandas, l’Occupation étrangère RWANDO-OUGANDAISE est une imaginaire chimere même pour les activistes des Droits de l’homme qui relativisent et normalisent la situation ô combien dégradante et déshumanisante pour les êtres humains Kongolais. Du coup, comme dans un cauchemar Satano-occulto-nécromancien infini, la politique classique (MAJORITÉ et OPPOSITION) devient une vraie farce, les élections pièges à cons truquées d’avance sont carrément des allusions obscènes hyper connes et l’Armée soi-disant Républicaine devient une folle rigolade qui abrite des Officiers Rwandais qui commandent les soldats Kongolais esclavagisés, sous-payés, mal vêtus et démotivés qui sont escroqués jusqu’au-delà de leurs tombes (fosses communes) inhumés comme des animaux de façon inhumaine sans honneurs comme des soldats inconnus et inutiles… À QUOI SERVENT
LES 4È ÉLECTIONS PIÈGES À CONS TRUQUÉES D’AVANCE ORGANISÉES PAR LA CENI PRO RWANDA LUBALISÉE EN RDC OCCUPÉE PAR LES BANYARWANDAS ! La convocation stratégique de l’électorat incomplet muni des cartes d’électeurs et des duplicatas en RDC occupée en prélude d’un scrutin biaisé en amont et en aval alors que Bunagana et Minembwe sont entre les mains des Étrangers M23 Rwando-Ougandais est une scène théâtrale tragico-comique de mauvais goût. La CLAQUE KASAÏENNE LUBALISÉE qui applaudit Tshilombo-Pétain 5 ans après
fait exprès et est maudite de génération en génération. S’attendre à des élections apaisées dans un pays occupé complètement ingouverné, c’est prendre ses vessies pour des lanternes. Alors que certains thuriferaires laudateurs djalelistes Fanatiques aveugles de Tshilombo-Pétain président protocolaire JOUISSEUR vantent à tout va ses réalisations fantômes telle que la GRATUITÉ DE L’ENSEIGNEMENT, Willy BOLIO un députain national de la circonscription de BOLOBO parle de la GRATUITÉ SUICIDAIRE avec des mots durs qui n’honorent pas les 21.000 $ de salaire mensuel que lui verse Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi aka Tshilombo-Pétain comme corruption active. La CLAQUE de l’Udps Familiale Limete-Pétunias Sous-Bois fait des révérences dithyrambiques au profit d’un président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE qui ont un arrière-goût insipide, comme le lait tourné à l’aigre. Toutefois, ces élections, les 4è de la SÉRIE NOIRE pour légaliser et légitimer l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE seront encore un GROS FLOP, Il y aura bourrage d’urnes, tricherie, fraude, manipulation tutti quanti, s’ensuivra une course effrénée vers la vérité des urnes qui ne changera jamais le faux ordre d’arrivée. Malheur à celles et ceux qui participeront de près ou de loin à cette -ème incurie électorale en excluant au mépris de la dignité humaine le PEUPLE KONGOLAIS qui est en exil et en esclavage sur sa propre terre. « En Afrique on n’organise pas des élections pour les perdre » dixit Omar Bongo Ondimba (Président du Gabon de 1973 à 2009). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA