
Maître Tshiswaka Masoka Hubert
Lubumbashi, le 11 septembre 2023. L’Institut de recherche en droits humains (IRDH) se félicite d’avoir obtenu le transfèrement du prévenu Salomon Idi Della Kalonda vers un centre médical, à cause de la détérioration avancée de son état de santé, en prison. Cependant, IRDH estime qu’à la veille des élections générales de décembre 2023, le Président de la République devrait prendre des mesures additionnelles de décrispation du climat politique.
En effet, depuis ce 12 septembre, le directeur de la Prison militaire de Ndolo a transféré le détenu Kalonda dans un centre médical plus équipé que son dispensaire. Certes, la décision est louable. Cependant, elle devrait être dans un paquet de mesures visant à encadrer TOUT le processus électoral. En juillet dernier, IRDH, ACAJ, ASADHO, VSV, ANMDH et JUSTICIA avaient déjà sollicité l’intervention de la Commission nationale des droits de l’Homme (CNDH), afin d’obtenir la relaxation des prisonniers politiques emblématiques, à l’instar de Salomon Kalonda, Len’s Omelonga et Jean-Marc Kabund-a-Kabund. A ce jour, Stanis Bujakera Tshiamala s’ajoute à la cinquantaine.
Pour l’IRDH, il ressort de la volonté du peuple (souverain primaire) que la priorité pour 2023 soit la tenue des élections devant aboutir au renouvellement des mandats du Président de la République et des membres des assemblées délibérantes constituant le Pouvoir Législatif. Dans une large mesure, ces élections visent à modifier le visage de l’Exécutif.
De ce fait, comme de droit, il est d’attribution constitutionnelle aux dirigeants du Pouvoir judiciaire de contrôler la conformité des actes de la Commission électorale nationale indépendante (CENI), de valider ses décisions et de trancher des éventuels conflits entre elle et les compétiteurs à l’élection, ou, entre les compétiteurs, eux-mêmes. Le Pouvoir judiciaire joue le rôle de dernier rempart, pour toutes les parties prenantes à l’élection. Il est censé garantir l’égalité des chances à tous. A fortiori, le Président de la République, Magistrat suprême et garant constitutionnel de la Nation, a le devoir de sécuriser le processus électoral en cours.
De la sorte, le Pouvoir judiciaire peut retarder toute procédure perçue comme visant à désavantager un compétiteur politique et qui exposerait le processus électoral aux troubles sociaux. Si le contexte électoral semble avoir différé l’opportunité des poursuites contre des politiciens présumés auteurs des crimes économiques, qu’il en soit de même, en faveur des prisonniers politiques accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat. D’ailleurs, il revient que Fortunat Biselele et Franck Diongo ont bénéficié des telles largesses. Telles mesures seraient bénéfiques à la décrispation du climat politique, pendant la période électorale.
Maître Hubert Tshiswaka Masoka
Directeur Général de l’IRDH
Téléphone: +243851103409, Email: tshiswaka@hotmail.com
Me Tshiswaka,
Je suis plus satisfait de ce dernier plaidoyer qui met davantage l’accent sur la nécessité des mesures devant favoriser la décrispation politico-socio-juridique. Si comme vous dites la priorité majoritaire du peuple est la tenue des élections devant aboutir au renouvellement des mandats du Président de la République et des membres des assemblées délibérantes visant à modifier le visage de l’Exécutif, il faut préciser que cela ne peut se faire que dans la mesure où le processus est crédible contrairement à ce que le pouvoir semble jusque-là avoir planifié exclusivement à son profit avec une Ceni, une CC… à sa dévotion. Je crains en effet que dans les faits le Pouvoir judiciaire qui doit être le dernier rempart à garantir l’égalité des chances à tous les prétendants n’hesitant pas les poursuites contre les auteurs des crimes économiques et à favoriser la libération des prisonniers politiques injustement accusés d’atteinte à la sûreté de l’Etat – parce qu’opposants,
reste largement pour le moment otage du pouvoir en place.
Alors, au-delà de l’optimisme de circonstance, il importe encore et encore de le marteler, de le verbaliser ouvertement…
PLAIDER 6 FOIS D’AFFILÉE DANS LE VIDE POUR DES ÉLECTIONS PIÈGES À CONS TRUQUÉES D’AVANCE AFIN QU’ELLES SOIENT APAISÉES ET INCLUSIVES DANS UN PAYS OCCUPÉ DURANT 25 ANS EST UN MANQUE DE SÉRIEUX QUI FRISE LA MÉDIOCRITÉ ! Depuis la Bérézina politicienne de l’accord de Sun City (Afrique du Sud) signé le 19 Avril 2002 jusqu’à ce jour, le dérèglement intellectuel en RDC occupée par les Banyarwandas s’apparente à un envoûtement individuel et collectif de grande ampleur qui caractérise la situation politico-socio-économico-militaro-sécuritaire chaotique qui s’y pérennise. Un président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par un imposteur Rwandais auteur des millions des morts qui perpétue le Système Hideux Pprdiste d’Occupation étrangère ne peut pas organiser des élections apaisées et inclusives d’autant plus que durant son mandat usurpé, il (Tshilombo-Pétain) a démontré comme
un novice assoiffé du pouvoir sans pouvoir tous les signes distinctifs de la HAUTE TRAHISON contre la Nation-Patrie KONGO-ZAÏRE qui mérite une arrestation et une exécution publiques après un procès de grande envergure. Les arrestations arbitraires coercitives successives des Politichiens COLLABOS ainsi que les crimes contre l’Humanité imprescriptibles commis contre le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE par FATSHI BIDON sous sa Dictature Tshilombiste juxtaposée sur l’Occupation Rwando-Ougandaise sont des signaux clignotants qui prouvent que ces 4è élections pièges à cons truquées d’avance de Décembre 2023 organisées par la CENI pro Rwanda lubalisée si jamais elles ont lieu, seont une cuvée finale qui fera que le GRAND KONGO DIA NTOTILA disparaisse une bonne fois pour toute ou survive miraculeusement à l’Occupation de l’Empire Hima ou EAC qui dure depuis 30 ans (1994-2024). Le caractère insérieux de cette 6è plaidoirie loufoque confirme la médiocrité qui prévaut actuellement en RDC occupée… LE PRÉSIDENT FRANÇAIS EMMANUEL MACRON VEUT UN 3È MANDAT PRESIDENTIEL QUI EST ANTI-CONSTITUTIONNELL ! Il y a une similitude malheureuse entre les POLITICHIENS MACRONISTES ET LES POLITICHIENS COLLABOS TSHILOMBISTES, AFRICAINS ET RDCIENS toutes tendances confondues. Les MACRONISTES ACTUELS sont pour la plupart des VOLEURS en cravates de haut niveau comme les Shekuleurs bras cassés pieds nickelés de Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi le sont aussi, les deux équipes cleptocrates FRANÇAISE et RDCIENNE craignent la JUSTICE de leur pays comme de la peste. La preuve, le POUDRÉ comme on appelle Macron en « France Complotiste Souverainiste » veut un hallucinant et hypothétique 3è mandat présidentiel anticonstitutionnel par crainte des nombreuses poursuites judiciaires après 2027. Montesquieu, Descartes et Montaigne se retournent dans leurs tombes. Ceci dit, tous les supporters fanatiques aveugles des differents challengers de FATSHI BIDON dans ses 4è foutues élections pièges à cons truquées d’avance oublient que les 3 premières fois (2006, 2011 et 2018-2019), les grands espoirs de reconstruction de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE étaient permis mais après le désespoir génocidaire Satano-occulto-nécromancien s’est toujours installé jusqu’à ce jour. BANA MAYELE BAYOKAKA. MATOYI MANGONGI EFUTAKA TE. OBOYI OSALI MOKILI NA YO. MAPONAMI NA MBOKA OYO EZALI NA OCCUPATION ÉTRANGÈRE EZALI LOKOLA LISESE OYO PAPA KULUTU « EKAMBA EYOLEKA » ALOBAKA « MOBINI YA ZOBA BAPESAKA YE NSE KWANGA YA PAMBA MPO AZANGA NIAMA YA KOLIA NA YANGO ». NA MOKILI TOZALI BAPAYA TOKOLEKA NZELA. YO FANAKWITI YA BA POLITICHIENS COLLABOS & OCCUPANTS OKOTIKELA BANA NA YO BONSOMI TO MPE BOHUMBU LIBELA LIBELA. « Les Complotistes Souverainistes Patriotes Nationalistes Panafricanistesque nous sommes devraient reconnaître que parfois ils se trompent dans ce combat contre le Mondialisme Impérialiste. La réalité macabre sur le terrain en Afrique Subsaharienne et ailleurs est souvent pire que ce qu’ils annoncent » dixit Combattant Résistant de l’Ombre. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
UN HORS-SUJET, UNE INFO UTILE DONT CIC N’A PAS (ENCORE !) DAIGNÉ NOUS PARLER : LA CANDIDATURE DE DR MUKWEGEÀ …
Se rapproche-t-on d’une candidature effective de Dr Mukwege à la présidentielle après qu’une foule de Congolais de partout même de la diaspora, composée surtout de femmes s’est rendue chez lui pour lui remettre la caution pour le dépôt de sa candidature, fruit de leurs contributions ?
Le Prix Nobel n’a pas expressément dit ouï mais n’a pas non plus refusé cette caution. « La nuit porte conseil » a-t-il dit.
Les prochaines élections restent un enjeu capital pour le pays sur fond d’opposition entre le pouvoir en place et une poignée d’opposants dont Katumbi qui fait pour le moment une tournée pré-électorale dans l’Ouest, Equateur, Bandundu. Dr Mukwege est-il de trop ou représente-t-il une candidature viable au vu de sa personnalité et de son parcours ? Dans tous les cas il serait mieux qu’il donne sa réponse assez vite…