Wina Lokondo
On change une équipe qui perd. Le football moderne nous en donne l’exemple. L’obligation de résultat positif y est la seule religion : une succession de défaites entraîne inéluctablement la démission de l’entraîneur et le non renouvellement de contrats de plusieurs joueurs dont les performances auront été en dessous de la moyenne durant une saison sportive. Cette éthique de résultat n’est malheureusement pas cultivée en politique en RDC où l’on voit des individus – dont les traces de leurs prouesses gestionnaires sont inconnues, invisibles – être constamment dans la gestion du pays depuis des décennies. S’ils ne reçoivent pas un strapontin ministériel, on les retrouve, dans une sorte de jeu des chaises musicales, comme directeur général, président ou membre du conseil d’administration d’une entreprise publique. Pas étonnant quand, par la particratie qui régente le système politique, ce sont les mêmes « autorités morales », présidents de partis politiques, qui font nommer ou se font nommer. La rotation aux charges publiques reste ainsi intra-partis. Le premier mérite exigé aux aspirants à divers postes est la fidélité à ces derniers. La compétence venant en second comme critère de choix pour leur nomination.
Pourtant, c’est du savoir et du savoir-faire dont le pays a aujourd’hui grandement besoin, tout y allant mal, partout. Chacun le constate autour de lui, au quotidien. Le Congo est en régression dans quasi tous les domaines essentiels de la vie du pays. Les deux gouvernements qui se sont succédé sous l’ère Félix Tshisekedi auront perdu le contrôle de l’économie – l’inflation et l’état des routes en sont les tristes et visibles preuves – et la gestion de l’environnement sanitaire, particulièrement à Kinshasa. Ici, le boulevard du 30 juin en est le patent exemple, lui qui a été, de tous les temps, l’emblème de la beauté routière de la capitale, mais qui est devenu un long dépotoir d’immondices malodorantes. Impossible au président de la République, au Premier ministre et au gouverneur de la ville de le constater, de humer ces mauvaises senteurs, eux qui traversent toujours la ville en vitesse grand V, dans leurs 4×4 aux intérieurs climatisés et…parfumés, aux vitres remontées et teintées, oreilles et yeux collés à leurs portables. Ils n’ont donc pas à croiser les regards de leurs paumés concitoyens, ni de suffoquer aux températures caniculaires, effets du réchauffement climatique planétaire, ni ainsi de palper les réalités du pays.
La plupart des dirigeants du pays résident dans la commune de Gombe d’où ils ne sortent que rarement, sinon pour une importante et incontournable obligation, légale ou morale, à laquelle ils doivent répondre dans un autre quartier. Ils semblent ainsi ne pas connaître les réalités de ce que l’on appelait du temps de la colonisation « cité indigène ». Ils ne savent apparemment pas – sinon ils s’en préoccuperaient et se seraient activés à les arranger – que l’avenue Kabambare (qui relie les communes de Kinshasa et de Barumbu – voisines de Gombe -, partant du rond-point Huileries jusqu’à l’avenue Flambeau) n’est quasiment plus praticable. Que les avenues Kasaï, Croix-Rouge, Itaga, Kabinda, Nyangwe, Kalembelembe sont dans le même état de fort délabrement – les petites avenues secondaires aussi. Pareillement la majorité des rues et de principales artères des 24 communes de Kinshasa. La situation étant restée longtemps à l’état, les yeux et les nez des Kinois se sont accoutumés aux paysages laids de la capitale, à l’insalubrité, aux mauvaises odeurs.
À cet environnement pas attrayant s’ajoute l’insécurité qui « métastase », qui se généralise dans ce corps malade qu’est aujourd’hui le Congo. Incapable d’imposer l’autorité de l’État, le gouvernement – autrement dit Félix Tshisekedi – se résout à amadouer les chefs coutumiers, pourtant fauteurs de troubles à travers le pays, notamment au Mayi-Ndombe. Le pouvoir a ainsi étalé son impuissance à mettre au pas tous les délinquants, par la force de la loi.
La reprise en main de la totalité du territoire national et des institutions du pays – par une gestion rationnelle et efficiente de celles-ci – s’impose urgemment à Félix Tshisekedi. Il y va de la réussite de son second mandat, le premier n’ayant globalement pas donné des résultats significatifs. Ses différents programmes ont été une succession de fiascos, et le plus emblématique, celui dit de « Cent jours », une bérézina: sauts de mouton mal construits, maisons préfabriquées pour policiers et militaires introuvables, du moins inhabitées à ce jour, détournements – en millions de dollars – des fonds, etc. La précarité du quotidien des Congolais qui s’accentue et l’incapacité jusque-là de récupérer les parties du pays prises par les rebelles ont fini par assombrir le tableau des cinq premières années de « Fatshi ».
Le choix d’une femme comme Première ministre serait-il une volonté d’agir différemment, de donner un nouveau souffle à sa gouvernance? La composition du prochain gouvernement en donnera une indication. Félix Tshisekedi fera-t-il du neuf avec des « vieux » gestionnaires qui ont failli? Va-t-il reprendre les mêmes individus au nom de leur « popularité » personnelle, de leur mobilisation pour sa candidature en décembre dernier ou du nombre de députés qu’ils devront apporter en soutien parlementaire au gouvernement, et ce malgré leur inefficacité managériale passée ou leur image négative auprès de l’opinion? Il pourra sortir de ce carcan de son « Union sacrée » en se donnant du sang neuf à prendre dans la société civile, la vraie, où des compétences avérées sont légion. Il pourra par exemple y trouver une personnalité qui en connaît un rayon en finances publiques – et qui a de la poigne – à qui il pourra confier le ministère des Finances. Ce dernier, non encarté d’un parti politique, jouirait ainsi d’une indépendance vis-à-vis de diverses « autorités morales » de la nébuleuse Union sacrée et dès lors d’une marge de manœuvre dans la gestion de l’argent de l’État. Recommencer avec les mêmes ou se donner une nouvelle peau avec de nouveaux visages et compétences, tels sont les choix qui se présentent au fils d’Étienne Tshisekedi qui a rêvé, de son vivant et durant tout son combat d’opposant, d’un autre Congo, prospère et démocratique.
Wina Lokondo
@Nkana Lokondo,
Le fils d’Etienne Tshisekedi et les siens s’en fichent du rêve d’un autre Congo, prospère et démocratique.
Leur vrai rêve, c’est sont les millions qui s’entassent sous leurs matelas. Ils ne sont là que pour ça. Et pour ça, ils ont réussi à créer un zoo politique dans lequel les animaux ont mis de côté toute éthique…animale. Ils sont prêts à tout pour se retrouver parmi les invités à la mangeoire nationale.
Ils se partagent des postes entre parents et amis. Le comble du ridicule et de la médiocrité, c’est que même pour une visite officielle dans un pays Normal où les gens mangent trois fois par jour, ils s’arrangent ( payés par le trésor public) à faire profiter leurs enfants, ceux de leurs épouses. Visiter le Palais de l’Elysée, par exemple, c’est tellement classe, un selfie sur sa page FB ou Insta is so chic !
Le seul objectif du gouvernement à venir, de l’assemblée de Kamerhe, du sénat de Kabuya ou d’un autre guignol Y, sera celui de reformer la constitution pour passer au mode du suffrage présidentiel par les grands électeurs. Il n’y a que ça qui compte. Le reste importe peu. Tout le reste n’est qu’accessoire.
Regardez-les, observez bien leurs comportements et agissements, vous me donnerez raison.
Mon grand questionnement est toujours de savoir pourquoi – à l’aune de l’enfer social crée par ces médiocres et détourneurs de millions – ce peuple ne se révolte-t-il pas ?
Finalement, je crois que c’est Marcel Proust (Extrait du livre Du Côté de chez Swann, Grasset, 1913) est ici éclairante : « Les faits ne pénètrent pas dans le monde où vivent nos croyances, ils n’ont pas fait naître celles-ci, ils ne les détruisent pas ; ils peuvent leur infliger les plus constants démentis sans les affaiblir, et une avalanche de malheurs ou de maladies se succédant sans interruption dans une famille, ne la fera pas douter de la bonté de son Dieu ou du talent de son médecin. »
INDIGNEZ-VOUS ! INDIGNEZ-VOUS ! INDIGNEZ-VOUS !
‘Le fils d’Etienne Tshisekedi et les siens’! Decidement au PICT vous aimez la discrimination. Pauvre de moi! je croyais qu’en tant que congolais, nous sommes tous le ‘siens’. Je ne vous demanderai meme pas qui sont les ‘siens’ Le President-Fecondateur du PICT les a deja cible. Inutile de le rappeler, surtout en ce moment ou nous avons tous besoir de cohesion nationale pour faire face au vrai ennemi de la RDC!
INDIGNEZ-VOUS! INDIGNEZ-VOUS! INDIGNEZ-VOUS! Mais Neko Jo Bongos, nous ne faisons que nous indigner sur ce site! Ou trouvez-vous autre chose que l’indignation? Avec tout le respect que je vous dois, je vous rappler que s’indigner n’est pas un verbe d’action. Nous n’allons pas chasser le Rwanda de notre territoire avec notre indignation! Nous risquons meme de ne pas y arriver si nous nous mettons ‘Tshilombo et les siens’ d’un cote et les autres de l’autre! RDC d’abord! Tout le reste apres! Salut!
@Ndeko BINSONJI E MADILU,
Vous le savez et j’en suis convaincu que c’est bien le fils d’Etienne Tshisekedi et les siens ( siens ici = ceux qui l’entourent et l’accompagnent dans sa croisière festive au Congo) qui détruisent ce pays.
Mon appel à l’indignation est destiné au peuple pour se débarrasser de cette mafia fabriquée par kabila, ces MIYIBI, ces détourneurs de fonds publics qui privent nos militaires de moyens pour se battre contre les fils de »Yo nani oboya Kagame »; qui privent notre pays d’avoir des politiques publiques en faveur de nos populations shégueisées et jetées dans un enfer social inacceptable.
On ne chassera jamais le Rwanda avec cette équipe au pouvoir. Jamais !
Savez-vous pourquoi ? C’est parce que Yo nani oboya Kagame ?
Cher Wina,
Tres bien dit. Votre plaidoyer en faveur de notre pays et peuple en regression alarmante depuis 2019 n’interessera pas le gros jouisseur insouciant au sommet, et pas plus que les sermons tranchants du brave Cardinal Ambongo. Au lieu de l’ecouter, le regime neo-MPR Tshilejelu s’est mis a harceler le Cardinal. Entretemps, 5 mois apres sa (pretendue) re-election en Decembre, pas de Gouvernement ni Parlement serieux. Car tous attendent les signaux de Felix-l’Irresponsable. Lui qui continue avec son entourage des memes copains frappeurs-voleurs au sommet (voir son entourage budgetivore de 150 a Paris avec son pote-voleur Kamerhe en vedette) se moquant de la misere des Congolais a Kin, et pire en Provinces que Felix ose a peine visiter. Bref, rien que repetition des memes erreurs de son 1er mandat: frappes, jouissance, voyages inutiles, et discours d’un faineant pleurnichard irresponsable.
Avec cette particratie dominante, il faut s’attendre à la remise sur scène des différentes autorités dites morales ou de leurs affidés. Or chez nous, lorsque vous êtes promus ministres ou autres grâce à la bienveillance de l’autorité morale, vous devenez quasi sa proie qu’il neige ou qu’il vente. Personnellement, je n’attends rien de ce second mandat. Les défis étant fort immenses, je ne sais pas si les gouvernants s’en rendent compte. Dans l’état où notre pays continue à s’enfoncer, je ne le pense pas.
Toutefois, malgré mon scepticisme, j’accorde néanmoins le bénéfice du doute à madame le 1ère ministre. Plaise à Dieu qu’elle puisse faire le maximum que l’on sorte de cette zone de turbulences sécuritaires, socio-économiques, infrastructurelles, de la mauvaise gouvernance au terme de sa mandature.
CE FOUTU PAYS OCCUPÉ N’A PAS DÉCIDÉMENT DE CHANCE. PASSER DU MINISTÈRE DU PLAN À LA PRIMATURE DU GOUVERNE ET MENT D’OCCUPATION RWANDO-OUGANDAISE TOUT EN ÉTANT MÉDIOCRE, C’EST DE L’INAPTOCRATIE QUI RIME AVEC MÉRITOCRATIE CONFONDUE AVEC LA MÉDIOCRATIE ! La méritocratie selon Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi coaché par RUBERWA et NYAKERU consiste à elever les médiocres et est une marque de HAUTE TRAHISON AVÉRÉE. Tout le monde a déjà zappé les origines floues et nilotiques de cette nouvelle fausse KIMPA VITA. c’est pathétique. Le RDCIEN oublie tout très vite comme la durée d’un péché. Espérer une embelie de bonne gouvernance de la part d’une ministre (sinistre) qui a été nulle, incompetente, improductive, mediocre parmi les plus médiocres que ses pairs [Cfr Nicolas Kazadi wa Nzuzi wa Mbombo, ministre des FINANCES et Vital Kamerhe Lwa Kamoyibi Mwivi, ministre de l’ECONOMIE, pour ne citer qu’eux], c’est encourager [ou prendre part au mal] le mal. Partout ailleurs, le rôle principal ou la mission première du MINISTÈRE du PLAN est de « préparer le BUDGET des DÉPENSES en capital et d’assurer la programmation et le suivi de son exécution ». Le Bureau Fédéral du PLAN en Belgique a plusieurs missions élargies. Le Bureau Fédéral du Plan (BFP) est un organisme indépendant d’intérêt public. Il réalise des études et des prévisions sur des questions de politique économique, sociale, environnementale et leur intégration dans une perspective de développement durable. En RDC occupée, la mission du MINISTÈRE du Plan a été modifiée ces dernieres annees de calvaire et se résume en ceci « Le ministre du Plan est responsable de la planification et de la programmation de la politique de développement économique et social du pays », vu la DÉBÂCLE SOCIO-ÉCONOMIQUE qui prévaut en RDC occupée actuellement, sa ministre (sinistre) de tutelle aujourd’hui promue 1ère ministre malgré un échec cuisant au ministère du plan ne peut jamais exceller à la primature, c’est clair et net, c’est l’effet papillon. La gestion des dépenses publiques est comme celle de la comptabilité très rationnelle et rigoureuse, une science précise et chiffrée tenue en PARTIE DOUBLE (ACTF ET PASSIF, PRODUITS ET CHARGES)… REGLES ESG (ENVIRONMENT, SOCIAL AND GOVERNANCE) OU ENVIRONNEMENTAL, SOCIAL ET GOUVERNANCE EN RDC OCCUPÉE ! C’est le seul critère (ESG) que nous (Combattant Résistant de l’Ombre) pouvons humblement exiger pour évaluer ses ministres bras cassés pieds nickelés à l’intelligence d’un cendrier vide qui vont travailler avec l’ignare Tshilombo-Pétain et sa 1ère ministre de pacotille. En Occident, le CSR (Corporate Social Responsibility) ou Corporate Finance exige aujourd’hui par le CRITÈRE « ESG » une BONNE GOUVERNANCE des institutions et entreprises concernant les contrôleurs légaux et les cabinets d’audit chargés d’effectuer le contrôle légal des comptes des entités d’intérêt public. Cela illustre la complexité (croissante) de la réglementation en matière d’ESG (ENVIRONNEMENTAL, SOCIAL ET GOUVERNANCE) ou
Environmental, Social and Governance. Sachant pertinemment que c’est impossible dans un pays occupé tel que la RDC occupée par les NILOTIQUES ENVAHISSEURS BANYARWANDA PARRAINS de FATSHI BIDON EN CARTON d’atteindre le SEUIL du CRITÈRE ESG (ENVIRONMENT SOCIAL AND GOVERNANCE), il est de bon aloi de ne pas croire en l’impossible car le MINDSET des dirigeants politiques en RDC occupée est totalement englué dans la CORRUPTION ACTIVE et PASSIVE (18è Règle du Plan Satano-occulto-nécromancienn de l’Empire T****)… LES JEUNES KONGOLAIS NE SONT-ILS PAS AUSSI INTELLIGENTS ET COMPÉTENTS QUE LES VIEUX MINISTRES ET DIRIGEANTS POLITICHIENS CORROMPUS MEDIOCRES QUI SE PARTAGENT LE GÂTEAU SUR LA TABLE DE MANGEOIRE LEUR DRESSÉE PAR L’EMPIRE HIMA T**** ! Le rajeunissement de l’equipe gouvernantale s’impose mais là aussi il serait impérieux d’imposer le critère ESG (Environmental, Social and Governance) aux jeunes nouveaux venus qui pourront accéder à la mangeoire pour piocher et béqueter les miettes tombées de la Table de MANGEOIRE. Bref le CRITÈRE ESG est le SUMMUN de L’ÉVALUATION d’un GOUVERNEMENT ou d’une ENTREPRISE. Autre chose pour conclure est la RÉINDUSTRIALISATION EN ÉCONOMIE OUVERTE, les prévisions économico-financières de l’ECONOMIE MONDIALE 2024 tablent sur la TRANSITION ÉCOLOGIQUE (INDUSTRIE VERTE) car les bulles immobilières ont sapé l’INDUSTRIE durant les dernières décennies du MONDIALISME. Désormais, il faut réindustrialiser mais en tenant compte du GREEN DEAL [IRA « INFLATION REDUCTION ACT » aux USA] en Europe. Pour la RDC occupée, l’industrie étant inexistante. L’industrie verte est une utopie dans univers dystopique, il est inutile d’esperer une RÉINDUSTRIALISATION à l’aveugle. Le PEUPLE KONGOLAIS aspire aussi quand même à posséder une BANQUE DE L’INDUSTRIE [pour développer ce secteur vivier des emplois durables que les multinationales mercantilistes bradent] comme jadis en FRANCE ainsi qu’une BANQUE AGRICOLE pour booster le développement de l’Agriculture. À l’impossible nul n’est tenu, ne possédant aucune banque commerciale, ça serait plus qu’impossible d’atteindre ses 2 objectifs ainsi que le seuil du CRITÈRE ESG. INDIRA GANDHI dit « Vous soutenez un cruel système de manière efficace en obéissant à ses ordres et décrets. Un système si inhumain ne mérite jamais une telle allégeance. L’allégeance à cela signifie prendre part au mal. Une bonne personne résistera à un système maléfique avec toute son âme ». VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
Cher Lokondo,
Vous vous demandez a raison si avec le gouvernement Judith Suminwa Tuluka on ne va pas reprendre les mêmes qui ont échoué ?
Vous faites en effet le constat :
– qu’au Congo y’a pas encore d’éthique de résultat en politique, des médiocres qui ont lamentablement échoué sont reconduits d’une façon ou d’une autre…
– nos dirigeants
ne semblent pas connaître les réalités ‘indigènes’ du pays enfermés dans leur microcosme chloroformé…
– le pouvoir actuel a étalé son impuissance avec un premier mandat sans résultats significatifs, il y’a régression dans quasi tous les domaines essentiels de la vie du pays
– le
choix d’une femme comme PM par notre PR témoignerait-il de sa volonté d’agir différemment, et on le verrait déjà dans la composition de son gouvernement… mais
Comme vous le suggérez vous-même, il faudra une bonne dose d’indépendance de la part notre nouvelle PM pour prétendre à un changement de cap. En a-t-elle fait preuve jusque-là ? Pas vraiment et le temps passe la corruption et la mauvaise gouvernance en général continuent et s’agravent, un travail du gouvernement encore plus difficile. Que lui conseillez-vous de faire en détail ?
A remarquer aussi que le jouisseur-voyageur faineant au sommet est en Europe avec sa suite de 150 copains et copines qu’il trimbale de Bruxelles a Berlin, et a Paris. Ces voyages inutiles budgetivores ne servent qu’a permettre a ce gros faineant de pleurincher aupres des memes Occidentaux qu’il diabolise. Cela tandis que la situation securitaire a l’Est s’aggrave avec prise des villes strategiques par les M-23, et que le marasme social en Provinces (que Felix n’ose pas visiter) est catastrophique. Cerise sur gateau, ses pions frappeurs inclu les Kazadi et les Kabuya detournent et volent en toute impunite alors que la pseudo-Justice n’a d’autre priorite que d’harceler le tres brave Combattant du Peuple, Cardinal Ambongo, pour plaire a Felix et sa bande des frappeurs.
Cher Monsieur WINA,
La conquête du pouvoir diffère de l’exercice du même pouvoir ainsi que du commentaire à émettre sur les résultats pertinents atteints à l’issue d’une mandature.
Concrètement, dans la perspective de votre article, nous sommes tous embarqués du coté d’acteurs émettant des commentaires , avis et considérations portant gouvernance socio-politique et économique du pays de nos ancêtres .
A cet effet, la critique ne peut qu’être aisée par contre l’art de cette gouvernance publique devrait s’avérer délicat de par la complexité d’une conquête de pouvoir ayant impliqué des alliances pouvant se transformer en goulots d’étranglement d’exercice du même pouvoir.
Il faudrait donc à ce titre plus d’ingénieries en termes de créativité et de flexibilité en ce qui concerne les enjeux socio-politiques et économiques de l’heure.
C’est le cas du pouvoir au Congo si bien qu’il y a lieu de se demander à quel moment historique le pouvoir institutionnel congolais a su (ou pu) contrôler l’économie du pays?
Est-ce durant la période de gouvernance de KASA-VUBU marquée par des guerres civiles à répétition concoctées comme aujourd’hui par la même communauté internationale?
Est-ce la gouvernance « d’éléphants blancs » sous MOBUTU avec les influences d’acteurs d’origine rwandaise » comme BISENGIMANA et RWAKABUBA?
Est-ce la période historique de la rigueur sous Léon KENGO Wa DONDO à la base d’un endettement de + de 5 milliards de dollars? N’oublions pas que le présent est toujours corrélé à notre passé par contre le présent au travers des actes posés au quotidien est porteur de l’avenir.
En mon sens , je puis dire qu’un début de contrôle de l’économie se situe aux années du ministre des Finances MATUNGULU FREDDY.(2001-2002).
Présentement, me fiant aux audits et satisfécits répétés des programmes du Fonds monétaire sous la première gouvernance de Felix TSHISEKEDI et en dépit du contexte international délicat, les résultats macro-économiques se révèlent satisfaisants mais mitigés dans la dimension méso-économique par le fait de la faible transmission des incidences macro-économiques en faveur des secteurs pro-pauvres par le biais des investissements croissants dans les secteurs de l’éducation et la santé (gratuité continue), la sécurité extérieure (guerre à l’est du pays),sécurité intérieure(police et services des renseignements), justice(Cours et Tribunaux), structures de contrôle (Cour des comptes, IGF et C.P.C.C au niveau de publication des centrales des bilans de toutes les organisations et entreprises œuvrant au Congo) ainsi que les infrastructures des liaisons urbaines et rurales.
De ce qui précède , je ne peux que souhaiter pleins succès à Madame SUMINWA TULUKA JUDITH.
« IL NE FAUT PAS COMPTER SUR CEUX QUI ONT CRÉÉ LES PROBLÈMES POUR LES RÉSOUDRE. » DIXIT ALBERT EINSTEIN ! Des TALIBANS pseudo intellectuels de pacotille et de bac à sable qui pleurnichent sur CIC continuent de croire ou de faire croire que Tshilombo-Pétain peut résoudre les problèmes qu’il a créés lui-même comme un grand con(nard). Feu Honoré Ngbanda Ko Atumba disait qu’on doit le plaquer au sol, c-à-d le mettre àcôté, lui et les siens sinon notre Grand et Beau PaysKONGO-ZAÏRE sera rayé de la carte du monde. Décidément parler ou écrire en Français, ce n’est pas un signe prédictif de l’INTELLIGENCE (science interdite ou connaissance divine). Ce que nous (RÉSISTANCE KONGOLAISE DE LA DIASPORA) déplorons en RDC occupée, l’élite intellectuelle visible et en majorité
Kasaïenne patauge dans la même boue (gadoue) que la populace RDCIENNE (surtout fanatiques aveugke de la 10ème rue LIMETE-PÉTUNIAS) sous informée, mal informée et déconnectée des NTIC (Nouvelles Technologies d’inInformation et de Communication) et réalités (enjeux) géostratégiques et géopolitiques. Certains (intellectuels proches du pouvoir protocolaire de la Tshilombie et Kanambie) défendent même CORNEILLE NAANGA pour accéder à la MANGEOIRE leur dressée par les Occupants Nilotiques BANYARWANDA, c’est déplorable, triste et indécent. La 1ère ministre actuelle incompetente et nulle aux origines douteuses qui est mieux outillée du point de vue académique que Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi fait partie du PROBLÈME d’Occupation étrangère RWANDO-OUGANDAISE, croire qu’elle peut résoudre les nombreux problèmes politico-socio-économico-militaro-sécuritaires qui prévalennt en RDC occupée, c’est prendre ses vessies pour des lanternes… RAPPORT MAPPING, L’EXTRA-TERRITORIALITÉ & HYPOCRISIE DES USA QUI CONDAMNENT LE RWANDA DE PAUL KAGAMEEN EN SE MOQUANT DE LA RDC OCCUPÉE ! WASHINGTON manipule KINSHASA LA POUBELLE, malgré les dénégations de Paul Kagame leur allié politique de longue date dans la RÉGION des Grands-Lacs Africains, les États-Unis ont maintenu ce lundi 06 Mai 2024 leurs accusations farfelues selon lesquelles le Rwanda est à l’origine d’un bombardement meurtrier Vendredi sur un camp de déplacés à Goma dans l’Est de la RDC occupée, et exigent que les responsables soient traduits en justice. C’est de la rigolade, de la foutaise, de la poudre de perlimpinpin. Les USA sont des partenaires militaires du Rwanda depuis 1994. L’HYPOCRISIE Satano-occulto-nécromancienne des Yankees qui ont en leur possession le RAPPORT MAPPING (1993-2003) du machin ONU prouve que l’Administration de Biden PRO KAGAME manipule les KONGOLAIS, ceci dit les États n’ont pas d’amis, seulement des intérêts pour paraphraser Général De Gaulle […]. Les USA qui usent l’extra-territorialité juridique pour préserver leurs intérêts partout dans le monde ne peuvent pas y déroger à la règle diplomatique du bâton et de la carotte en manipulant les PAUVRES RDCIENS alors que les criminels des M23 RWANDO-OUGANDAIS sont soutenus par le pays de l’Oncle SAM… IL N’Y A PAS DE GUERRE AU KIVU, C’EST UNE INSÉCURITÉ DIABOLIQUE LATENTE ORGANISÉE PAR LE RWANDA, L’OUGANDA ET LA COMMUNAUTÉ IMPÉRIALISTE DITE INTERNATIONALE EN COMPLICITÉ AVEC L’ACTUELLE CLASSE POLITIQUE KONGOLAISE POURRIR, MÉDIOCRE, INCONSCIENTE CONGÉNITALE ! Les criminels Rwando-Ougandais sont dans les FARFC (FORCES ARMÉES RWANDAISES DISSÉMINÉES-DÉPLOYÉES AU CONGO-KINSHASA) dixit GÉNÉRAL MAHELE, comment voulez-vous résoudre les problèmes d’insécurité à l’Est du KONGO-ZAÏRE avec une Armée pseudo RÉPUBLICAINE commandée par des Officiers étrangers Nilotiques RWANDO-OUGANDAIS sans fermer les frontières communes avec le Rwanda et l’Ouganda de l’EAC « East African Community » ? C’est aberrant. Pour finir, la déclaration récente de FATSHI BIDON EN CARTON à Paris où il a été humiliée par la Représentante de Paul KAGAME sur le perron de l’Élysée, une déclaration hypocrite qui copie celle de LUMUMBA prouve RUSSE prouve que le fils maudit de Marthe Kasalu et Étienne Tshisekedi est un GRAND TRAÎTRE recruté par les services secrets Occidentaux (CIA, M16, MOSSAD, DGSE…) pour deconstruire notre NATION KONGOLAISE. Nous le citons « La Russie et la Chine en Afrique se comportent mieux que les Occidentaux ». Ce sont des PAROLES EN L’AIR DU DOUBLE JEU (DOUBLE FACE, DOUBLE LANGAGE). Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE n’a pas des leçons à donner aux Occidentaux qui l’ont adoubé malgré ses insuffisances intellectuellespour piller notre Grand & Beau Pays KONGO-ZAÏRE. En RDC occupée, ce petit président joufflu, ventru, fessu qui est un TRAÎTRE foire et n’a pas d’IMPERIUM (Effectivité du POUVOIR). UNE VÉRITÉ DITE PAR UN MENTEUR NE VAUT ABSOLUMENT RIEN. Le Grand PATRIOTE Patrice-Émery Lumumba a été assassiné pour avoir dit et fait la même chose mais cet aventurier de Tshilombo-PÉTAIN sait que ses déclarations ne lui coûteront rien car l’Occident le manipulent et pillent en RDC occupée. C’est de l’ESCARMOUCHE BIS REPETITA. « Un problème sans solution est un problème mal posé » dixit Albert Einstein. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA