On nous écrit à propos de l’article « Africa Raft -Dieuleveult »

Sous le titre: « Africa Raft: Qu’est ce qui fait courir la famille de Philippe de Dieuleveult« , nous avions relevé la motivation pour le moins pécuniaire qui se cache derrière de thèse de « l’assassinat » soutenue mordicus notamment par Alexis de Dieuleveult, neveu du célèbre animateur de l’émission « La chasse au trésor ». A Kinshasa autant qu’à Paris, la thèse officielle est inchangée: la « noyade » serait la cause de la disparition de sept membres de l’expédition « Africa Raft » sur neuf. Conscients du danger, les deux autres, en l’occurrence Jean-Louis Amblard et docteur François Laurenceau, étaient restés sur l’île aux hippopotames. Notre journal avait relevé également que « Philippe » n’était pas un inconnu au Zaïre de Mobutu. Et ce pour avoir réalisé en juin 1984 une de ses émissions. C’était dans la même province du Bas-Zaïre. Par ailleurs, la DGSE (Direction générale de sécurité extérieure) à laquelle aurait appartenu Dieuleveult, en qualité de réserviste, n’a jamais été considérée au Zaïre comme un « service ennemi ». Bien au contraire. Trente-sept années après, la famille Dieuleveult continue « à préférer » la thèse d’ « assassinat » à celle de « noyade ». Et si cette exigence émanait d’un cabinet d’assurance?
B.A.W.

lun. 12 déc.

Texto:

Les journalistes de Paris Match étaient réellement morts par noyade vers la chute d’Isangila dans le Kongo Central.

Ils avaient passé leur dernière nuit a la rive gauche du fleuve Congo vers le village de Nsenge dans le territoire de Songololo. D’autres villages proches du lieu où ils avaient passé la dernière nuit sont Ntandu-a-Nzadi, Ndembolo, Tenta et Vunda.

Ils étaient arrivé sur le lieu vers 18 heures et moi et mes oncles étions stationnées à quelque 3 Km du lieu mais nous leurs avions vu d’une distance d’environ 200 mètres vers 18 heures quand nous rentrions au Nganda. Moi je suis en Grande Bretagne mais l’un de mes oncles avec qui nous étions se trouve bel et bien a Kinshasa.

Le problème était qu’ils n’avaient pas écouté le conseil des pêcheurs avec qui ils avaient partagé leur dernière nuit. Les pêcheurs leur avaient dit de ne pas naviguer trop loin des rives dans leur descente car la chute d’Isangila n’était pas très loin compte tenue qu’ils étaient dans une embarcation motorisée.

Ils avaient quitté vers 6 heures du matin et vers 11 heures nous avions eu la mauvaise nouvelle par Radio Matadi.

Les pêcheurs leur avaient conseillé de ne pas naviguer trop loin de la rive gauche ou droite. Je ne me rappelle plus bien et vers 9 heures ils devaient déjà atteindre la zone dangereuse alors ils devaient démonter leur embarcation pour passe la zone dangereuse a pied puis reprendre la voie fluviale après les chutes. Mais hélas, ils étaient toujours au milieu du fleuve alors ils s’étaient retrouvés en face des chutes dangereuses qui n’épargnent rien qui passe par là. Et voilà!

Merci

Sam Yenge | sam.yenge@gmail.com

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