Gaston Mutamba Lukusa
Le 16 février, la Banque africaine de développement (BAD) a publié son rapport intitulé « Performances et perspectives macroéconomiques de l’Afrique – Janvier 2024 ». Suivant le rapport, l’Afrique n’est pas épargnée par l’essoufflement de la reprise de l’économie mondiale. La hausse des coûts de la vie, le ralentissement de la croissance des pays industrialisés, les changements climatiques, les pandémies ainsi que les tensions géopolitiques et géostratégiques entravent son développement socio-économique. Le taux de croissance du PIB (produit intérieur brut) du continent est estimé à 3,2% en 2023 contre 4,1% en 2022. L’Afrique pourrait enregistrer en 2024 un taux de croissance de 3,8% qui pourrait se consolider à 4,2% en 2025.
Le continent est cependant la région qui connait la croissance la plus rapide après l’Asie. En 2023, il y a eu 15 pays africains qui ont connu des taux de croissance supérieurs à 5% dont la RD Congo. La BAD estime que le taux de croissance en RD Congo sera de 4,7% en 2024, et se consolidera à 5,7% en 2025 contre 6,2% en 2023. Selon M. Akinwumi Adesina, président de la BAD, « les prévisions de croissance de l’Afrique reflètent les efforts des pays pour diversifier leurs économies et pour mettre en œuvre des politiques nationales qui inversent l’augmentation du coût de la vie et stimulent la consommation privée. Toutefois, les risques mondiaux et des poches de déséquilibres intérieurs posent des problèmes. Les tensions géopolitiques pourraient perturber les chaînes d’approvisionnement et relancer la hausse des prix des produits de base. Les pressions inflationnistes en Afrique restent profondément enracinées et ont réduit le pouvoir d’achat des populations avec une incidence négative sur leurs moyens de subsistance ».
Selon les Perspectives de l’économie mondiale du Fonds monétaire international (FMI) de janvier 2024, la croissance économique mondiale devrait être de 3,1% en 2024 et de 3,2% en 2025 en raison d’une résilience plus forte que prévu aux Etats-Unis d’Amérique et dans des pays émergents. Suivant la Banque centrale du Congo, la croissance du PIB dans le pays sera de 4,8% (4,7% suivant la BAD) en 2024 contre 8,6% en 2023 (6,2% selon la BAD), soit un recul de 3,8%. Cette croissance demeure tirée par le secteur primaire dans sa sous-branche, « Industrie extractive ». L’industrie minière reste le moteur de la croissance économique dans un contexte marqué par la chute des prix du cobalt.
Quant au secteur non extractif, il ne connait guère d’évolution remarquable. Il s’agit des sous-branches « Bâtiment et travaux publics », « Transports et télécommunication », « Commerce et industries manufacturières » et « Agriculture ». C’est pourtant la croissance de ces sous-branches qui peuvent apporter le changement, la prospérité et la création des emplois. Les investissements dans ces sous-branches sont conditionnés par l’amélioration du climat des affaires et par une bonne gouvernance.
Il en est de même de la sécurité juridique et judiciaire ainsi que de la stabilisation du taux de change et de la fin des conflits. Le seul signe palpable est le développement à Kinshasa, dans la commune de la Gombe, de l’immobilier de luxe dans un océan de misères. C’est le cas des complexes résidentiels La Promenade, Panoramique, Le Mirage, Congo rêves, Galerie la Fontaine, Centre financier de Kinshasa ainsi que des hôtels Novotel et Hilton Kinshasa. Autant de constructions financées par des hommes d’affaires étrangers (Indiens, Turcs, Libanais, Français, Chinois, Emiratis) et qui n’ont pas un effet d’entraînement significatif sur l’économie nationale.
Gaston Mutamba Lukusa
L’AFRIQUE N’A BESOIN DE PERSONNE MAIS TOUT LE MONDE ENTIER A BESOIN DE L’AFRIQUE ! ARISTOTE dit « L’Argent ne fait pas de petits « . Économiquement parlant, l’AFRIQUE dans sa configuration actuelle est le continent le plus riche en terme des ressources humaines, sprituelles, minières, énergétiques et naturelles (Eaux, Forêts et Faunes). La Vraie SPIRITUALITÉ de l’AFRIQUE a été méchamment remplacée par les Religions révélées du LIVRE importées par les Colons Impérialistes Occidentaux et Esclavagistes Arabes Musulmans pour casser l’élan du développement MULTISECTORIEL de l’AFRIQUE depuis des siècles. L’Égypte jadis Noire comme tout le Maghreb (Tunisie, Algérie, Maroc et Libye) l’était, a été ARABISÉE exprès pour néantiser la SUPRÉMATIE NOIRE SUBSAHARIENNE sur toute la PLANÈTE TERRE. Aujourd’hui, le rêve des Impérialistes Occidentaux Mondialistes (Communauté Impérialiste dite Internationale) est de remplir l’Afrique Centrale (TERRE MÈRE c-à-d WASE MUTONGA) des Nilotiques Banyarwandas [venus du Tigré
via le Yemen en passant par le Kenya, le Burnett l’Ouganda et le Rwanda] qui sont la Transhumance métissée mi-Arabe Esclavagiste et mi-Blanche Sioniste indo-européene. Bref l’histoire de la Veritable Civilisation Noire Égyptienne de la Descendance Noire de CHAM (BOWINDA), un des fils de NOÉ (WUMSE) avant celle des Pharaons NOIRS est tue, cachée, ignorée, celle de la DYNASTIE PHARAONIQUE NOIRE a été plagiée, blanchisée et Arabisée exprès pour des raisons iniques… RALENTISSEMENT DE LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE SELON LES PERSPECTIVES DE l’ÉCONOMIE MONDIALE DU FONDS MONÉTAIRE INTERNATIONAL (FMI) DE JANVIER 2024 ! En réalité le taux de croissance économique en Afrique est toujours rapide, positif et à 2 chiffres mais comme la superficie géographique du CONTINENT DUVIN (TERRE), les chiffres du taux de croissance sont tronqués et falsifiés. Le FMI et la Banque Mondiale (issus des Accords de BrettonWoods) de triste mémoire, tous les 2 des instruments juridico-politico-économiques supra–nationaux essaient de maintenir l’AFRIQUE en autarcie esclavagiste tout en privilégiant les pôles oligopolistiques et monopolistiques Occidentaux au détriment des populations autochtones qui souffrent le martyre. Figurez-vous que sur une cinquantaine de banques opérationnelles en RDC occupée par les Banyarwandas, aucune n’est Kongolaise, aucun Politichien s’en soucie sérieusement, tous les Collabos Dirigeants politiques actuels ont des comptes bancaires off-shore en Occident et ailleurs, le petit peuple n’épargne rien faute d’emploi durable et du revenu par habitant élevé. Or un pays qui ne détient aucune banque centrale ou commerciale est une COQUILLE VIDE qui a une ÉCONOMIE EXOGÈNE tournée (qui dépend de libre-échange désavantageux) vers l’extérieur. Pire, Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi aka Tshilombo-Pétain ou FATSHI BIDON EN CARTON vient de nommer un certain Charles Mukiza, Nilotique Rwandais [Président de la Communauté Banyamulenge soi-disant des Vrais Kongolais selon le fils maudit d’Étienne Tshisekedi et Marthe Kasalu] à un poste clé de la BANQUE CENTRALE CONGOLAISE… Aristote qui n’etait pas économiste était contre l’Argent(MONNAIE) dit « L’argent ne fait pas de petits » sous-entendu que dans le commerce, il y a le PRÊT À INTÉRÊT qui permet d’obtenir, d’une somme d’argent, une somme supérieure par le simple fait de s’en départir quelques temps. Littéralement, « Il n’est pas juste que l’homme qui prête une somme d’argent réclame de l’emprunteur plus que ce qu’il a prêté ; l’argent n’est pas comme la GÉNISSE, il ne fait pas de PETITS. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA
*le Burundi et CONTINENT DIVIN…
C’est vraiment abstrait pour nous ces fameuses croissances economiques.C’est a croire qu’on reve.Croissance economique de 4,8% dans cet ocean de miseres? Qu’en est il de l’IDH?
Oui, les seules croissances palpables en RDC depuis 2019 sont le ventre et joues du Jouisseur au sommet et de ses copains ainsi que croissance de leurs salaires scandaleux, inclu salaire de faineants depute jusqu’a $30.000 par mois. Cela tandis que nos jeunes soldats au front eux peinent a s’en sortir avec a peine $100 par mois apres detournements par leurs officiers vereux (et l’affairiste JP Bemba), et des millions de Congolais pataugent dans les bourbiers Tshilejelu.
Bonjour GML et bravo pour votre exercice mais que doit retenir le Congolais lambda dans sa case de tous ses chiffres qui les uns en croissance les autres moins bien si son social en berne ne s’y retrouve
pas vraiment ?
L’Afrique (le Congo):n’aurait pas été épargnée par l’essoufflement multifactoriel de la reprise de l’économie mondiale, nous dites-vous mais son taux de croissance ne serait pas tant à plaindre. Mais quoi d’autre au delà de ce charabia ?
Je regrette en effet qu’à travers toute cette savante prose vous ne nous ayez pas fourni clairement les chiffres particuliers qui nous montrent à quel niveau exact nous nous situons et nous allons, des raisons d’espérer que notre avenir s’améliorera (ou le contraire d’ailleurs, on ne sait jamais s).
Tenez, l’article rappelle que notre croissance est soutenue par le secteur extractif minier et donc notre challenge c’est de diversifier notre économie mais j’ai été sensible à l’info qui souligne que le seul signe palpable de notre santé économique serait le développement dans un océan de misères d’un parc immobilier de luxe par ailleurs financé par des étrangers et surtout qui n’aurait pas d’effet d’entraînement significatif sur l’économie nationale. C’est quoi tout ça sinon notre déficit de gouvernance en général et de gouvernance économique. Voilà un fait qui aurait dû bénéficier de votre part d’une analyse plus exhaustive parce que non seulement il demontre toutes nos failles mais c’est un élément qui selon moi, nous parle davantage parce qu’il fait appel à toutes les compromissions qui privent au panier de la ménagère de quoi mieux se porter!
QUE DES FLATTEURS SERVILES (LÈCHE-BOTTES) D’UN PRÉSIDENT PROTOCOLAIRE D’UN PAYS OCCUPÉ SUR CIC. UN PAYS OCCUPÉ AVEC DES DIRIGEANTS POLITIQUES COLLABOS QUI A ABANDONNÉ SA SOUVERAINETÉ MONÉTAIRE EST VOUÉ À UNE PERTE ETERNELLE ! « La Souveraineté est le pouvoir de commander et de contraindre sans être commandé ni contraint » dixit Jean Bodin. Le récent voyage éclair de Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi prèsident protocolaire en Belgique chez le 1er Ministre Alexander De Croo pour inaugurer une nouvelle serie de 250 voyages improductifs à 2,5 millions $ la villégiature (voyage) démontre encore une fois que Tshilombo-Pétain est ultra limité et continuellement tourné vers la médiocrité car il pleurniche toujours et à cause de sa HAUTE TRAHISON Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi est encore dans la réaction enfantine non dans l’action politico-technocrate comme si l’Udps Familiale Limete-Pétunias Sous-Bois était toujours dans l’Opposition destructrice contre le MPR du Maréchal Mobutu. Notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE va vers UN AVENIR INCERTAIN (RUINE TOTALE), les POLITICHIENS RDCIENS actuels toutes tendances confondues sont OBSOLÈTES. Cette OBSOLESCENCE est due à l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE qui détient l’IMPERIUM (Effectivité du Pouvoir). Aucun pays occupé n’a des Dirigeants politiques INTÈGRES et VISIONNAIRES. Tous sont COLLABOS ou OCCUPANTS. La technicité d’exécution budgétaire du point de vue économique exige des compétences pointues pour que notre pays bénéficie d’un AVANTAGE COMPÉTITIF qui exclut les DILEMMES (QUESTION MARKS) et POIDS MORTS (DOGS) selon la MATRICE BCG (BOSTON CONSULTING GROUP) comme on le voit aujourd’hui alors que celui (FATSHI BIDON MOLILI) qui prétend détenir un DIPLÔME en MANAGEMENT n’arrive même pas à faire décoller (MANAGER) le pays pourqu’il connaisse les ÉTOILES (STARS) et VACHES À LAIT (CASH COWS) tant espérées. Le collaborationnisme, la corruption, le mensonge, le vol, la méchanceté, la lâcheté, le lèche-botte, l’aigreur, l’incivisme, l’injustice, les inégalités, le manque de patriotisme criant, la mauvaise foi, le tribalisme Kasaïen font que le pays se dirige tout droit vers son inanition finale. La plus grande perte de souveraineté économique est celle de la MONNNAIE NATIONALE. La dollarisation de l’économie RDCIENNE ne permettra jamais au PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE de jouir totalement des effets leviers de la croissance économique soit-elle à 2 chiffre. Il va falloir une DÉDOLLARISATION complète de l’économie Kongolaise pour espérer ne fut-ce qu’un semblant d’amélioration de la vie sociale en RDC occupée par les Banyarwandas… APRÈS 60 ANS D’INDÉPENDANCE FACTICE, CERTAINS PAYS AFRICAINS COMME
LA RDC OCCUPÉE ONT UNE ÉCONOMIE TOURNÉE UNIQUEMENT VERS L’EXTÉRIEUR ET DEPENDANTE DU FMI ET DE LA BANQUE MONDIALE ! C’est impensable en plein 21è siècle, il y a encore des pays comme la RDC occupée par l’Empire Hima (EAC) qui dépend toujours des programmes de restructurationet de réajustement budgetaire imposés par les IFI (Institutions Financières Internationales) de Bretton Woods pendant que le Mali, le Niger et le Burkina Faso cherchent à se libérer de ce carcan Impérialiste. Pour y arriver, il faut des Dirigeants Politiques courageux et indépendantss qui pratiquent un souverainisme sans faille alors qu’on voit les effets à long terme de la perte de Souveraineté de certains pays Africains comme la RDC occupée par les Banyarwandas, on voit aussi la sempiternelle soumission de nos Dirigeants Politichiens à Washington, Londres, Bruxelles (UE)
et à l’Oligarchie Euro-Atlantiste et surtout la Satano-occulto-nécromancienne sélection (casting) de nos Dirigeants Africains par les Élites Occidentales Mondialistes Globalistes de DAVOS (SUISSE) d’un certain Klaus Schwab (WEF ‘World Economic Forum »)… « Le plus gros abandon de souveraineté, c’est celui de la souveraineté monétaire” dixit Thomas Piketty (Économiste). VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE INSTANTANÉ. A LUTA CONTINUA. VITORIA E CERTA. INGETA