Ces nationalistes qui nous gouvernent 

Mayoyo Bitumba Tipo Tipo

Depuis les élections générales de 2006 qui ont instauré au Congo ce qu’on qualifie abusivement de « démocratie », il s’observe un drôle de phénomène au sein de la classe politique. Quand on est au pouvoir, on bombe le torse en s’autoproclamant nationaliste et on considère les opposants comme un ramassis d’agents de l’étranger. Hier, Joseph Kabila et les sommités de son administration se prenaient pour des nationalistes. Ils présentaient leurs opposants comme des relais de l’impérialisme occidental. « Ata ndele mokili ekobaluka », avait chanté Adu Elenga. Félix Tshisekedi était l’un des opposants de Kabila. Aujourd’hui, il se retrouve au sommet du pouvoir. Kabila et les siens ainsi que les compagnons d’infortune qui traversaient le désert appelée opposition avec Tshisekedi et qui y demeurent deviennent à leur tour des suppôts de l’impérialisme occidental ou carrément des traitres à la nation. Tshisekedi et sa clientèle interne se drapent dans le beau manteau du nationalisme.

Le terme nationalisme a vu le jour en Grande-Bretagne pour aussitôt émigrer en France dans le courant du XIXè siècle. Depuis lors, il a été chargé de quatre significations. La première, péjorative, stigmatise « certaines formes outrancières de patriotisme, devenant alors synonyme de chauvinisme ». Tel est, par exemple, l’état d’esprit des militants de l’extrême droite en Occident. La deuxième signification, positive, désigne « les revendications d’un peuple assujetti aspirant à l’indépendance ». Le Congo-Kinshasa et tous les autres Etats africains l’ont démontré et dépassé sur le plan formel. La troisième est une profession de foi affirmant « la primauté dans l’ordre politique de la défense des valeurs nationales et des intérêts nationaux ». La quatrième renvoie aux « manifestations de la conscience nationale ou du caractère national du pouvoir », opposé à toute hégémonie familiale, clanique, tribale, ethnique, régionale ou corporatiste.

Le fond idéologique du nationalisme peut varier d’un pays à l’autre ou, dans un même pays, d’une époque à l’autre. Mais il se décline partout suivant ces quatre axes: la souveraineté nationale à réclamer, affirmer, défendre ou étendre ; l’unité ou la cohésion de la communauté nationale à défendre ou à renforcer; le passé historique commun à exalter et, enfin, la prétention à l’universalité caressée par tous les dirigeants nationalistes à travers le monde.

Comment cette idéologie se décline-t-elle au Congo-Kinshasa, de l’indépendance à nos jours? Du nationalistePatrice Lumumba, la postérité retiendra surtout l’affront qu’il a infligé au roi des Belges le 30 juin 1960, jour de la proclamation de l’indépendance du pays, et sa volonté farouche d’être le premier ministre d’un Etat véritablement indépendant.

L’indépendance du Congo-Kinshasa, on s’en souvient, fut négociée et non conquise par les armes. Il allait de soi que le chef d’Etat de l’ex-puissance coloniale assiste, sur invitation des autorités congolaises, aux cérémonies marquant l’émancipation du peuple congolais. Deux discours étaient prévus à l’ordre du jour, le 30 juin 1960. « Baudouin 1er, arrivé la veille, rendit hommage à l’œuvre coloniale et invita les nouveaux dirigeants à parfaire l’œuvre accomplie. Président de la République, Joseph Kasa-Vubu manifesta sa reconnaissance à l’égard de l’ancienne métropole » (Ndaywel, E. N., Histoire générale du Congo. De l’héritage ancien à la République Démocratique, Louvain-la-Neuve, Duculot, 1998).

L’ordre protocolaire fut alors bousculé par le premier ministre Lumumba qui, sur le conseil du sujet belge dénommé Jean Van Lierde, « fit le contre bilan de la colonisation, dénonça ses revers, à savoir les injustices, les inégalités, l’exploitation, le mépris » (Ndaywel, E. N., Op cit.). Certes, le discours du roi Baudouin 1er était historiquement incorrect, en évoquant la colonisation sous l’angle mythique ou propagandiste de la mission civilisatrice. Celui du président Kasa-Vubu était non conforme à la Loi Fondamentale, car il n’avait pas daigné en informer le premier ministre. Ces détails, passés inaperçus, n’avaient aucune importance aux yeux de l’opinion publique nationale et internationale. Les deux discours étaient politiquement corrects. On ne pouvait pas en dire autant du troisième. Non seulement il était historiquement injuste, puisque la colonisation ne se résumait pas aux seules humiliations subies par les colonisés « matin, midi et soir », mais surtout éminemment incorrect sur le plan politique et des règles élémentaires de savoir-vivre. Car, quand on assume de si hautes fonctions, on n’arrache pas le droit à la parole quand le protocole ne l’accorde pas. Par ailleurs, même dans la tradition des Tetela, l’ethnie de Lumumba, on n’invite pas un hôte de marque à une fête pour l’humilier en lui crachant tout le mal qu’il aura fait. Ce faux pas contribuera à sonner le glas pour le premier ministre et la nation entière, les impérialistes l’ayant dès lors dans leur ligne de mire. Pour toutes ces raisons, la conduite de Lumumba est ici synonyme d’impétuosité et n’honore nullement son pays.

A la décharge du premier ministre, on pourrait arguer qu’il se voulait l’apôtre de « l’indépendance totale et immédiate ». La politique étant l’art du possible, Lumumba avait-il les moyens d’atteindre son objectif, alors que l’économie, l’armée, l’administration territoriale et les cabinets du président, du premier ministre, des ministres et de tous les autres hauts fonctionnaires de la jeune république étaient entièrement entre les mains des ex-colonisateurs? Quand on accède au pouvoir dans ces conditions-là, n’est-il pas suicidaire d’engager le bras de fer avec l’ex-puissance coloniale? Le pays n’était-il pas victime de l’idéalisme, du radicalisme et de la formation politique insuffisante de son premier ministre, qui, comme le souligne le professeur Ndaywel dans son livre ci-dessus, « en deux mois de gouvernement, avait accumulé une série quasi exceptionnelle d’erreurs politiques », notamment le fait de n’avoir pas mis en place une politique favorable à « l’unité et la cohésion de la communauté nationale »?

Les dirigeants congolais n’avaient pas compris que le 30 juin 1960 n’était pas le jour de l’indépendance de leur pays, mais la date à partir de laquelle ils avaient la possibilité officielle d’œuvrer pour la souveraineté nationale. Celle-ci était un long processus dont la date du 30 juin, aussi mémorable fut-elle, ne constituait qu’une étape et non une fin en soi. En d’autres termes, les Congolais avaient acquis l’indépendance formelle le 30 juin 1960, mais il leur restait de conquérir paisiblement l’indépendance effective. Le nationaliste Lumumba a-t-il mené à bien cette entreprise, qui, dans l’intérêt supérieur de la nation, devait s’étendre sur plusieurs générations?

Sans doute, devons-nous souligner avec clarté et fermeté que notre condamnation de la politique de Lumumba n’implique nullement adhésion ni complaisance à l’égard de son assassinat sur commande occidentale. Car, l’assassinat pour servir les intérêts politiques et économiques de nations étrangères d’un premier ministre démocratiquement élu et désigné constitue un crime contre l’humanité. Un crime imprescriptible qui, dans le cas présent, attend toujours réparation alors même que le pays a toujours été dirigé par des hommes dits nationalistes et souverainistes.

Au nationalistePatrice Lumumba a succédé un autre, le non moins nationalisteMobutu Sese Seko dit « Guide éclairé », arrivé au pouvoir dans les fourgons de l’Oncle Sam. Tout au long de son interminable règne, Mobutu a affirmé et défendu la souveraineté nationale, en dépendant entièrement de l’Occident. Il a exalté l’unité nationale, en menant au sommet de l’Etat une politique clanique, tribale et régionale. Le passé historique commun des Congolais a été revisité et sublimé par la philosophie politique du recours à l’authenticité, pendant que des attributs de celle-ci étaient importés de l’Occident et que cette philosophie salvatrice était corrompue par le « djalelo » ou culte de la personnalité. L’économie du pays a été nationalisée, mais pour permettre au clan Mobutu et à ses nombreux clients internes et maîtres occidentaux de piller l’Etat et de le détruire en fin de compte.

Face aux appétits du dehors, Mobutu a fait semblant d’honorer le devoir d’ingratitude, alors que sa reconnaissance fut totale. Comble d’ironie, les opérateurs économiques occidentaux cherchant leur profit dans le cadre d’une logique de productivité et de rentabilité (ce qui est, après tout, la logique dominante de l’Occident capitaliste) ont mis la clé sous le paillasson les uns après les autres, pour laisser la place aux charognards vivant dans une logique purement minière, spéculative et parasitaire, accompagnant ainsi les Congolais dans leur descente aux enfers.

Le 17 mai 1997, un troisième nationalisteétait officiellement né sous le ciel congolais: le « Libérateur » Laurent-Désiré Kabila, porté au pouvoir par des armées étrangères. Celui-ci disposait d’un capital de sympathie important, surtout grâce à la manière dont les Yankees, suivant une tradition du Far West bien cultivée, ont prématurément et diamétralement opposé sa personne à celle du prédateur Mobutu. Kabila avait-il tiré les leçons qui découlaient du nationalisme aux effets perversde ses prédécesseurs? Rien n’est moins sûr!

Sur le plan intérieur, Kabila a mené une véritable politique de désunion nationale aux antipodes de l’idéologie nationaliste, avec la montée en puissance des Tutsi et des Katangais. Volontiers triomphateur et préférant vaincre plutôt que de convaincre ses administrés, il a refusé tout dialogue et s’est lancé dans un exercice arbitraire et autoritaire du pouvoir. Fort de son statut de tombeur (visible) de l’inamovible Mobutu, il s’est investi du monopole idéologique. Son nationalisme s’est exprimé uniquement sur le plan externe. En refusant de se plier aux injonctions occidentales, en montrant qu’il ne se laisserait rien imposer de l’extérieur, le « tombeur » de Mobutu a réellement voulu défendre la souveraineté nationale. Il a tenu à affirmer « la primauté de la défense des valeurs nationales et des intérêts nationaux dans l’ordre politique ». Avait-il les moyens de mener à terme un tel combat? En outre, quand on connaît sa politique sur le plan interne, n’est-on pas en droit de se demander si les intérêts nationaux ne sont pas ici synonymes d’intérêts particuliers, comme du temps de Mobutu?

L’indépendance effectiveest certes une idée fort séduisante. Mais un pays totalement sinistré peut-il la mettre en œuvre, surtout à l’heure de la mondialisation comprise non pas dans son idéal, c’est-à-dire l’ouverture généralisée des peuples aux autres peuples et des nations aux autres nations, mais dans sa réalité foncièrement antihumaniste, c’est-à-dire l’ultracapitalisme devenu un outil d’uniformisation, de domination et d’aliénation? Kabila avait lui-même répondu à cette question à l’issue du défilé militaire célébrant le premier anniversaire de son pouvoir, le 17 mai 1998: « Nous avons demandé aux grands de ce monde de mettre en place un plan Marshall pour notre pays. Au lieu de cela, ils nous posent des conditions sur le respect des droits de l’homme » (Le Figaro, 18 mai 1998).

Dans son entreprise de mystification du régime Kabila, mission qu’il avait accomplie avec succès auprès de Mobutu, Sakombi Inongo a eu le mérite de souligner, malgré lui, que l’éveil de la nation congolaise passe par un partenariat avec l’extérieur: « De récentes découvertes effectuées grâce aux satellites ont démontré et mis en lumière l’existence de fabuleuses richesses insoupçonnées. Il revient aux Congolais de les mettre en valeur et d’en profiter en premier lieu. Si tel n’est pas le cas, tout risque de nous être enlevé ».

Les propos de Kabila et de son conseiller en communication, qui avait retrouvé son poste favori du temps du mobutisme triomphant (le ministère de l’Information), laissent entendre que pour connaître et mettre en valeur les fabuleuses richesses de leur sous-sol, les Congolais, qu’ils se disent nationalistes ou non, doivent recourir à la technologie, aux capitaux et au savoir-faire d’autres peuples plus avancés dans tous ces domaines. A cet égard, le nationalisme de Kabila s’apparente d’une certaine manière à celui de tous les autres dirigeants africains. En effet, quand il s’agit d’organiser des élections qu’ils finissent par tripatouiller, construire des routes, des écoles, des hôpitaux et bien d’autres infrastructures, les nationalistes africains ne se gênent pas de se conduire comme des mendiants sur la scène internationale et donc de dépendre entièrement de l’impérialisme international. En revanche, quand il s’agit de mettre de l’ordre dans l’appareil de l’Etat, de construire des institutions solides ou encore d’élaborer une Loi Fondamentale opposable à tous les citoyens, les décideurs africains refusent toute expertise extérieure au nom de la souveraineté nationale.

Sous l’administration de Joseph Kabila, ses thuriféraires présentaient ce dernier comme un digne descendant de Kimpa Vita, Simon Kimbangu, Patrice Lumumba et Laurent-Désiré Kabila. Un nationaliste de plus! Pendant ce temps, le pouvoir d’Etat congolais était vassalisé par le Petit Poucet Rwanda, hissé par l’administration Clinton au niveau de bras armé de l’impérialisme yankee en Afrique centrale. Sur le plan interne, des membres de deux coteries ethnico-régionales se taillaient la part du lion au festin du pouvoir comme du temps de son prédécesseur: des Tutsi du Congo-Kinshasa et d’ailleurs, surtout tapis dans l’ombre de la grande muette, et des Katangais. Quant à la gouvernance de l’administration de Joseph Kabila, elle fut qualifiée avec raison de régime des médiocres qui ont tant ruiné le pays. Plus que le régime Mobutu.

Comme si la succession de quatre nationalistes inutiles pour le pays et le peuple ne suffisait pas, Félix Tshisekedi vient à son tour endosser le même costume, en déclarant être du bon côté de l’histoire et en présentant comme agents de l’étranger tous ceux qui n’approuvent pas sa gouvernance chaotique de surcroit marqué par un tribalisme sans pareil et une prédation outrancière.

Il est facile de discourir sur l’impérialisme international. Mais les dirigeants africains devraient savoir que cela n’a de valeur que s’ils respectent d’abord leurs peuples. En réalité, le nationalisme en Afrique ne défend pas la souveraineté des nations ou la dignité des peuples africains, mais le « droit » des gouvernants de garder les populations sous contrôle par la terreur (tracasseries administratives et policières, brimades, arrestations arbitraires, tortures, assassinats, etc.), pendant qu’eux-mêmes se goinfrent au festin du pouvoir. Car le désordre ou l’opacité en tant que mode de gestion étatique est plus profitable à l’affirmation de la puissance, de la gloire et à la quête de l’enrichissement personnel.

Tout compte fait, de Lumumba à Tshisekedi, en passant par Mobutu et les deux Kabila, le Congo n’est pas victime du nationalisme de ses dirigeants mais de leurs égarements, de leur folie ou encore de leur incapacité à bien gérer les rapports de force qu’un pays convoité doit entretenir avec l’extérieur. Face aux regards rapaces externes inévitables sur les richesses congolaises, face à la grande capacité de nuisance de l’impérialisme international, qui fait désormais de la sous-traitance à travers des minuscules Etats voisins, il y a de l’espace pour plusieurs réponses possibles autres que la confrontation, sous Patrice Lumumba et Laurent-Desire Kabila, ou la compromission sous Joseph Kabila et Félix Tshisekedi.

Aujourd’hui comme hier, l’intérêt supérieur de la nation exige que nous gagnions un premier combat difficile pour plusieurs nations mais facile au regard des potentialités immenses de notre pays. Il s’agit du combat de la bonne gouvernance qui permettrait de répondre aux besoins fondamentaux de la population dans le contexte de l’ordre ou du désordre mondial actuel, plutôt que de nous lancer dans une guerre perdue d’avance pour un idéal, qui s’avère être une chimère: l’indépendance totale et immédiate ou le nationalisme pur et dur.

Pour gagner ce premier combat, les ennemis à vaincre ne sont pas à l’extérieur du pays. Evoluant librement à l’intérieur des frontières nationales, ils sont même nommément cités dans le préambule de la Constitution en cours: « l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, [qui], par leurs multiples vicissitudes, sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays ». Au lieu de continuer à jouer de manière permanente à Don Quichotte et les moulins à vent, en enfilant le beau costume appelé nationalisme, écrasons avant tout les fléaux ci-dessus, comme on le ferait avec des punaises et en criant: A bas le nationalisme congolais!

Mayoyo Bitumba Tipo-Tipo
Ecrivain & Fonctionnaire International

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Readers Comments (22)

  1. PILIPILI, oyoki ? zwa bic et notez. Allez enseigner cela à tous vos gueux de sous les manguiers à Limete.
    Miyibi baza nanu !

  2. Rien qu’une longue succession des roublards faux-nationalistes au sommet depuis Mobutu a ce jour. En quoi ces dictateurs-jouisseurs ont-ils une quelconque ressemblance au Heros et « vrai » Nationaliste P. Lumumba? Est-on « nationaliste » lorsqu’on accede au pouvoir via tricheries et on endort son « Peuple abord » en vides slogans et promesses? Quand on re-cree la kleptocracie MPR de triste memoire sous l’habit du regime klepto-Tshilejelu avec des detournements, vols, escroqueries, et depassements budgetaires a la Presidence pires meme qu’au temps de Mobutu? Lorqu’on va de livraison des pizzas a Bxlles a un train de vie scandaleux incluant des sorties a Dubai et Marbella coutant des $$$Million au Tresor a chaque voyage inutile? Ce alors que nos FARDC manquent de moyens et on invite de forces etrangeres pour defendre la Patrie? Est-on « nationaliste » quand on laisse son « Peuple abord » croupir dans la misere en Provinces et meme a Kin? Quand on assassine ses opposants et on refuse d’en lacher les corps aux familles meurtries et en punir les auteurs? En quoi est-on « nationaliste » puisqu’on diabolise Katumbi, Mukwege et autres, les taxant d’etrangers alors que les frappeurs au pouvoir ont des passeports etrangers? Parlant de P. Kagame devenu « fond de commerce » de F. Tshilejelu pour justifer son incompetence et echecs aprs 5 ans, nous avons des informations certaines que Avril Haines, Cheffe des Services Secrets Americains, etait chez F. Tshilejelu apres que ce dernier implora les Americains (oui, en cachette) de l’aider a « Negocier » avec P. Kagame pour empecher M23 de prendre Goma. Le meme Kagame que le roublard F. Tshilejelu insulte le jour en habit d’un faux-nationaliste pour la consommation locale de ses wewas-talibans et autres jouisseurs au pouvoir!

  3. UNE PARENTHÈSE SI VOUS PERMETTEZ !
    Je recommande à tous de visionner sur la toile la vidéo complète de notre soeur Masawa des Usa intitulée « PEUPLE APPELÉ A DISPARAÎTRE ». Elle traite du destin des ‘Bantous’ et invite à la réflexion. Bon visionnage !

  4. Combattant Résistant de l'Ombre 4 décembre 2023 @ 9 h 49 min

    PENSER AUJOURD’HUI EN RDC OCCUPÉE PAR LES BANYARWANDAS QU’UN POLITICIEN N’EST PAS CORROMPU ÉQUIVAUT À PENSER QU’UNE PROSTITUÉE (PÉRIPATHÉTICIENNE) EST ENCORE VIERGE. AU KONGO-ZAÏRE LES BANYARWANDAS DE KINSHASA N’EXISTENT PAS ET N’EXISTERONT JAMAIS ! Le Souverainisme comme le Nationalisme- Patriotisme sont des termes latins françaisés mais étaient déjà des valeurs politiques réelles qui se retrouvaient dans l’Organisation Constitutionnelle au ROYAUME KÔNGO (KÔNGO-DYA-MPÂNGALA, KÔNGO-DYA-MULAZA OU KWÎMBA,KÔNGO-DYA-KATI ET KÔNGO-DYA-MPÂNZU). La grandeur et la magnificence de l’Empire KÔNGO d’antan ont attiré des hommes jaloux charognards mercantiles venus d’ailleurs comme aujourd’hui en RDC occupée par les Banyarwandas, fatalement des FAUX NATIONALISTES y existaient surtout dans la Cour Royale du GRAND KONGO DIA NTOTILA jusqu’à ce jour à Kinshasa la Poubelle et ses provincettes médiévales. Ne dit-on pas qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil, il y eut et il y aura toujours des pseudo nationalistes,
    certains ont même collaboré avec les Colons Portugais et Belges comme aujourd’hui des faux Nationalistes collaborent avec les Banyarwandas non originaires de Kinshasa venus de l’Empire Hima (EAC). Critiquer sans cesse Lumumba pour un simple discours écrit par un Belge, c’est contre-productif, s’acharner continuellement sur un Mobutu produit de la CIA qui a faot mieux que nos Politichiens Collabos RDCIENS actuels, c’est aberrant et descendre Laurent Désire Kabila de l’Adfl (Conglomérat d’aventuriers) alors qu’il a fait publiquement amande honorable en 1998, c’est exagéré. En plus les (Lumumba, Mobutu et Laurent Kabila voire Kasa-Vubu) mettre sur le meme pied d’égalité que ceux qui agissent en pleine RDC occupée aujourd’hui, c’est carrément un non-sens. Nos Pères de l’indépendance et les 2 VRAIS PRESIDENTS du KONGO-ZAÏRE (MOBUTU et Laurent KABILA) ont été moins pire que les Actuels Politichiens COLLABOS qui font preuve d’une incroyable inconscience congénitale jamais égalée, en les (Kasa-Vubu, Lumumba, Mobutu et Laurent Kabila) comparant avec l’imposteur Rwandais Kanambe alias Joseph Kabila (CHEVAL DE TROIE du Rwanda au Congo-Kinshasa depuis 1997) et Félix Antoine Tshilombo Tshisekedi auteur de HAUTE TRAHISON qui sont 2 FAUX PRESIDENTS de l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE tout en estimant que Martin Fayulu Madidi le président élu par le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE en 2018 doit s’allier politiquement avec le Juif-Zambien Moses Soriano alias Moïse Katumbi, c’est manquer de justesse et de fixité de la pensée et d’honnêteté intellectuelle… MÊME DANS LE MARCHÉ FINANCER (MARCHÉ BOURSIER) LE RENDEMENT DE LA CAPITALISATION D’UNE ACTION COTÉE EN BOURSE D’UNE SOCIÉTÉ
    X EST COMPARABLE QU’AVEC CELLE D’UNE ENTREPRISE CONCURRENTE DU MEME SECTEUR (INDUSTRIE OU COMMERCE) ET LA VRAIE INVERSION DES VALEURS EN RDC OCCUPÉE ! On ne peut jamais comparer Procter Gamber avec Auchan, PSA Peugeot avec Walmart ou Unilever et Carrefour, la sensibilité volatile du marché en dépend. Cet article revêt un caractère spécial et erroné qui ne correspond pas à la configuration politique actuelle en RDC occupée car il omet sciemment la MATRICE « OCCUPATION ÉTRANGÈRE RWANDO-OUGANDAISE ». L’auteur considère encore et toujours les Occupants Envahisseurs Rwando-Ougandais Banyarwandas comme des Vrais Kongolais de souche. Du coup le tableau comparatif dressé ci-haut n’a plus de sens ni de consistance intellectuelle.
    Si nous comprenons très bien, Fayulu-Lamuka que l’auteur a conseillé dans un autre article de s’alloer à un Juif-Zambien ne fera pas ce que Lumumba, Mobutu et Laurent Kabila ont fait à propos du Nationalisme… QUI IGNORE QUE FAYULU-LAMUKA A UN CONSEILLER BELGE FLAMAND NOMMÉ KAREL DEGUCHT ! Si Lumumba avait fauté en 1960, 63 ans après c’est toujours de sa faute si rien ne marche en RDC occupée. Si Mobutu ou Laurent Kabila étaient des faux Nationalistes, les Politichiens Collabos RDCIENS actuels sont pires qu’eux, alors vouloir que l’un d’eux gagne des élections pièges à cons truquées d’avance organisées par la CENI pro Rwanda lubalisée dans un pays occupé, c’est choisir la perpétuation de l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE pour des siècles des siècles qui exclut le NATIONALISME. Aucun Politichien Collabo actuel n’est un Nationaliste, forcément les Fayulu, Tshilombo et Bemba sont tous des Traîtres corrompus. La preuve, Delly Sesanga le Rebelle Juriste de Formation choisit l’ignare semi-lettré Moses Soriano alias Moïse Katumbi et Bemba j’ai accepté l’inacceptable Diplômé de l’ICHEC/Bruxelles appelle à voter le faussaire des Diplômes de l’ICC/Bruxelles FATSHI BIDON, c’est la vraie inversion des valeurs en RDC occupée par les Banyarwandas. Autant la ligne éditoriale du CIC s’effiloche année après année surtout durant ces 5 dernières années, autant la gente intellectuelle Kongolaise inconsciente congénitale botte en touche la cause principale des malheurs (effets néfastes) du PEUPLE KONGOLAIS qui est l’Occupation Étrangère RWANDO-OUGANDAISE depuis 27 ans (1997-2024).
    C’est fort dommage. Il est écrit « Ne déplace pas la Borne Antique que tes Pères ont posée ». VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA

  5. Bonjour cher compatriote Pilipili,
    droit à vous de livrer votre opinion sans se cacher derrière  »l’injure » et/ou  »l’impolitesse »;l’objectivité argumentaire ou l’argument objectif élève le débat,la contradiction faisant partie du débat.Constructive bien entendu.
    Vive notre RDCongo.

    • Mashaki pres de Goma vient de tomber aux M23 dans l’insouciance et indifference de votre demi-dieu «beton-mulopwe» et sa bande des jouisseurs a Kin, inclu l’autre jouisseur fils-a-papa JP Bemba dont l’incompetence dans la defense du Pays n’est plus a demontrer. Ajoutons-y les catastrophes sociales en Pronvinces et a Kinshasa meme comme le decrit bien le compatriote journaliste Teddy Mfitu sur MediaCongo.Net. Mais, les Pilipili, Binsonji et Disanka n’ont autre souci que de s’exhiber ici en taxant Katumbi, Mukwege et meme Cardinal Ambongo d’etrangers, et accuser ceux qui osent critiquer leur demidieu de « haineux et jaloux ».Depuis quand de patriotes s’erigeant contre cette Kleptocratie sont-ils « jaloux » des Voleurs? Voila la logique et niveau de culture de tes copains que tu felicites ici.

  6. Nuançons : Ces nationalistes qui nous gouvernent et prétendent nous gouverner. Le fait politique est complexe. Que l’on soit au pouvoir ou dans l’opposition, on s’autoproclame « nationaliste ». Quand on est au pouvoir, on se dit nationaliste et agir pour le bien de la nation. Quand on est dans l’opposition, on se dit nationaliste et lutter pour le bien de la nation ! Et les « agents de l’étranger » se retrouvent dans les deux camps, comme l’illustre la guerre à l’Est.
    Mobutu Sese Seko se proclamait nationaliste. En le recevant à la Maison Blanche, en juillet 1989, le président américain George Bush a salué « un grand ami sur qui les États-Unis peuvent compter ». Alors, Mobutu : nationaliste ou agent de l’étranger ? Laurent-Désiré Kabila se présentait comme un nationaliste lumumbiste qui luttait pour la « libération » du pays. Il a pris le pouvoir, en mai 1997, avec l’appui du Rwanda et de l’Ouganda derrière lesquels se dissimulaient d’autres puissances internationales. Alors, Laurent-Désié Kabila : nationaliste ou agent de l’étranger ?
    Au vu de la campagne électorale actuelle, il existe bien des candidats qui sont (restons modérés) les « favoris » d’une certaine « communauté internationale ». Sont-ils, dès lors, « nationalistes » ou « agents de l’étranger » ? La question reste ouverte. Et à l’électeur congolais d’en juger…

    • @ Bofola,
      As-tu dit agents de l’etranger « favoris » dune certaine Communaute Internationale? On decele vite dans quel camp tu puises les sophismes de ta « dissertation ». En tous cas, A. Kabuya et son maitre (l’ex- Bruxellois avec residences et famille en Belgique) t’en sont reconnaissants ainsi que leur cohorte des Wewas et frappeurs. « Nationalisme beton-bidon Tshilejlu Oye »

  7. Que dire de plus après la pertinente analyse de notre ami Mayoyo sinon qu’il va sans dire que l’ouverture à l’étranger surtout en cette ère globalisation n’est pas à discuter, c’est une condition obligée mais quid de nos charges nationales ?
    En effet la revendication nationaliste démagogique et bête continue hélas de nos jours surtout en cette periode électorale : une des injures à la bouche de Tshisekedi à l’endroit de ses adversaires est bien « candidats de l’étranger », des suppôts de l’impérialisme occidental, des traîtres à la Nation. Et cela parce que nous sommes encore loin de notre combat pour le développement et comme le conclue Mayoyo qui l’emprunte à notre Constitution parce que ‘l’injustice avec ses corollaires, l’impunité, le népotisme, le régionalisme, le tribalisme, le clanisme et le clientélisme, [qui], par leurs multiples vicissitudes, sont à l’origine de l’inversion générale des valeurs et de la ruine du pays continuent à gangrener encore notre chère Patrie.
    Nous aurons beau crié à la souveraineté; l’unité et la cohésion nationales ne seront réalités que lorsque nous aurons d’abord respecté nos peuples à pourvoir à leurs attentes et à leurs besoins.
    Qu’avons-nous fait et que devons-nous faire pour nous mettre à jour à nos responsabilité d’un pays vraiment souverain bien au-delà des revendications nationalistes ; c’est à cela que répond si justement Mayoyo dans son papier.

  8. Messieurs Mpululu, Tipo Tipo, Bongos, Nono etc..Je m’adresse à vous pour une raison évidente: lorsque vous passer votre temps à traiter les autorités congolaises actuelles de voleurs sans aucune preuve, frappeur, incultes etc… vous voulez qu’on vous applaudisse, qu’on vous remercie parce que vous avez le monopole de la bassesse !!. Et bien non, le jour où vous arrêterez de porter un jugement simpliste sur vos contradicteurs, on vous respectera, si non, attendez vous à la réplique sans complaisance. Aboradant la delicate quetion du nationalisme congolais, MR Tipo Tipo nous a expliqué à sa façon – toujours avec aplomb et condescendance – à quel point depuis l’indépendance de notre pays, tous ceux qui se sont réclamé « nationalistes » n’étaient que des aventuriers qui ont conquis l’indépendance du Congolais par la volonté de la royaume de Belgique. Il a pousser le ridicule jusqu’à reprochez notre Héros national d’avoir couvert notre pays de honte en évoquant les brimades dont les congolais étaient victimes tout au long de cette aventure coloniale. Donc, de son point vue, il faillait tout simplement applaudir à cette provocation du Roi Belge. Je rappelle que pendant que le souverain Belge nous faisait la leçon sur le bien fait de la colonisation, héritage de son ancetre Leopol 2, les congolais étaient présentés dans des exportations à l’intérieur des cages comme des singes. Qui oublie que pendant les 80 ans de colonisationr nos ancêtres étaient l’objets d’affreux traitements. Aux congolais qui ne remplissaient pas les quotas des matières comme le coton, le caoutchouc, le café etc..quel était leur sort, on leur coupait les mains, les oreilles et que sais-je encore. Et dans ces conditions, vous avez le culot de condamner les leaders qui ont le courage d’en parler le jour de notre indépendante. Je ne sait pas si vous êtes digne de vous identifiez comme congolais et digne de l’être. Je ne vous ferai pas l’honneur de vous mépriser parce que vous avez choisi votre camp: celui de ceux qui ont régné par la violence extrême dans cet espace. Je termine par vous la faire une réflexion suivante: le cerveau humain produit deux sortes de vérités: il y a la vérité de raison, c à d d’opinion, elle ( vérité) peut être raisonnable ou déraisonnable, erronée ou folle dès lors qu’elle sort du cerveau embrumé. MR Tipo Tipo, Vous vivez en Belgique où vous jouissez de commodités matérielles qui vous poussent à oublier votre culture. Vous êtes un acculturé ou mieux, un aliéné. Chaque fois qui j’aurai l’occasion, je vous répondrai vertement et sans concession.

    • A remarquer que ce mec farfelu passe sous silence les preuves en cascades des vols, detournements et depassements budgetaires sous leur Mulopwe-cheri Felix Tshilejelu. Entres autres, les vols ayant mis Kamhere en prion a Makala ne lui disent rien. Ce parasite ne merite que grand mepris, tout comme ses semblables s’elucubrant sur ce site.

    • Mr Pilipili, où voulez-vous qu’on vous range quand vous en êtes encore à douter que les autorités au pouvoir volent,détournent énormément les deniers publics,sont des frappeurs impénitents, à chercher je ne sais quelle preuve qui devrait alors venir de votre cerveau ou celui de tous ces gens au pouvoir ? Dans la boîte des déficients intellectuels incapables de voir le nez au milieu du visage ou simplement des fanatiques aveuglés par leurs vénérations.
      Désolé pour moi, vous menez bien la parole mais je crains qu’elle sorte d’une cervelle complètement desarticulee…

  9. Lisez plutôt: expositions

  10. Monsieur PILIPILI,
    Remarquez qu’un ‘’baveux’’ vous donne du ‘’Monsieur’’.
    Notre pays est le seul pays au monde où l’efficacité de l’utilisation de l’argent de l’État n’est jamais questionnée. Je vous rappelle quelques faits, ce ne sont pas mes inventions et je ne bave pas :
    – Le Président de la république, sur une chaine de télévision occidentale, a affirmé que chez nous les rétrocommissions étaient des ‘’coop’’. (15 millions de $).
    – Un ancien directeur de cabinet du président de la république a monté une affaire nommée ‘’Programme de 100 jours’’, en toute illégalité (car en dehors de toute décision de l’exécutif, encore moins du législatif). A la suite d’un procès public, retentissant, il a fini en taule, condamné à 20 ans de prison pour détournement (57 millions de dollars mais en vérité plus de 300 millions de $). Par un tour de magie, ce monsieur se retrouve aujourd’hui en liberté et est VPM et ministre de l’…économie. Fatshi aza nanu ! Miyibi baza nanu !
    – Le même Président a lancé un autre projet autour de nos 145 territoires. A ce jour, personne ne sait vraiment dire ce qui a été fait avec l’argent public décaissé. Le Président lui-même a pu constater que certains travaux n’étaient même pas lancés alors que l’argent avait déjà été décaissé. Ce sont des millions de $.
    – Le RAM. Un vol sans gêne. Yo oyebi epayi mbongo ya RAM ekendaka ? Des caciques du gouvernement nous ont dit que c’était un ‘’ dossier de la présidence’’. Des millions de $.
    – Les millions de la Francophonie…disparus, comme envolés par magie pour des réalisations fantoches, hypothétiques et fantasmagoriques.
    – Depuis cinq ans, des dépassements budgétaires à la Présidence de la république, au Parlement et à la Primature. Pour quels résultats ? Des millions de $.
    – JM Kabund, pourtant au coeur du monstre, nous a dit que des millions de dollars s’envolaient dans des valises vers des paradis fiscaux dans des avions privés à partir de Ndolo. Il n’a cessé de demander un procès public pour tout déballer mais on attend toujours.
    – L’enrichissement insolite, insolent, illicite des membres de la famille présidentielle , de certains de ses amis, conseillers à la présidence ou ministres dont certains ont même déjà été condamnés en Europe pour des faits d’escroquerie, faux dans les titres, etc… s’explique par quelles actions de grâce divine ?
    Tata wetu PILIPILI, batu ya boye, olingi babenga bango ba nani ?
    Je vous donne l’occasion de me répondre vertement et sans concessions. Sur les faits relatés ici.

    • @JO BONGOS. Je sais que vous repondez a Pilipili, mais permettez-moi quand meme de faire certaines rectifications;
      1. Fatshi a resuscite l’IGF justement pour faire en sorte que l’argent du Tresor Public ne soit pas sorti et utilise sans justification. Elle fait ce travail comme il se doit jusque la. Fatshi n’avait pas cree l’IGF, mais c’est bel et bien qui l’a resussicitee. Elle a empeche pas mal de detournements dguises, et elle a denonce pas mal de tentatives de detournements. Les haineux ne parlent jamais du travail de titan que fait l’IGF, et ils ne donnent jamais credit a Fatshi pour sa resurrection!
      2. Dire que les ‘retrocommissions’ sont legales chez nous, c’est a mon avis la plus grande bourde que Fatshi ait faite durant ce quinquenat! Il n’ya pas de raison pour que les hauts fonctionnaires de l’Etat, generalement mieux payes que les agents de l’administration publique passent leur temps a courir derriere les retrocommissions. C’est d’ailleurs a cause de cette course aux retrocommisions que les biens et les services a l’Etat congolais sont generalement surfdactures! Il faut bien que les partenaires qui ont promis des retrocommissions aux representants dde l’Etat congolais recuperent leur argent!
      3. C’est vrai que l’utilisation de l’argent reste a justifiee, mais tant que cette justification n’est pas donee, il est presomptueux de parler de vol organise orchestre par la presidence. Quand on a pas de preuves irrefutables, il faut s’abstenir de condammer.
      4. Jules Alingete, le Flic Financier en chef de l’Etat congolais, avait declare qu’un depassement budgetaire n’est pas un detournement. Il peut etre considere, tout au plus, comme une erreur de gesytion.
      5. JM Kabund n’est pas en prison pour avoir denonce les detournements. Il est en prison pour avoir refuse de donner a la justice les preuves irrefutables de ses denonciations! On ne peut quand meme pas traiter un Chef d’Etat de voleur sans en donner les preuves! Les choses ne se passent pas comme ca! Je vous rappelle que Nicolas Sarkozy est toujours en liberte!
      5. Nous avons tous appris qu’il y a eu detournements de fonds debloques pour les jeux de la Francophonie. C’est un dossier en cours, d’autant plus que l’OIF elle-meme n’a pas encore rendu son audit public. Remarquez que les detracteurs de Fatshi parlent avec joie de detrournements, mais ils ne parlent jamais de la reussite de ces jeux ni des infrastructures construites ou refectionnees a l’ocassion de ces jeux. Pourquoi voir seulement ce qui est negatif? Vision selective ou mauvaise foi manifeste?
      En aucun cas je ne defendrai les vols et les detournements de deniers publics. Je suis autant atterre que vous d’entendre que dans ce quinquenat, les detournements se chiffrent toujours par millions. Mais il faut toujours faire la part de choses. Ces millions ont-ils etes effectivement detournes? Ceux que la clameur publique jettent en pature, sont-ils vraiment les vrais coupables? Pourquoi se presser d’attaquer leur reputation au lieu de se s’empresser a les traduire en justice? Loi du moindre effort?
      6. Les bebeficiaires de retrocommissions se sont sands doute enrichis, mais je ne connais pas personnellement un membre de la famille presidentielle qui se soit enrichi du fait du ‘pouvoir en place’. Ceux qui le sont l’etaient deja avant l’arrivee de Fatshi au pouvoir! Il parait qu’a une certaine epoque, c’est Christian Tshisekedi qui soutenai ses parents parce qu’il etait homme d’affaires!
      7. Les voleurs meritent la prison, mais il faut d’abord s’assurer qu’ils n’ont pas simplement profite de la faiblesse de notre appareil judiciaire. Si Willy Bakonga a reussi a acheter des juges et des fonctionnaires de la presidence, il n’est pas le seul!

  11. Bongos, pour commencer, vous me donnez du Mr parce que je le mérite. Vous égrènez ici une litanie d’éléments dont vous ne saisissez même pas la signification: le dépassement n’a rien à voir avec un quelconque détournement. Même dans la gestion du budget de votre foyer, il peut y avoir des impondérables qui, conjocturellement peuvent occasionner un dépassement budgétaire. D’ailleurs, j’en conviens le dépassement doit être encadré, il ne doit pas dépasser 9 % du budget national, au Congo, il est de l’ordre de 12 %, ce qui n’est pas extravagant. Concernant les jeux de la francophonie, personne n’a dit qu’il y a eu détournement, par contre, comme le calendrier était serré, on a dû recourir aux solutions urgentes, et cela a occasionné des dépenses supplémentaires. Au passage je tiens à signaler que des gens comme vous souhaitaient l’échec de ces jeux pour en faire votre choux gras, malheureusement pour vous, le succès à été éclatant et les jeunes sportifs congolais ont maintenant des infrastructures sportives dignes d’un grand pays. Cette réussite vous en a bouché un coin. Je vous informe que les maisons préfabriquées auxquelles vous faites allusion ont servi tout autour du stade du ving mai. Concernant vos divagations sur les 100 jours, tshilenjelu, tetrocommusions et autres balivernes, c’est la haine et la jalousie qui vous etrangle, rien d’autre. Maintenant, il y a un choix à faire, si vous voulez voter pour Katumbi, Fayulu, Muzitu etc.. allez y, faites votre choix pour celui qui viendra faire des miracles. Concernant le PDL 145 territoires, franchement je ne savais qu’un compatriote digne de ce nom pouvais être à ce point aveugle pour ne pas voir les écoles, centres de santé et bâtiments administratifs qui sortent de terre un peu partout malgré les difficultés logistiques. Même dans mon village, la bceco a construit une très belle école pour enfants. Vous savez, le fait de vous bander les yeux pour ne pas voir fait de vous un handicapé qui s’ignore. De toute façon, animé par la jalousie et la haine tribale, toutes mes explications ne changerons rien, car, un fou ne peut pas agir comme homme normal même s’il le voulait alors que le contraire est possible. Allez tchao, bonjours chez vous Mr le frustré. Vous voyez, je vous donne du  » Monsieur « . Hihihi.

    • C’est ca qu’on appelle une replique! Bravo Mr Pilipili!Jo Bongos est un patriote qui aime vraiment son pays. Malheureusement il est du mauvais cote de l’histoire. Il a toujours tendance a se ranger du cote des haineux et des frustres! Je lui rappelle de temps en temps qu’il vaut mieux et qu’il peut faire mieux que ce q’il fait en ce moment. Quand vous lisez vous sentez qu’il veut plaire a une certaine coterie! Ses analyses sont parfois aussi biaisees que les analyses des haineux autoproclames et fiers de l’etre qui publient souvent sur CI. J’espere que le grand pretre Pierre Jacquenry vous lira, ne fut-ce que pour apprendre ce que c’est une replique en rhetorique.

      • @ Pleurs & Deuil »,
        Au dela de ton insolence typique des fanatiques tribalistes primaires, nous te suggerons de lire (si tu en es capable) l’excellent article du compatriote-journaliste Teddy Mfitu (un de tes freres Kasaiens), lui qui reside sur place a Kinshasa et qui y palpe les echecs au Social du regime Klepto-Tshilejelu. La longue analyse de Teddy Mfitu dans MediaCongo.net (du 7 Novembre) est-elle « haineuse ». Si les catastrophes sociales en sont ainsi a Kin, devine alors le marasme en Provinces; sans parler des echecs de ton idole a l’Est. Ah si la Honte pouvait tuer, apres lecture, toi et ton semblable Pilipili (ou Kamerhe) disparaitriez de ce site.

      • Des conseils impromptud à l’autre alors qu’on a soi-même plus besoin : ainsi va la vie des hommes hélas sur cette Terre.
        « Des haineux et des frustrés en plus fiers de l’être » ??? Il faut être habités par ces ressentiments pour l’exprimer avec autant de justesse mais ça on ne peut malheureusement pas le comprendre quand on est dedans. C’est helas le drame de la victimisation chevillée au corps comme seule defense possible. Passons…

      • Cher Binsoji E Madilu,
        Non, non et non. Ce que Pilipili a écrit n’est pas une replique en rhétorique. C’est tout simplement de l’anticatastase.

    • Nous devinons que ce farfelu serait V. Kamerhe lui-meme. Nous connaissons bien son style. Voir comment il balaie d’une main les vols et detournements du projet bidon 100-J qui lui ont valu long sejour a Makala avant que son complice en vols n’intervienne pour le nommer « VPM » dans une grave insulte a la Justice et aux Congolais victimes de ses vols. L’autre farfelu Madilu Binsonji qui loue ces frappeurs n’est pas different d’eux.

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