La dépréciation, depuis le début de l’année, du taux de change de 13%, a contribué à la détérioration des conditions sociales. Outre l’amélioration du climat des affaires – favorisant la diversification de l’économie – le FMI recommande au gouvernement congolais d’accroître les recettes budgétaires. Le Fonds recommande également la mise en place des « politiques budgétaires prudentes » pour le reste de l’année. Il s’agit de permettre au pays de faire face aux dépenses générées notamment par l’insécurité à l’Est du pays et l’organisation des élections.

Gaston Mutamba Lukusa
Suivant les dernières estimations du Fonds monétaire international (FMI), le Congo/Kinshasa, connaîtra un taux de croissance de 6,8% en 2023 contre les estimations précédentes de 8,0%. Ceci reste élevé par rapport au taux de croissance de 3,6% prévu pour les pays d’Afrique subsaharienne. Les prévisions du FMI se rapprochent du taux de croissance de 6,7% retenu dans la loi des finances pour l’exercice 2023. Ces chiffres ont été rendus publics à l’issue de la quatrième revue de l’accord triennal au titre de la Facilité élargie de crédit (FEC), qui s’est tenue à Kinshasa du 19 avril au 3 mai.
A l’issue de la mission des experts du FMI, un communiqué de presse a été rendu public qui signale que l’équipe du FMI est parvenue à un accord avec le gouvernement sur les critères du programme. Ce qui permettra un décaissement, à la fin du mois de juin, de 152,3 millions de DTS (environ 200 millions de dollars) pour le soutien à la balance des paiements après l’accord du Conseil d’administration du FMI. Le communiqué note que « … Si l’économie fait preuve de résilience, des déséquilibres macroéconomiques sont apparus. La croissance du PIB réel est estimée à 8,9% en 2022, en raison d’une production minière plus importante que prévu, et devrait atteindre 6,8% en 2023, toujours grâce au secteur extractif. Les recettes fiscales plus élevées que prévu en 2022, y compris des recettes exceptionnelles du secteur extractif, ont permis d’augmenter les dépenses courantes, principalement des dépenses exceptionnelles liées à la sécurité et au remboursement d’arriérés. Le déficit budgétaire intérieur s’est creusé en 2022 pour atteindre 1,3 % du PIB et l’accélération des dépenses à la fin de 2022 a généré un excès de liquidités et contribué à des pressions inflationnistes et sur le taux de change… »
La dépréciation du taux de change de 13%, depuis de le début de l’année, a contribué à la détérioration des conditions sociales. Du fait du lien mécanique qui existe entre le taux de change et les prix, le taux d’inflation est de 17% durant la même période. Ceci arrive dans un contexte dominé par la pénurie de la farine de maïs par suite des mauvaises récoltes en Zambie, principal fournisseur. Le FMI recommande de mettre en place des politiques budgétaires prudentes pour le reste de l’année. Pour permettre au pays de faire face aux dépenses provoquées par l’insécurité à l’Est du pays, l’organisation des élections et la guerre en Ukraine, le FMI recommande d’accroître les recettes budgétaires et de diversifier l’économie. Suivant le FMI, « l’amélioration du climat des affaires reste essentielle pour la diversification de l’économie et pour une croissance tirée par le secteur privé et repose sur des efforts continus pour mettre en œuvre le cadre de lutte contre la corruption, rationaliser le système fiscal, améliorer la transparence dans le secteur minier et publier des informations sur la propriété effective des bénéficiaires des marchés publics. Des réformes majeures sont nécessaires pour rendre opérationnelle la loi sur la lutte contre le blanchiment des capitaux et le financement du terrorisme adopté en décembre 2022, et pour sortir de la liste grise du Groupe d’action financière (GAFI) ».
Pour lutter contre l’inflation, le FMI recommande à la Banque centrale du Congo de resserrer la politique monétaire pour contenir les pressions inflationnistes, tout en continuant à constituer des réserves afin de résister aux chocs extérieurs. Ill ne faut pas perdre de vue que le relèvement du taux directeur risque de freiner l’activité économique. Des réformes doivent plutôt être entreprises pour accroitre l’offre de la production agricole, réindustrialiser le pays, faciliter les affaires, favoriser les investissements locaux et directs étrangers, améliorer les infrastructures existantes (ports, aéroports, routes, rails, ponts, électricité et eau). Sinon, le pays va aller de programme du FMI en programme du FMI sans connaître une croissance économique inclusive, à savoir celle qui se traduit par la création des emplois.
–
Gaston Mutamba Lukusa
Kiekiekie…
Pour ne pas dire autre chose et mettre mal à l’aise les économistes formés dans les meilleures universités de France, à l’ICC de Bruxelles ou à l’université de Harvard de Mbandaka.
L ‘ économie, ce n’est pas de la poésie. Il n’a pas cessé de nous le répéter. Ce n’est pas non plus une science exacte. On vous l’avait dit.
Kiekiekie…
Fatshi bee…!
NOS CRAINTES COMMENCENT A TROUVER DES REPONSES, LA CROISSANCE SERA PLUS FAIBLE QUE 0PRÉVUE.
En effet il y’a une semaine on s’interrogeait sur les recommandations du FMI à des politiques monétaires et budgétaires restrictives et des rumeurs qui annonçaient une baisse très sensible de fait de notre budget alors que la nomenklatura était encore au Congo à s’enthousiasmer de nos insolentes prévisions de croissance a 8,5 %. Elle qualifiait même de masochistes et de non patriotes ces deniers – c’est vrai passer de de 16 milliards à 3 milliards reste peu entendable -.
Le FMI confirme donc pour 2023 un taux de croissance plus faible de 6,8% (pas moins ?) en place de 8,0% estimé précédemment. Et recommande d’améliorer notre climat des affaires avec diversification de notre économie, d’accroître nos recettes budgétaires et toujours des politiques budgétaires prudentes. Les economistes-maison n’en continuent pas moins de se réjouir de notre croissance et semblent tempérer les déséquilibres macroéconomiques qui l’expliquent, se justifiant sur les dépenses exceptionnelles liées à la sécurité, à la préparation des prochaines elections et au remboursement d’arriérés (mais lesquels ?).
Bref nous avions raison de nous méfier d’un certain ethousiame ambiant sur l’avenir economique du pays, nous ferions mieux de le rester.
Certain sont toujours dans la polémique stérile. Surtout lorsqu’on a été en dessous de tout en traitant son contradicteur de fils de…il y a lieu de faire profil bas. Pour revenir aux prévisions de FMI, tout dépend des contingences liées aux économies des pays qui exploitent nos minerais. D’ailleurs, le FMI et la Banque mondiale ne sont pas sur la même longueur d’onde, et c’est tant mieux parce que malgré tout, notre pays s’en sort plus moins bien et reste dans les clous. Le budget pour cette année a été élaboré sur base d’un taux de croissance de 7 % cequi fait que si la conjecture permet d’atteindre un taux de 8 à 9 %, ça ne pourra que bénéfique pour le pays. Je fais de mon mieux pour prendre de la hauteur, mais si on me cherche, on me trouvera. Avec un langage ordurier digne des kuluna kinois, vous croyez pouvoir dicter la loi dans cette rubrique. D’ailleurs, même vos rejetons ne sont pas fiers de leur géniteur qui passe son temps à insulter. Personne n’a dit que l’économie était une science exacte. Faute d’arguments, on divague avec des propos tendancieux.
Soyons plus simples pour convenir humblement que l’économie est aussi un domaine où tout n’est pas fixé définitivement à un moment donné. Rien de nouveau donc, les contingences liées aux économies des pays qui exploitent nos minerais.
existent et existeront donc connues au moment où Kinshasa a fait ses prévisions. La question ici est plutôt de savoir si nous n’avons pas eu les yeux trop grands en nous satisfaisant trop rapidement de nos exploits macroéconomiques jusqu’à faire des prévisions qui aujourd’hui demandent à etre revues.
Kiekiekie…
La ritournelle commence à se faire vieille !!!
Changez de disque…
Fatshi bee….!
BRICS POUR LA TUNISIE INDÉPENDANTE & SOUVERAINE CONTRE FMI POUR LA RDC OCCUPÉE PAR LES BANYAMAYARWANDA MARIÉE AVEC LE RWANDA DE PAUL KAGAME SOUS LE RÉGIME DIABOLIQUE DECCOMMUNAUTE DES BIENS MAL ACQUIS ! Selon un article du Journal « Le Courrier international » du 11 Avril dernier, intitulé « En Tunisie, les Brics comme alternative au FMI », il est écrit que le Président Tunisien Kaïs Saïed en pleine crise budgétaire, se paie le luxe de refuser de traiter avec le Fonds monétaire international (FMI). Et que la Tunisie [qui n’est pas occupée par ses voisins Maghrébins comme l’est la RDC de Tshilombo-Pétain avec l’Empire Hima ou EAC en interdisant les Kongolais de se battre pour les morceaux de terre] qui doit financer son budget cherche rapidement un raccourci efficace et se tourne vers d’autres cieux et partenaires en privilégiant les BRICS qui ont le vent en poupe car le Monde UNIPOLAIRE jadis BIPOLAIRE devient MULTIPOLAIRE avec un marché mondial à plusieurs pôles. Plusieurs pays viennent récemment de faire la demande officielle d’adhésion. L’inévitable DÉDOLLARISATION PLAUSIBLE et IMMINENTE de l’économie mondiale démontre que les pays du Groupe BRICS sont capables de créer une alternative viable au Dollar Américain. Ainsi 19 pays ont officiellement exprimé leur désir de rejoindre les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, South-Africa) selon Anil Sooklal, l’Ambassadeur de l’Afrique du Sud au sein du Groupe BRICS dans un entretien avec l’Agence Américaine Bloomberg, 13 d’entre eux ont déposé officiellement des demandes d’adhésion. Que fait la RDC occupée mariée au Rwanda du partenaire fiable de FATSHI BIDON avec un contrat de mariage par communauté des biens mal acquis ? Les Politichiens Collabos RDCIENS et OCCUPANTS BANYAMAYARWANDA traitent avec le FMI récusé en Tunisie pour continuer leur mariage soi-disant sous le régime de séparation des biens mal acquis sans protection de patrimoine de chaque conjoint dans notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE et cela dure depuis 22 ans (2001-2023). Seul hic, aucun notaire assermenté n’a légalisé ledit mariage illégitime avec le FMI et l’EAC (Rwanda, Ouganda, Burundi, Tanzanie, Kenya, Burundi, Soudan du Sud etc), les tourtereaux (RDC OCCUPÉE, FMI, EAC=EMPIRE HIMA) enivrés par l’élixir mortifère des Démons Hybrides Guerriers, Religieux, de Distraction et des circonstances sont très heureux dans leurs unions illicites et contre-nature ne divorceront jamais tant que le PEUPLE KONGOLAIS SOUVERAIN PRIMAIRE sera éternellement apathique et envoûté par les grigris des marabouts et églises de Sommeil financés par les Politichiens. BUDGET ANNUEL MAIGRICHON ET HAUTE TRAHISON ! Aussi longtemps que ce foutu pays occupé aura des Politichiens JOUISSEURS TRAÎTRES qui sont en réalité des momies mourrantes soi-disant Progressistes mais sociologiquemernt exsangues et réfugiées derrière des postures collaborationnistes dans des citadelles médiatiques acquises à leur cause Satano-occulto-nécromancienne, la RDC occupée aura toujours un Budget maigrichon dont 80 % sont réservés aux émoluments réguliers immérités des Politichiens (COLLABOS ET OCCUPANTS). La classe politique RDCienne [inutile, corrompue, médiocre] toutes tendances confondues sera toujours attirée vers la HAUTE TRAHISON quelle que soit la configuration politico-socio-économico-militaro-sécuritaire qui inclut le SYSTÈME HIDEUX ET TORTIONNAIRE D’OCCUPATION ÉTRANGÈRE RWANDO-OUGANDAISE. « On ne gouverne pas avec des *mais* » dixit le Général De Gaulle. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
*DE PAUL KAGAME SOUS LE RÉGIME DIABOLIQUE DE COMMUNAUTÉ DES BIENS MAL ACQUIS…
Si vous croyez que insulter quelqu’un de fils de … et traiter ses de parents de P. est une simple ritournelle, alors je me dis que la dignité doit être une qualité rare. Et le fait de revenir sur ma formation d’economiste n’est pas une ritournelle ? Il faut mériter le respect que vous exigez des autres. Je ne connais pas vos parents, il ne me viendra jamais un seul instant dans mon esprit de leur manquer du respect. Il y a de moment où le débat peut être passionnel, mais il y a des limite. Il faut garder ses nerfs.
Cher Monsieur,
Je vous saurais gré de me montrer mon post ( dans son entièreté ) dans lequel je vous ai insulté de fils de … et traiter vos parents de P… ?
En Économie Politique, une autre appelation des Sciences Economiques définies en 1615 par Antoine de Montchrestien, un taux de croissance économique au-delà de 5% est robuste et donc « non infinitésimale » à l’instar des taux de croissance en France et en Belgique estimés respectivement à 0.6%(source :Banque de France); 0,4% ( IRES : Université Catholique de Louvain).
De ce qui précède et en dépit de la guerre du Kivu, la croissance économique congolaise estimée à 6.8% est loin d’un taux infinitésimal ( 0.6% en France et 0.4% en Belgique pour le premier trimestre 2023). C’est aussi une performance loin des taux de décroissance économique avec des taux négatifs de croissance comme du temps de Messieurs Kengo et Likulia.
En Politique Économique par contre ou Sciences Économiques telles qu’implémentées par un Gouvernement( pouvoirs publics), il faut indiquer la nature dissipative ou non maîtrisable (erratique) des économies minières congolaises jugèes capital intensif et donc pas « pro-pauvres » car non-génératrices d’emplois » moins qualifiés ».
Au demeurant, avec une prévision de croissance économique de 6.8%, il faut reconnaître en toute honnêteté une performance économique en comparaison aux économies européennes plombées par la guerre en Ukraine et les mouvements de grève en Ftance ….
Lire :
-Jugées
– France
N’est-ce pas que le niveau de croissance EFFICACE n’est pas le même dans un pays développé que dans ub pays en voie développement ? D’où il n’est pas indiqué de faire des comparaisons automatiques…
Les sciences économiques sont à cheval entre les sciences exactes ou naturelles (par ses approches déductives- quantitatives) et les sciences humaines ou artificielles (par ses approches inductives qualitatives). Ainsi d’un point de vue socio-économique, les performances des pays sont comparables. Et d’ailleurs, les étiquettes « pays développés » et « sous développés » ne sont que des idéologies ou doctrines relevant des sociologues de « Bretton-Woods ».
Qu’est-ce que l’efficacité? C’est l’atteinte des objectifs préalablement définis. De nombreux pays dits « développés » ne le sont plus si l’on s’en tient à des critères tels que le % de la dette publique par rapport au PIB ou le % de déficits budgétaires….
Des pays tels que la France et la Belgique sont endettés au-delà de 100% du PIB avec des déficits budgétaires chroniques. Sans ressources naturelles abondantes, la souveraineté financière de ces pays est hypothéquée par des banquiers et des minorités familiales bourgeoises européennes.
En sciences économiques (Economie Politique), la mesure consiste en l’optimalité englobant l’efficience signifiant minimisation de gaspillage .A ce titre , les USA ont consacré 716 milliards de leur budget à l’armée en 2023.
Le troisième critère est la pertinence consistant en la satisfaction des parties prenantes. De nombreux américains dorment dans la rue; certains meurent de faim manquant de soins médicaux et de logement. Il n’y a pas de grèves comme en France et les travailleurs étasuniens sont soumis par nature.
L’efficacité est en lien avec les objectifs à atteindre et en ces termes , de nombreux pays dits développés sont en pleine phase de déclin. « Let us wait and see. »
UNE ULTIME INTERROGATION ET PEUT-ÊTRE LA PLUS ESSENTIELLE AU SUJET DE NOTRE MIROBOLANT BUDGET ET DE SA CÉLÉBRATION PAR LE POUVOIR EN PLACE !!!
Quelle est la vérité des chiffres qu’on nous livre d’un budget de 5 milliards USD passé en 4 ans à 16 milliards, la vérité des taux de croissance à rêver autour de 8% ??? Si ces chiftres n’étaient que de l’enfumage organisé d’autant que l’état social et économique du pays ne porte pas de traces d’une telle embellie ?
Bref, des légitimes soupçons d’une gouvernance dévoyée où les dépenses inavouables plus importantes au dessus des recettes qu’on veut nous faire croire, s’imposent.
Des obsevateurs Congolais le sussurent entre les lignes, qu’en pensent les grands économistes de CIC ???
Lire :
-Jugées
– France
À 6 MOIS DES ÉLECTIONS PIÈGES À CONS TRUQUÉES D’AVANCE LA SALE CAMPAGNE ÉLECTORALE DE L’UNION SALETÉ A DÉJÀ COMMENCÉ DANS LES RÉSEAUX SOCIAUX OÙ PLUSIEURS RELAYEURS RÉMUNÉRÉS PAR TSHILOMBO-PÉTAIN VANTENT SES EXPLOITS IRRÉALISTES ET SE DÉDISENT DE FAÇON HONTEUSE ! C’est connu de tout économiste qui se respecte que l’économie en soi n’est qu’une science par ses concepts, mesures, raisonnements logiques, vérifications et connaissances mais elle (Économie) n’est pas une science exacte au vrai sens du terme avec des prévisions, formules, expériences correctes, absolues et réponses toutes faites comme en Mathématiques qui ont des résultats exacts car le marché financier est toujours fluctuant, changeant et volatile. Plusieurs économistes même les plus connus (illustres) se sont plantés dans le temps et l’espace à cause de cette volatilité et évolution du marché financier mondialisé. Si l’on parle de l’économisme, aucun économiste n’est indiscutable, celui (arrogant et claudiquant économiste) qui ose prévoir des carabistouilles et chimères illusoires par le dogmatisme et intolérance intellectuels s’exposera toujours aux critiques et reproches acerbes de ses contradicteurs. Au sujet de la croissance économique à 2 chiffres en RDC occupée où des petits, grands carrés miniers et carrières minières entières sont bradés [Cfr Édouard MUANGACHUCHU, Moses SORIANO, Georges FOREST, Dan GETLER, Roseline MBOMBO, Corneille NANGAA, Christian TSHISEKEDI, Familles KANAMBE et TSHISEKEDI TSHILOMBO etc.], tout observateur averti sait que sur le plan macro-économique ou micro-économique, si une Entreprise ou un État ne redistribue pas ses bénéfices annuels de façon équitable dans les différentes strates de l’Entreprise Publique ou Privée et de la Vie Sociale d’un État Souverain et Indépendant, elle ou il doit les placer dans les Réserves Légales et Bénéfice Reporté de son Passif pour eventuellement s’autofinancer à court terme ou pour réinvestir dans d’autres secteurs afin de s’agrandir et de diversifier ses ressources économiques en lieu et place de quémander l’aumône tout le temps. Dans le cas d’espèce de la RDC occupée par les Rwando-Ougando-Burundo-Kenyans BANYAMAYARWANDA qui s’endette régulièrement, une croissance économique de presque 7% essentiellement obtenue par la VENTE (Exportations) des minerais (richesses minières) est introuvable nulle part et n’impacte nullement la vie sociale des RDCIENS alors que Tshilombo-Pétain et sa famille restreinte et élargie s’enrichissent impunément au même titre que les Multinationales Mondialistes connues et les privilégiés partenaires publics et privés (alias Kabila, Rwanda, Ouganda, Dan Getler etc.) du pouvoir protocolaire de l’Udps Familiale qui pillent le sol et sous-sol de notre Grand et Beau Pays KONGO-ZAÏRE. Toute cette croissance économique tant vantée indecemment n’est visible nulle part, il n’y a aucune incidence (répercussion) positive sur les gueux et sans-dents de la Populace (Lumpenprolétariat) RDCienne, aucune création d’emplois ni d’amélioration significative de la vie sociale même l’Armée et le Fonctionnariat Public sont démunis de TOUT, le panier de la ménagère des Kinois et Provinciaux Bantous Kongolais demeure troué, le pouvoir d’achat quasi NUL mais on remarque que 0,001% de 100 millions d’habitants de la RDC occupée à majorité Politichiens et proches collaborateurs sont des millionnaires et milliardaires grâce à la RAPINE, au BRADAGE et à la CORRUPTION (RÉTROCOMMISIONS)… LA CROISSANCE ÉCONOMIQUE SANS LA SÉCURITÉ DES HOMMES ET DES MARCHANDISES EST UNE DISTRACTION PUÉRILE QUI PRODUIT LA BOURGEOISIE (NOTABLES) ET LE PROLÉTARIAT (PAUVRES RDCIENS) CAR ON INVESTIT PAS DANS UN PAYS OCCUPÉ MAIS ON LE PILLE ! À quoi sert une croissance économique à 2 chiffres qui ne se répercute pas sur la vie politico-socio-économico-militaro-sécuritaire d’un pays de surcroît Sous-Occupation étrangère ? À absolument rien si ce n’est que produire un BINÔME SOCIAL (BOURGOISIE ET PROLÉTARIAT=LUMPENPROLÉTARIAT) c’est-à-dire LES TROP RICHES ET LES TROP PAUVRES. Le néo Bourgeois Tshilombo-Pétain est entrain de distraire les pauvres Prolétaires RDCIENS contemporains de l’Occupation RWANDO-OUGANDAISE car depuis Kasa-Vubu, Mobutu et Laurent Désiré Kabila, notre pays jadis Indépendant et Souverain a toujours fait des bénéfices par le biais de ses exportations des minerais, ce n’est pas nouveau. Soyons honnêtes et pragmatiques, les Occidentaux Mondialistes Impérialistes du FMI et la Banque Mondiale [ainsi que l’UE, UK et les USA] par leurs conclusions et recommandations citées ci-haut dans l’article savent que FATSHI BIDON président protocolaire JOUISSEUR TRAÎTRE nommé par les OCCUPANTS Envahisseurs Banyarwandas devenu multimilliardaire en 4 ans seulement vole, detourne, dilapide l’argent public et facilite par sa HAUTE TRAHISON le bradage de nos minerais vendus (exportés) qui font qu’il y ait 7% de croissance économique annuelle (Bénéfice annuel, Réserve Légale et Bénéfice Reporté) qui est dissoute (débitée) dans les comptes en banque des BOURGEOIS NOTABLES ESCROCS VOLEURS POLITICHIENS de la RDC occupée. « Les 3 missions de Félix Antoine Tshisekedi sont :
1-Blanchir les Occupants
2-Endormir (Distraire) les Congolais
3-Légaliser l’Occupation et la Balkanisation » dixit Honoré Ngbanda Ko Atumba. VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
Je me suis laissé dire en effet que si un taux de croissance à 5% permet déjà de faire beaucoup de choses dans un pays développé comme la France, il faut en revanche un taux à deux chiffres pour permettre à un pays sous-développé comme le nôtre de décoller. Et ce n’est pas mon avis de profane mais celui de sérieux économistes de développement et pas les nôtres ici au djalelo facile qui s’ebaubissent facilement d’une prevision à 6,8% qu’ils comparent aussi vite aux économies européennes plombées par la guerre en Ukraine et les grèves en France. Et on voudrait que tous nous tombions tous dans leur lamentable fuite en avant que déjà la réalité dans notre pays vide de toute crédibilité.
Nafingi mutu en l’affirmant ou suis-je plus proche de la triste réalité que nous vivons tous dans notre pays ?
Cher Monsieur Nono,
J’admire votre sincérité mieux votre honnêteté quant en votre qualité de profane en sciences économiques.
En effet, en la matière , c’est avec autorité et expertise que je me dois analytiquement confirmer la robustesse universelle et « spatio-temporelle » d’une croissance prévisionnelle estimée à 6.8% dans un contexte international plombé par la crise ukrainienne et l’opacité structurelle des gouvernants occidentaux.
Votre problème est d’entretenir de la confusion analytiquement inconsciente et profane entre indicateurs de croissance d’un cadre macro-économique et les interprétations analytiques des incidences socio-économiques sur les cadres méso (ou cadres sectoriels) et micro-économiques .
Voilà cher Monsieur Nono avec tous les respects que je vous dois.
Cher Nono,
Pour votre gouverne de profane , la France avait réalisé un taux de croissance économique de 7% en 2021(Source: Insee). Qu’avait t’on fait de cette croissance économique ? Ou quelles en avaient été les incidences sur le mieux être de Français en 2021?. Le mal congolo-zairois est de se larguer dans des débats dont on ne dispose d’aucune maîtrise sur les tenants et les aboutissants.
LA PRÉSIDENCE VIRE UNE TRENTAINE DE JOURNALISTES DE SA CELLULE DE COMMUNICATION et évoque les raisons de ‘réduction du train de vie’ à la première institution du pays qui par ailleurs est championne de dépassements budgétaires du fait, suggere-t-on, du nombre pléthorique des agents y rattachés.
Remarques :
– reconnaît-on enfin que contrairement à la Cour des comptes qui s’en plaignait déjà Alingete faisait de la politique en la contredisant ?
– le PR ne revient-il pas à la raison en reconnaissant l’absurdité et le gaspillage que représente son millier de Conseillers ?
On ne peut que se renforcer en reconnaissant ses erreurs passees; notre mulopwe a pris peut-être trop de temps pour le réaliser mais osons espérer que d’autres bonnes nouvelles de ce genre viendront. En attendant les journalistes écartés sont-ils les plus indiqués ou d’autres facteurs de tri ont-ils prévalu ? La suite…
Monsieur Bongos, je n’invente rien, au cours d’un débat ( vif ) sur ce site, vous m’avez traité de fils de…d’ailleurs, si vous vous rappelez, j’ai vivement protesté. Je vous propose de passer à autre chose. Nous aimerions tous ce pays chacun à sa façon. Je ne vous demande pas d’être forcément d’accord avec mes analyses. Je ne reviendrai plus sur cette histoire, pour le respect mutuel, je suggère que la passion que nous mettons dans nos propos reste dans les limites du raisonnable.
Lisez: nous aimons.
Cher ami Armand;
Svp, soyez gentil arretez de nous prendre pour des gogos pour nous faire avaler vos concepts et chiffres macroéconomiques comme je ne sais quelle sauce délicieuse.
La politique est la gestion de la cité et l’économie politique ne peut d’abord servir qu’à la satisfaction des besoins de ses citoyens. En effet quels objectifs viables méritent d’être atteints pour un pays sous-développé (on s’en fout du terme, occupons- nous de sa réalité qui n’est pas une fiction), sinon d’abord satisfaire aux besoins quotidiens de sa population ? Aussi longtemps que vos concepts et chiffres macroéconomiques ne seront pas automatiquement synonymes d’un mieux être pour les citoyens ils n’iinteressent que les debatteurs théoriciens de salon et pas nous qui voulons vivre des effets bénéfiques des pouvoirs politiques.
Non cher Monsieur et ami Nono, c’est la politique économique (Art, tactique ou pratique gouvernementale des sciences économiques) qui sert à la satisfaction des besoins des citoyens et non l’économie politique qui est l’étude de la manière dont avec les moyens limités on peut satifaire des besoins illimités. C’est cela la nuance ou la petite différence. (Economie politique : Sciences économiques , théories ou doctrines économiques telles qu’enseignées dans les facultés universitaires des sciences économiques)
Humblement votre
Armand
@Armand
S.V.P, il faut arrêter d’user et d’abuser des concepts qui se voudraient savants pour nous autres profanes. Nous ne sommes pas ici dans une salle de travail de la BM ou du FMI.
Nous sommes, ici, dans un débat citoyen, ouvert et large public. Oui, il existe une nuance entre politique économique et économie politique. Mais les deux sont intimement liés de l’étude de l’économie.
Je pense – en profane – que Monsieur Nono n’a pas totalement tort de dire que » l ’économie politique ne peut d’abord servir qu’à la satisfaction des besoins de ses citoyens ».
En résumé, si la politique économique se concentre sur les politiques et mesures concrètes prises par les gouvernements pour influencer l’économie, l’économie politique s’intéresse aux relations plus larges entre l’économie et le pouvoir politique. En français, en chinois comme en arabe ou en tshiluba on en ngbaka, politique économique et économie politique n’ont, In fine, dans l’entendement d’un grand nombre, qu’un seul objectif : la satisfaction des besoins des citoyens.
Doit-on vous le rappeler ?
Profanement vôtre.
LE MAL EN AFRIQUE EN GÉNÉRAL ET EN RDC OCCUPÉE & SA DIASPORA EN PARTICULIER est comme le disait Frantz Fanon « Notre tort à nous, Africains, est d’avoir oublié que l’ennemi ne recule jamais sincèrement. Il ne comprend jamais. Il capitule mais ne se convertit pas. Notre tort est d’avoir cru que l’ennemi avait perdu de sa combativité et de sa nocivité. Il est de fait qu’en Afrique, aujourd’hui, les traîtres existent. Il fallait les dénoncer et les combattre. Que cela soit dur après le rêve magnifique d’une Afrique ramassée sur elle-même et soumise aux mêmes exigences d’indépendance véritable ne change rien à la réalité. (…). Les impérialistes eux aussi ont peur. Et ils ont raison. Les impérialistes vont marquer un temps d’arrêt. Ils vont attendre que l’ « émotion légitime » se calme. Nous devons profiter de ce court répit pour abandonner nos craintives démarches et décider de sauver (…) l’Afrique ». FÉLIX ANTOINE TSHISEKEDI EST UN TRAÎTRE ADOUBÉ PAR LES IMPÉRIALISTES. Point barre. POURQUOI LA FRANCE SURENDETTÉE JUSQU’AU COU QUI A DÉJÀ DES ACQUIS SOCIAUX ET DROITS COLLECTIFS INCONTESTABLES PAR RAPPORT À LA RDC OCCUPÉE [PAR LES BANYARWANDA EN COMPLICITÉ AVEC LA CLASSE POLITIQUE COLLABORATIONNISTE TSHILOMBO-PÉTAIN EN TÊTE] NE PEUT RIEN FAIRE AVEC 7 % DE CROISSANCE ÉCONOMIQUE ? C’est simple car L’ECONOMIE vue du point de vue Bénéfice et Perte, Ressources et Emplois ou Actifs et Passifs confirme qu’un pays SURENDETTÉ comme la France ne peut pas combler son déficit de plusieurs milliards de dette publique [2 950,0 milliards d’euros à la fin du 4e trimestre 2022] en une année de croissance soit-elle à 2 chiffres surtout que si cette croissance est due à la PLANCHE À BILLETS (MONNAIE DE SINGE) que la BCE (Banque Centrale EUROPÉENNE) permet à ses pays membres de faire régulièrement en contrôlant l’inflation à 2% pour stabiliser les prix sur le marché, cela depuis des décennies. Cette croissance économique à hauteur de 7% permet par contre une diminution de 6,8 milliards d’euros par rapport au trimestre précédent en 2022. D’où vient l’expression « Faire marcher la planche à billets », c’est une politique monétaire qui sert à relancer la machine économique d’un pays appelée aussi MONAIE DE SINGE, bref
la Planche à Billets signifie qu’un État ou une Banque Centrale crée de la monnaie afin de financer son fonctionnement. Durant les derniers confinements covidiots en Europe, même des petites communes par l’entremise des maires et bourgmestres ont utilisé ce procédé en donnant à ses administrés des Bons d’Achat pour relancer l’activité économique et eviter les faillites des commerces locaux. QUANTITATIVE EASING (Q.E) OU ASSOUPLISSEMENT QUANTITATIF ! En revisant nos notes d’Éléments d’Économie, il y a un point essentiel qui permet d’expliquer que les Occidentaux Mondialistes Impérialistes s’enfoutent éperdument de la gueule des Africains Noirs Subsahariens en leur imposant des restructurations budgétaires à la con, il s’agit même de l’OBJET de l’ÉCONOMIE qui réside dans la nécessité de repartir l’ensemble des biens dans l’intérêt général d’où intervient la SATISFACTION DES BESOINS et le CHOIX. Dans toute société consumériste, le Choix (Valeur d’Usage) va de paire avec la Satisfaction des Besoins TOTALE, PARTIELLE ou NULLE, raison pour laquelle les 4 Agents Économiques (Ménages, Entreprises, Banques et État) doivent assurer un CIRCUIT ÉCONOMIQUE sans couacs comme en France alors qu’en RDC occupée, le Circuit Economique est désuet, sens dessus dessous et en déliquescence sans ACQUIS SOCIAUX ni DROITS COLLECTIFS, toute croissance économique soit-elle à 10% ne sert absolument à rien surtout que les Politichiens manigances, magouillent, volent, dilapident TOUT. Les Occidentaux Mondialistes Impérialistes par leurs Banques Centrales (BCE et FED « Réserve Federale ») pratiquent depuis toujours la PLANCHE À BILLETS. Les Européens vont plus loin avec la Q.E (QUANTITATIVE EASING) ou ASSOUPLISSEMENT QUANTITATIF qui désigne un type de politique monétaire dit « Non-Conventionnel » qui consiste pour une Banque Centrale en l’occurrence BCE (Banque Centrale Européenne) à racheter massivement des titres de DETTE aux acteurs (Pays membres de l’UE). La BCE finance notamment les Bons du Trésor ou des Obligations d’entreprises et dans certaines circonstances des titres adossés à des actifs comme des titres hypothécaires afin de mettre des LIQUIDITÉS sur la marché. S’il n’y a pas RELANCE DE L’ECONOMIE lors du Q.E (Quantitative Easing) ou ASSOUPLISSEMENT QUANTITATIF, fatalement la BCE crée une BULLE FINANCIÈRE avec rien dedans, c’est le danger qui guette actuellement l’O(XY)CCIDENT comme en 2008 (CRISE DES SUBPRIMES). Questions à 16 milliards de dollars : Que font le FMI et la Banque Mondiale contre le Q.E (Quantitative Easing) que l’UE a encore utilisé durant le CORONAVIRUS (CORONA VIRÉ PAR LES RUSSES) ? Pourquoi les pays Africains n’ont pas droit à l’Assouplissement Quantitatif ou Q.E (Quantitative Easing) et à la Planche à Billets qui en découle ? Le KONGO-ZAÏRE n’a-t-il pas le droit légitime de se passer du FMI et de la Banque Mondiale pour adhérer au Groupe BRICS ? FRANTZ FANON dit en deux temps « Le grand succès des ennemis de l’Afrique, c’est d’avoir corrompu les Africains eux-mêmes » et «Pour le colonisé, la vie ne peut surgir que du cadavre en décomposition du colon» et CHE GUEVARA conclut « Si vous voulez libérer une PATRIE, mettez dans votre main dix balles : Neuf pour les traitres de l’intérieur et une pour l’ennemi. Car sans les traitres de l’intérieur, l’ennemi de l’extérieur n’oserait pas entrer dans votre pays ». VIVE LE SOULÈVEMENT POPULAIRE. INGETA
*manigancent…
*des LIQUIDITÉS sur le marché…
Cher frérot Bongos,
Puissé-je vous prier de ne pas trop profaner les sciences économiques . Celles-ci disposent en effet d’un paradigme fait de concepts , théories(savoirs), doctrines et arts bien réservés aux initiés . Respectueusement votre « na esprit ya bien ».
@Frérot Bongos
Vous me rendrez un grand service ( en tant que profane ) en démontrant, ici, lequel de mon propos profane les sciences économiques. Qu’ai-je écrit de faux ?
Tuba tuba nde mabe ! Lakisa oyo na komi ya faux, ensuite on requerra l’avis d’un vrai expert en sc. économiques.
Pièce contre pièce !
Na esprit ya bien. Biso tout to tanga na ICC.
Lire :
Frérot Armand